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Alan Gilbert, dm, us/ Marc-André Hamelin, Québec, piano.
Schumann, « l’intello romantique » , sa dernière et 4° Symphonie dont j’ ai usé le microsillon (alors nouveau) au temps de ma jeunesse, passionné par œuvre éminemment « romantique qui avait été conçue initialement conçue en « Fantaisie
avait été initialement conçue en « Fantaisie Symphonique », Pièce entendue quelques jours avant le 13. 10 sur « France Musique. Elle subit des modifications diverses avant la 4° Symphonie.
Recherche par le compositeur d’un langage orchestral de nature symphonique. Ne sommes-nous pas dans le curieux classement de des centres de composition de l’artiste : tel mois pour le lied, tel autre pour « la musique de chambre. » tel le piano pour les débuts de Marc-André Hamelin acec l’Orchestre de Paris.
D’emblée au démarrage de « l’Introduction Allégro » il nous semblé qu’Alan Gilbert y allait un peu « fort » du côté des décibels au point de ce nous demander si ce n’était pas là l’Habitude des oreille us. Mais pas du tout et le calme a opéré ensuite, notamment dans le « Finale » absolument magnifique qui pertet d’affirmer qu’Alan Gilbert a trouvé le son symphonique que recherchait le compositeur à la tête d’un Orchestre de Paris joliment ductile.
Ravel et sa maison sonore
On ignore, du moins oublié quel grand pianiste évoquait son piano comme étant sa maison. En écoutant “Le Concerto pour la main gauche”par la même équipe des Amériques on a eu l’impression d’entendre un univers sonore qui tintait de partout.
Est-ce la proximité de sons du jazz, évidents dans cette pièce, qui libérait quelque peu l’approche du jeu de Marc-André Hamelin, semble-t-il plutôt classique . On a eu l’impression d’une certaine musique irrespectueuse. Annonçant le futur “Goupe des Six"
Ravel dont on a eu l’occasion de visiter son appartement, en grande banlieue parisienne, e réduit à ses petites dimensions d’individu de petite taille.
On a joué quasiment à cache cache avec a main droite qui ne disposait plus de ses fonctions habituelles. Disparaissant là pour réapparaitre ailleurs.
Sans oublier l’accompagnement de l’Orchestre, surpris là dans une sorte de farce et ailleurs dans une sorte de gravité sans compter une petite marche ou les sons d’instruments sonnent comme inconnus.
Notre musicien après ses deux concertos, en n’oubliant pas celui en sol ne disposera plus de sa pleine santé
Après avoir voulu et réusi à répondre positivement à la requête de Paul Wittgenstein pianiste autrichien(frère d’un célèbre Philosophe) recherchant une oeuvre Main Gauche
. Quasiment salle comble (le 11) pour ce beau concert d’une durée idéale. T trouvant en Edgar Varèse et ses Amériques une fin presque “bruitiste” qui peut annoncer Le Sacre du Pintemps” un autre monde; une autre époque. Claude Glayman.
Orchestre de Paris ; dm Alan Gilbert (dm), Marc André Hamelin (piano), /
Schumann, Ravel, Varèse.