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Billet de blog 10 avril 2018

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Au Guerrero, les limites de la militarisation du Mexique

L'armée est-elle le dernier recours du Guerrero ?

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Illustration 1
Départ d'une opération militaire d'éradication de champs de pavot, Etat du Guerrero, Mexique © Clément Detry

Avec Pierre Sautreuil.

Il était 17 heures, jeudi 4 janvier, quand 300 militaires et policiers fédéraux ont encerclé les postes de police de Chilpancingo, la capitale de l’Etat, afin de retirer leurs armes aux agents municipaux. La mise à pied a été décidée après la découverte des cadavres démembrés de jeunes hommes que des policiers corrompus auraient remis aux tueurs d’un cartel au terme d’une garde à vue. Comme dans de nombreuses autres municipalités du Guerrero, le maintien de l’ordre est désormais entre les mains de l’armée et des forces fédérales à Chilpancingo.

[La suite de l'article est en accès payant sur le site de la Libre Belgique].

Illustration 2
Opération militaire d'éradication de champs de pavot, Etat du Guerrero, Mexique © Clément Detry

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