Sociologue, nouvelle élue à la métropole de Lyon sous l'étiquette écolo, je milite depuis mes dix huit ans dans l'éducation populaire, m'intéresse au devenir du monde et tente avec d'autres de faire advenir du meilleur
Sociologue, nouvelle élue à la métropole de Lyon sous l'étiquette écolo, je milite depuis mes dix huit ans dans l'éducation populaire, m'intéresse au devenir du monde et tente avec d'autres de faire advenir du meilleur
Sociologue, nouvelle élue à la métropole de Lyon sous l'étiquette écolo, je milite depuis mes dix huit ans dans l'éducation populaire, m'intéresse au devenir du monde et tente avec d'autres de faire advenir du meilleur
Abonné·e de Mediapart
Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
Je ne veux pas intervenir sur le fonds, assez affligeant et univoque dans les commentaires des deux économistes, mais sur la forme du débat contradictoire. Dans un premier temps, j'ai cru qu'il s'agisait d'un débat à trois en présentiel, puis j'ai compris qu'il s'agissait d'une sorte de montage, de mise en scène d'un débat contradictoire. Cette forme pourrait être intéresante si les arguments étaient équilibrés. Or, ce qui apparaît, c'est que les interventions de Yaris Varoufakis, entre crochets, sont uniquement en défense et réaction face au plaidoyer des "procureurs" de l'accusation. L'effet est contre-productif et donne la part belle aux deux économistes dont l'appareil argumentatif n'a rien à envier aux pires politiques néo-libérales distillées par la presse et l'Eurogroupe au sujet de la Grèce depuis des mois. Je ne sais pas qui a eu cette idée au sein de votre équipe, mais je la trouve très "limite" d'un point de vue déontologique, dommage, cela introduit le doute sur votre ligne éditoriale.
Corinne IEHL
Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.