claude de villepin

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Billet de blog 24 juillet 2013

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Le bébé royal britannique, je m’en fous ! Je m’en fous ! Je m’en fous !

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23 juillet 2013

Le bébé royal britannique, je m’en fous ! Je m’en fous ! Je m’en fous !

Des centaines de médias du monde entier campent devant l’hôpital St Mary, à Paddington (Londres) dans l’espoir d’apercevoir le nouveau-né dans les bras de ses parents.

Le site alternatif legrandsoir.info est absent. Parce que, au GS, ils s’en battent l’œil. Cette naissance, ils s’en tamponnent le coquillard avec une patte d’alligator femelle. Le convoi  du bourrage de crâne planétaire glisse sur les rails (à éclisses) de leur indifférence pour s’arrêter à la gare de leur mépris de cyber-journalistes. Ils sont quasi chiraquiens dans la posture  (classieuse dans la description) de celui à qui « ça en touche une sans faire bouger l’autre ».

Mais, j’apprends que ce rejeton  de Kate et William régnera sur quinze autres pays du Commonwealth (dont l’Australie, le Canada et la Nouvelle-Zélande).

Et là, camarades républicains, frères démocrates, compagnons égalitaristes, amis de la justice, descendants de manants, robespierristes, fils des Lumières, je me dis que ça commence à bien faire, ces dictatures héréditaires, ces entreprises d’abêtissement des foules à coups de tartinades peoples, ce pillage des impôts des nations par des parasites déguisés dans des carrosses d’un autre âge.

Théophraste R. ( Chef du bureau « Liberté, égalité, fraternité, renversement des royautés »).

PS. Vive la République, à bas le roi, la reine et le p’tit prince ! A l’usine les fainéants des châteaux ! A la mine les parasites, aux restaurants du cœur les pique-assiettes, à Pôle emploi les glandeurs de naissance,  au vidage des bassins dans une maison de retraite, en démonstrations de plongeons dans  la piscine de Marine Le Pen, à la corvée de patates dans une cantine de lépreux, en garde à vue au commissariat en attendant de rendre le magot, en prison, à Cayenne, à Guantanamo, à la guilloti… heu, non, ça suffit comme ça !

in : Le Grand Soir .

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