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"En effet, en Irlande, en Grèce, au Portugal, à Chypre, en Espagne, en Italie, en Roumanie, en République tchèque, en Slovaquie, en Estonie, en Hongrie, en France ou au Royaume-Uni et très bientôt à nouveau en Belgique, de nouvelles offensives portent atteintes aux droits du travail. Sur injonctions d'institutions, non-élues, au service du capital transnational (Commission européenne, Banque centrale européenne, Fonds monétaire international), se poursuit la mise en place de mesures législatives.
Celles-ci facilitent les licenciements sans motif et les rendent moins coûteux pour les employeurs, organisent la baisse des salaires ou le recours au travail précaire, affaiblissent la négociation collective au profit d’accords d’entreprises quand ce n'est pas selon le bon vouloir du patron (« décentralisation du droit du travail vers l'entreprise »)"
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