... "La dictature des marchés ? La libre circulation des marchandises, à travers l’Europe et le monde ? Les centaines de milliards qui s’évadent, chaque jour, de Paris à Panama ? Tout ça n’est pas tombé du ciel, tout seul, comme la pluie ou comme une fatalité. Des gouvernements l’ont construit, et bien souvent des gouvernements « socialistes »…
* les "inter-titres" :
- François Mitterrand : le virage libéral
- Jacques Delors : lobby, mon ami
- DSK : le lobbyiste du patronat
- Jean-Charles Naouri : le libérateur des marchés
- François Hollande : mes amis, les financiers
"« Perdre les ouvriers, ce n’est pas grave » : voilà la petite phrase que lâchait François Hollande après la fermeture de Florange. C’est qu’à l’Élysée, le président ne s’est pas franchement entouré de prolétaires ni de syndicalistes. Plutôt de financiers… sans doute pour mieux les combattre !"

Récapitulatif utile pour ceux qui ont la mémoire courte, ou regardaient ailleurs....
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