Simplement, je considère, comme bien d’autres, que votre obstination à rester au PS, et au sein du bureau national est au-delà de mes capacités de compréhension.
Je ne suis qu’un modeste blogueur sur Mediapart, comme des centaines d’autres où je jouis de la possibilité de m’exprimer et, parfois, d’être lu et de bénéficier de quelques commentaires.
J’ai claqué la porte du PS en 1992, après les (déjà nombreux) virages libéraux de ce parti. Un seul regret : je n’ai que trop tardé à rendre ma carte.
Les trahisons successives m’ont conforté dans le bien fondé de ma décision.
Mais je digresse.
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Si je vous écris aujourd’hui, c’est parce que j’ai pensé à vous, ce dimanche 5 juin, place Stalingrad. Vous n’étiez pas là. Mais, si vous aviez choisi d’être aux côtés des milliers d’insoumis, je persiste à penser que vous en êtes un, et si vous aviez pris la parole, je ne doute pas que vous auriez été acclamé.
Il n’est jamais trop tard pour bien faire. En ce qui me concerne, insoumis ordinaire, vous serez toujours le bienvenu avec nous. Je persiste à penser que votre place est parmi nous, et que votre contribution serait très importante.
Bien à vous.