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Billet de blog 3 novembre 2017

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Demi-siècle pour l’Orchestre de Paris

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Illustration 1
Daniel Harding © © Julian Hargreaves

Hier Salle Pleyel, désormais Philarmonie de Paris pour le brillant  Orchestre de Paris. Inauguré il y a cinquante ans sous la direction de Charles Münch  au Théâtre des Champs E lysées.

Concert de célébratrion le 1er Novembre 2017, retransmission télévisuelle le 2  novembre (Notre écoute).                           

Concert  daté aujourd’hui, Berio, Stravinsky, Jorg Widman, Claude Debussy. Sans compter cadeaux musicaux.                               

 L’Orchestre dirigé par Daniel Harding, (proche de Simon Rattle) sans compter le Chœur de l’Orchestre,  Lionel Sow  et les London Voices. de Ben Parry

                                  Luciano Berio : « Sinfonia pour 8 voix solo et orchestre. L’un des « enfants terribles » de la « Musique Cotemporaine », grand affamé de voix et de leur trituration tout au long de son œuvre. Emblème également cinquantenaire. Texte dit et lu, parfois comme s’il s’agissait d’une radio et tansmissions ∂e titres célèbres.Un monde fou sur la scène, cde qui n’exclut pads les tics de l’époque. Dont des sortes de « papotages ». Et puis finalement la chute, la fin, le couperet qui oblitère le son, le « coupe ».le son « détraqué ».            

Avant de passer au chef d’œuvre de Stravinsky

Entracte qui permet d’entendre Jörg Widman et sa clarinette d’instrumentiste dans une création du même devenu compositeur. 

Symphonie de Psaumes.

Nous sommes danes années 30 et on note chez le compositeur un retour au religieux. A l’occasion du 50° anniversaire de l’Orchestre  de Boston  Centre 

Musical américain important Serge Koussevitsky passe commandes, I.Stravinsky y répondra par l’un de ses  chefs d’œuvre. A l’Alleluia presque final on est frappé par la beauté complexe sous la direction de Daniel Harding chef discret et efficace.

On est moins convaincu par « La mer » de Claude Debussy. Et pourtant quel chef d’œuvre que cette quasi unique « symphonie » du compositeur. Le dialogue entre vent et mer, conçu comme pour l’éternité  retrouve quelque peu ce mélange de palpitation et deviolence  dramatique.

. Le programme de la fin comprenait des cadeaux musicaux offerts à L’Orchestre de Paris./ Claude  Glayman

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