Objet : Entre le suppositoire mondialiste, le bon sens courageux permettant compréhension de la Crise et sa résolution TOUS UNIS !
Visitez http://www.dailymotion.com/user/diegoder/1 ces vidéos cocasses, truculentes, poétiques, ou l'auteur avec simplicité et souvent dérision, humour, originalité, tente d'expliquer, par lettres et poèmes, libelles, satires, tous nos maux actuels qui nous accablent par manque de compréhension et d'Unité. Mais vous pouvez préférer le suppositoire, le désespoir né d'une apparente impuisance ! Dans toute cette cuisine vous avez le choix. Même vous payer ma trombine. Fraternellement, un citoyen. J.D
Serres le 25 septembre 2011
Lettre pertinente à nos Maires, Conseillers Généraux, amis, de France et de Navarre
Voici, chers élus, une lettre de plus ! Par vos silences vous semblez, comme ces splendides oiseaux africains, avoir la tête dans le sable attendant, sans doute l'administration du suppositoire qui faciliterait la mise en place définitive de la financiarisation du Monde. Cette mondialisation mettra la France et ses citoyens dans un état de dépendance financière tout aussi grave qu'en Grèce. Olivier Berruyer en parle sur son blog www.la-crise, par la bouche d'un Français vivant en Grèce. Les effets seront certes différents mais la misère semblable à peu de choses près pour la majorité des citoyens.
Mise en bouche des réalités que vous ne pourrez contester (Quelques arguments d'Olivier Berruyer ).
Grâce au libre-échange, un pays totalitaire comme la Chine a réussi à développer fortement son pays au détriment des industriels européens. Si les acheteurs français en bénéficient, apparemment, n'oublions pas que la Chine est très protectionniste par ses barrières douanières et que le Yuan, qui n'est pas échangeable internationalement par un strict contrôle des changes, profite de sa parité avec le dollar. Ainsi le yuan n'a jamais été réévalué; fixé de 30% à 50 % au dessous de son cours qui correspondrait à celui de premier exportateur mondial. Les Allemands, second exportateur mondial bénéficie du parapluie de l'Euro. Si ce pays avait conservé sa monnaie, sa valeur aurait fortement augmenté, diminuant de ce fait ses exportations. Il y a donc de mauvaises règles du jeu économique qu'il est nécessaire de changer, tout de suite.
La doctrine du libre-échange mondialiste impliquant la disparition de tout obstacle aux mouvements des marchandises, des services et des capitaux est devenu un dogme aussi puissant que celui des partisans du communisme. La mondialisation est la cause majeure du chômage massif et des inégalités. La récente réunion du G20 (nos dirigeants y sont bien représentés !] a dénoncé le protectionnisme, dénonciation absurde si elle est exprimée sans nuance. Tout libéraliser amène les pires désordres. Entre pays à salaires comparables le protectionnisme n'est pas souhaitable, entre pays de niveau de vie très différents est non seulement justifié mais absolument nécessaire [Extraits de M. Allais 1990/2009].
Il faut adopter un système comparable au plan Keynes (Bretton Woods) et non le plan White. Le système Keynes visait à ne pas revenir à un étalon‐or, mais à en obtenir les effets positifs par une coopération entre pays. Dans ces règles économiques, toutes les monnaies étaient traitées de façon identique, aucune n’avait un rôle privilégié. Le système aboutissait à pénaliser les pays avec une balance commerciale déficitaire pour les obliger à retrouver l’équilibre, mais il pénalisait également les exportateurs (y compris par des restrictions commerciales) pour les inciter à atteindre cet objectif majeur : l’équilibre des balances commerciales. Précisons que le bancor ne visait pas à créer une sorte « d’euro mondial », mais simplement à disposer d’une unité de compte unique mondiale entre banques.
Dans une pure logique d'économie internationale les conditions nécessaires et suffisantes pour permettre un commerce loyal entre nations sont de bien considérer que la valeur des productions nationales soit évaluée très correctement avec une émission monétaire de la valeur chiffrée de la production. Dans cette émission monétaire, une part réservée aux consommateurs, l'autre part réservée aux échanges internationaux. Lorsqu'un pays est en débit face à ces échanges entre nations, il ne peut que diminuer l'émission monétaire nationale et verser cette même valeur sur sa dette. Diégo Der Economiste dilettante mais d'un bon sens évident - 2011. Lettre pertinente aux Maires.
« L’Argent n’achète rien, il ne l’a jamais fait, et il ne le fera jamais. C’est un axiome économique aussi vieux que le monde que des biens et des services ne peuvent être achetés qu’avec d’autres biens et services. » [Albert Jay Nock, Memoirs of a Superfluous Man, 1943]
Il vous reste amis à accepter le suppositoire et recevoir un terrible électrochoc administrés compris ou digérer cette lettre qui provoquerait la compréhension et l'union de tous.
J.Daudon
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