A 39 ans et des poussières, j'ai cherché sur la toile des réponses à mes interrogations: quel allait être le programme des réjouissances, désormais?
Les articles et les textes sur lesquels je tombais annonçaient d'ores et déjà la couleur. On me signalait que ça allait être tendu pour "trouver l'amour après 40 ans", mais qu'on allait m'aider à "rester jeune et au top" et surtout, à trouver "la bonne coupe" une fois soufflées les bougies fatidiques.
Moi j'aurais bien aimé qu'on me parle d'autre chose. Je ne m'imagine pas trop dans le rôle de la quadra qui essaie frénétiquement de choper le prince charmant. Ou Mr Big. Ou bien bof, tiens, Yann Moix.
Pour ma part, j'ai mieux à faire que de me coller en embuscade. Et je n'ai pas non plus une folle envie de me couper les tiffs.
Je préfère partager avec vous, mesdames, mes réflexions sur le statut de la femme de 40 ans dans notre société actuelle. Et j'aimerais voir si je peux m'en tirer à bon compte...