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L'esprit positif des Y
Y est une génération positive. Contrairement à ce qu'on peut en penser, selon une étude publiée par Les Echos Start, 55% de la génération Y conçoit la vie au travail comme une source d'épanouissement et 33% comme une contrainte.
40% des Y abordent le travail avec une vision positive, contre 25% de personnes pessimistes par rapport à leur avenir professionnel. Les 35% d'avis neutres témoignent - et c'est peu souligné - d'une relative insouciance d'une partie de cette génération Y, qui pour partie, n'est pas encore entrée dans le monde du travail. La vision des Y sur le travail est neuve, parfois pleine d'espoirs - tantôt déçus - elle témoigne d'une appréhension nouvelle et au fil de l'eau du monde professionnelle, d'où une grande appétence à la mobilité professionnelle.
Mobiles dans leur vie professionnelle comme personnelle
Toujours entre 2 trains, curieuse du monde, la génération Y est comme nos habitudes de consommation et nos modes de communication aujourd'hui : mondialisée et changeante. Les Y évoluent dans un monde plus instable que leurs parents. 80% affirment, selon l'étude des Echos Start, avoir une vision différente du monde du travail. 22% souhaitent changer d'entreprise plusieurs fois au cours de leur vie, 24% créer leur propre entreprise en leur nom propre. L'envie d'indépendance vis-à-vis de l'entreprise, qu'ils souhaitent devenir salariés ou entrepreneurs, est une grande caractéristique des "Millenials".
12% des jeunes de la génération Y sont prêts à partir à l'étranger. Une caractéristique de travailleur mobile qui les fait souvent assimiler aux 22% d'"optimistes flexibles" ou aux 27% d'"optimistes ambitieux" qui composent les rangs de la génération Y, identifiés par Les Echos Start. Les "Millenials", par leur envie de mobilité professionnelle, changent peu à peu le lien des français avec le monde de l'entreprise.