Et si j'étais un assassin, quelle arme utiliserais-je se demandent Sarkozy et Hollande ?
Pour Sarkozy, ce serait plutôt une arme violente, une arme à feu par exemple, un revolver de gros calibre, voire un fusil d'assaut ou un lance-flammes. C'est un dangereux flingueur Sarko, nous en avons eu assez d'exemples, un destructeur qui ne se préoccupe pas des décombres qu'il laisse derrière lui, et à qui la casse du populo ne pose pas de problèmes éthiques.
Pour Hollande, je verrais plutôt le poison, arme insidieuse et sournoise, qui correspond bien au personnage. Car c'est un sournois pépère, doublé d'un traître, qui prépare dans le secret de ses alcôves les potions de mort qui achèveront le petit peuple qui avait cru en lui.
Quoi qu'il en soit, et quelle que soit l'arme, c'est le même maître que servent ces deux valets. Ce maître, ce sont les marchés financiers, les ultras riches néo libéraux, les fabricants de fortunes virtuelles, cette minorité qui se vautre dans le sucre et la crème du gâteau mondialisé en déplorant de devoir laisser échapper ces quelques miettes qu'ils concèdent à une populace encore trop indocile à leur goût.
Destructeur violent ou traître sournois, ces deux là sont bien des assassins, des assassins sociaux.
Leur ennemi s'appelle humanisme, solidarité, entraide sociale. Le voilà leur ennemi !