Autour de la personnalité de Romain Rolland s’est tissé une activité multiforme correspondant, si l’on peut dire « à la polyvalence » du personnage. Soit musicologue, romancier, homme de théâtre, citoyen politique etc. L’on n’est donc pas étonné du nombre de publications et de « groupements » qui le concernent. Pas encore traité dans ces colonnes, un volume de « Correspondance avec Stefan Zweig 1928/1940 » (Albin Michel).
Sous les auspices de l’Université de Dijon, un volume titré « Romain Rolland musicologue » .
On s’est arrêté sur deux ou trois centres d’intérêt.
« L’orgueil » de Mozart, la vie du musicien, ses compositions. On y découvre « une guerre des concertos », sifflés en ces temps moins modernes. Sont visés inévitablement ceux pour clavier, lesquels de nos jours sont au cœur du plaisir de l’écoute d’une foule de mélomanes. Alors nous est-il bien précisé le goût évolue » : de là à voir dans Amadeus, un nom trop gâté par les fameux « médias l ».
Alors il n’ya qu’un pas pour se jeter dans les bras de Beethoven, l’incontestable génie qui serait comme la destinée inaccomplie du « salzbourgeois ». Et en effet se plaint-on en somme des concertos pour clavier ultérieurs, Liszt, Grieg, Tchaïkovski .
Romain Rolland, soit le musicologue qui a imposé Ludvig Van, aussi bien rue. d’Ulm, que dans le public des concerts. En ce temps-là le sculpteur Bourdel a placé et replacé ses bustes.de Beethoven , on rappelle le testament d’Heiligenstadt mais le compositeur survécut 25 ans qui le conduisit entre autres à la 9°Synphonie avec chœurs, de quoi en imposer à Richard Wagner …..
. Hector Berlioz.
- Rolland lui accorde une très grande importance u point de le baptiser » notre « Beehoven » ;.Il faudrait s’entendre et entendre :Beethoven est irremplaçable, certes, mais les autres existent : notamment Wolffgang Amadeus, bien au-delà de sa précocité!
A suivre…