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Billet de blog 8 septembre 2014

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Atteinte à la sûreté de l'état... des lettres

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

L'un des drames de l'époque, c'est la perte de toute culture de l'écriture. Le roman de gare à succès de Madame Trierweiler ne peut qu'inquiéter. Un minimum d'effort aurait peut-être permis à la rage de l'auteure de s'élever jusqu'à la poésie. Piron, dans Philomène avait pourtant déjà parfaitement décrit son état d'esprit :

"Je savais bien, vilain masque,
Que ton chien de coeur fantasque,
Me préparait cette frasque ;
L'honnête homme que voilà !
Crains pour ton visage flasque,
Quelque terrible bourrasque,
Et que je ne te démasque
Avec ces dix ongles là !"

Mais après tout, comme disait encore Piron, pourquoi s'amuser à la rime quand il n'y a plus de raison (bis) ?

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