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Métropolitain/Montréal.Orchestre // Philharmonie de Pari s: 2.3. décembre 17. Des musiciens et solistes venus souvent d’Outre-Atlantique sous la direction avisée de leur chef ; Yannick Nézet-Seguin et des compositeurs français dont les sons proviennent d’artistes en visite.
La beauté Berlioz
Ce concept convient idéalement aux magiques « Nuits ∂’été » de Berlioz , initialement composées pour piano puis doublées de la tenture des instruments d’un maître orchestrateur. Soit la première du genre dans le catalogue français. Sans doute et pourquoi pas «romantique. Délicatesse mélancolique sans cesse douce et vigoureuse. Mémorable, l’attaque de « La Villanelle et la diversité des six suivantes, poignantes ou l’inverse même si la voix de contralto de Marie-Nicole Lemieux paraît lointaine dans l’immense arche de la Philharmonie
Du bon « Saint –Saens »
Nous sommes de ceux qui sont distants à l’égard de Camille Saens et de sa musique, en vérité peut-être mal connue pour être profondément appréciée. Tant il est vrai que son « Concerto pour violoncelle n°1 » contredit cette distance tant le rythme, la vigueur, les tournures mélodiques nous forcent à réviser notre réserve , tant également pour l’orchestre d’une pâte impressionnante sous les sons du violoncelle remarquable Stéphane Tétreault. , un nom à retenir.
Sir Ed.Elgar et le mystère de ses « variations »
En effet durant le guerre 39/45 les Anglais ont déchiffrer ce fameux code nazi et en1899 ; Sir Edward Elgara croqué ses proches dans ces pièces inégales. Sans la force de son « Concerto pour violoncelle. Donné le 2 décembre par les mêmes musiciens entendu, sur « France Musique ».
Citons aussi du même « Pomp and circonstances » n pompe et humour.
Claude Glayman// 2,3 décembre Orchestre Montréal, Philharmonie Paris