Projet qui ne se fait pas !
Nantes-Chantenay . Côteaux du Bois Hardy .
Le projet initial de la mairie de Nantes était d’y construire des logements , dont 50 % de logements sociaux . Grand espace constructible , sur lequel ont été abattues des maisons « logements sociaux » , devenues vétustes et où l’on voit encore les emplacements quelques jardins fruitiers et potagers .
Mais depuis le début des années 2000 , certains habitants pas très riverains (ou alors jusqu’à quelle distance est-on riverain?) , possédant une maison dans les environs et une autre à la Turballe se sont employés à faire de l’agitation localement et vers la Mairie . Leur leitmotiv : « On veut que ... » ça reste comme ça !
Alors pour les satisfaire , la mairie a changé son projet et décidé de mettre les logements sociaux en bordure du Boulevard , sur l’emplacement d’une déchetterie ! Les enfants de pauvres bénéficieront ainsi des voitures sous leurs fenêtres et de la vue sur … les hangars d’entreprises situées de l’autre côté du boulevard !
Mais puisqu’ » ils veulent que ... » !
Ces gens sont très à gauche , avec une composante de Maoĩstes , de gens âgés plus de 80 ans , ou de 90 ans … Ils font du social pour eux-mêmes !
Puis est arrivé l’enfarineur de Madame Rolland , repris de justice condamné à 18 mois de prison avec sursis , mais recruté pour le Conseil municipal et "s'occupant" de ce quartier , payé par les deniers des citoyens nantais ! Alors , tout s’est accéléré . Madame Rolland avait précisé que le droit de propriété prévalait , de nombreux petits propriétaires de parcelles de 1000m2 n’entendant pas se laisser voler .
L’enfarineur a trouvé un moyen de contourner la loi en faisant faire une enquête d’utilité publique . Fin juin 2024 , très peu de créneaux par semaines , peu de semaines , des horaires impossibles pour ceux qui travaillent … , en début de période estivale , un seul enquêteur . L’utilité publique devenue une formalité pour permettre le vol !
Ensuite , Nantes Métropole aménagement par un aménageur « Géofit expert » aux petits airs de Vinci , on ne sait plus qui fait quoi , a , intentionnellement envoyé en recommandé aux petits propriétaires , deux documents le même jour : l’arrêté de cessibilité et l’ordonnance d’expropriation . Ils ont ainsi empêché toute ^possibilité de recours au tribunal . Passage en force , la toute puissance , la malhonnêteté !
Ces terrains sont constructibles et situés à cet endroit ont beaucoup de valeur .
Mais on est dans l’autoritarisme , voire la manière dictatoriale !
Et puis , notre code civil datant de Napoléon , ce grand démocrate , rien n’est suspensif en droit français !
Mais puisque les « on veut que ... » , ont « dit que ... » !