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Souvenirs souvenirs
Noir c'est noir
La musique que j'aime
Retiens la nuit
Requiem pour un fou
Je te promets
Ma gueule
Que je t'aime
Quelque chose de Tennessee
L'envie
Ça n'finira jamais
Le pénitencier
J'ai un problème
Pour moi la vie va commencer
La guitare fait mal
Poème sur la septième
Tellement de mots portés, chantés, incarnés avec tellement de force. A la différence de beaucoup de copains sur Facebook je ne suis pas du tout saoulé par tous ces hommages à la radio dans les médias. Je me laisse porter par les émotions, par la puissance de ces chansons qui sont exceptionnellement largement rediffusées. Il faudrait d'abords voir l'inspiration et la capacité de tous ceux qui ont construits ces chansons, les artistes américains qu'il a adapté (233 adaptations en 60 ans dont la moitié dans les années 50), les Pierre Delanoë, Charles Aznavour, Jacques Revaux, Philippe Labro, Michel Mallory, Michel Berger, Jean-Jacques Goldman et tellement d'autres...
Mais dans l'histoire de ma chanson française (on a tous notre propre histoire de la chanson française comme on a tous quelque chose en nous de Tennessee) il y a l'immense place du chanteur, la place de celui qui incarne. Celui qu'on regarde, qu'on écoute. Celui dont la vie, dont le moindre souffle est lié à tous les mots de toutes ces chansons et à toutes les émotions que ces dernières ont fait naître dans mon petit cœur qui ne demande qu'à vibrer...
La place de Johnny Hallyday est bien-sûr immense dans l'histoire de ma chanson française. Alors laissez-moi réécouter tous ces hommages et vibrez au son de la puissance de sa voix.