Après la catastrophe de Fukushima : nucléaire et après?

La catastrophe de Fukushima, après celles de Tchernobyl et de Three Miles Island, met en évidence le danger que fait courir le nucléaire (civil et militaire) à l'ensemble de l'humanité. De plus en plus de voix s'élèvent partout dans le monde pour mettre fin à cette folie. Pour remplacer la production d'énergie via cette technologie meurtrière la majorité s'accorde sur la nécessité de fermer, au plus vite, les centrales nucléaires et de développer les énergies alternatives. Chacun sait que les crédits consacrés au développement de ces technologies, en France en particulier, sont dérisoires. Le lobby nucléaire (et pétrolier), avec ses amis politiques et scientifiques, étant en permanence à l'oeuvre pour bloquer les initiatives de tous ceux qui n'acceptent pas son diktat (voir le piteux résultat du "Grenelle de l'environnement"). Le célèbre refrain "Le nucléaire ou la bougie" n'est évidemment qu'un prétexte pour que surtout rien ne change. Comme si tout cela n'était pas le résultat d'un choix idéologique, politique et financier, mais d'une sorte de"fatalité". Ce que nous savons moins c'est qu'il existe une autre alternative qui est dénigré depuis 22 ans par les scientifiques pro-nucléaire : la "fusion froide", mise en évidence par les travaux de deux scientifiques américains : Pons et Fleishman. Des organismes, en France, aux USA et au Japon ont montré que cette technologie était réelle, fiable et assez facilement accessible à condition de s'en donner les moyens. Elle permet de produire de l'énergie, sans aucun risque radiatif ou chimique, pour un coût très faible par rapport aux technologies actuelles. J'invite tous ceux qui vont lire ce blog à regarder attentivement la vidéo jointe pour mieux comprendre l'intêret de cette découverte qui peut nous aider à bâtir un monde ou la joie de vivre et le bonheur seront la norme. Car c'est bien ce que chacun souhaite au fond de son coeur.