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D’emblée des chœurs sur une musique tonitruante, pourrait-on dire un « rock géant ». L’écoute panique parfois, ne supporte pas ou, au contraire, se trouve à son diapason. La jeunesse a l’habitude de cette violence. Et l’on entend écouter les mots, les termes rythmés, délicat difficile. On capte tout de même un vocabulaire de science-fiction, un trop plein de termes désignant de la technologie, si possible la plus actuelle, on dirait une terminologie d’experts en pleine actualité.
Ne pas oublier, soumis à la lecture de tous, un texte du sociologue Francis Fukuyama. Soit la fin de l’Histoire, affaire déjà débattue et quasiment oubliée. Nenni ! L’auteur est repris, élargi, il a toujours raison : le rationnel semble pourtant une faute dans ce jus.
Pourtant c’est bien simple, notre Histoire se poursuit dans une nouvelle pensée qui risque de choquer, le libéralisme économique, démocratique. Et puis surtout le temps s’est écoulé. ! Par exemple les petits malgaches, tout juste mis au monde ignorent la folie du bombardement d’Hiroshima et Nagasaki. Oubliés, digérés ! Y-a-t-il même encore un risque nucléaire ? Le commentaire du documentaire, pourtant n’oublie pas l’« Afrique, » à construire, avec sa nouvelle population ?
Les auteurs sont partagés don le discours principal, d’Aurélien Bélanger (l’auteur doué de s matins de « France Culture. Ainsi que le metteur en scène, Julien Gosselin qui nous semble-t-il parfois se perd et qui ignore qu’un texte doit être coupé dans son intérêt.
Eros là-dedans !
C ;GLAYMAN ;:// 93 Théâtre de Gennevilliers// Jusqu ‘au 9 Janvier.