La machine à gauche est devenue complètement folle . Contre tout bon sens les dirigeants des partis les mieux cotés prétendent pouvoir accéder au second tour . A moins qu’ils ne le feignent et qu’ils participent à la danse dans le seul dessein de se bien placer pour les législatives . Dans ce cas ils manquent vraiment de clairvoyance car disqualifiés à la présidentielle ils partiraient avec un lourd handicap pour la course finale . Nous n’en pouvons plus de ces pantins . Il faut qu’ils se reprennent et acceptent enfin de se mettre au travail . Si nécessaire on pourrait les enfermer comme les cardinaux pour élire leur pape!
Quand Mélenchon nous explique qu’une union décidée à la tête entre dirigeants ne serait pas démocratique il a raison, mais rien n’empêche les militants de chaque organisation de rechercher les possibilités d‘un combat en commun. Il leur suffirait de relire les cahiers de « L’AVENIR EN COMMUN » POUR UNE FANCE INDEPENDANTE, pour s’apercevoir qu’il existe des convergences entre de nombreux partis de gauche, en nombre suffisant pour proposer un sérieux programme de reconstruction de notre société dévastée par des dizaines d’années de libéralisme. A condition que toute tentative de domination d’une personnalité ou d’une organisation sur les autres soit exclue.
On devrait y trouver la reconstruction de l’ensemble des services publics, l’augmentation des salaires et retraites, la réduction du temps de travail hebdomadaire, l’abaissement de l’âge du départ en retraite, l’accélération des mesures de protection de la planète, le refus des réglementations européennes qui nous emprisonnent, la prise de distance avec l’OTAN, la fin des opérations extérieures qui sous prétexte de nous protéger ne font que perpétrer un relent de colonialisme et nous mettent en danger. Cette liste est donnée à titre d’exemple mais elle est commune à toutes les organisations de gauche, en dehors de celles qui affichent un attachement niais à l’UE. Si les socialistes et satellites désiraient s’y joindre il leur faudrait réviser sérieusement leur position dans la lutte de classes.
Bien entendu ces résolutions devraient être approuvées par l’ensemble des militants .
Pour respecter l’interdiction imposée par la constitution de présenter une candidature groupée Ludivine Bantigny propose que le candidat représentant l’ensemble des organisations soit tiré au sort parmi les candidats choisis par leurs partis. C’est le moyen idéal et parfaitement démocratique d’éviter toute tentative hégémonique ou sectaire.
Il est certain qu’un tel renversement de choix politiques ne pourra pas se réaliser dans les structures de l’actuelle constitution et que l’autre nécessité absolue sera de définir la mise en place d’une assemblée pour élaborer une nouvelle organisation de la vie de la démocratie dans les plus brefs délais. Dans l’attente de cette sixième république les réformes proposées débuteraient sous la direction d’un gouvernement provisoire composé du président élu et des ministres désignés par chacune des organisations signataires.
Faute d’accord les abstentions ou les votes blancs seront massifs, ou les votes pourraient à la fin se reporter sur la ou les organisations qui se seront le plus battues pour l’unité.
La machine à gauche est devenue complètement folle . Contre tout bon sens les dirigeants des partis les mieux cotés prétendent pouvoir accéder au second tour . A moins qu’ils ne le feignent et qu’ils participent à la danse dans le seul dessein de se bien placer pour les législatives . Dans ce cas ils manquent vraiment de clairvoyance car disqualifiés à la présidentielle ils partiraient avec un lourd handicap pour la course finale . Nous n’en pouvons plus de ces pantins . Il faut qu’ils se reprennent et acceptent enfin de se mettre au travail . Si nécessaire on pourrait les enfermer comme les cardinaux pour élire leur pape!
Quand Mélenchon nous explique qu’une union décidée à la tête entre dirigeants ne serait pas démocratique il a raison, mais rien n’empêche les militants de chaque organisation de rechercher les possibilités d‘un combat en commun. Il leur suffirait de relire les cahiers de « L’AVENIR EN COMMUN » POUR UNE FANCE INDEPENDANTE, pour s’apercevoir qu’il existe des convergences entre de nombreux partis de gauche, en nombre suffisant pour proposer un sérieux programme de reconstruction de notre société dévastée par des dizaines d’années de libéralisme. A condition que toute tentative de domination d’une personnalité ou d’une organisation sur les autres soit exclue.
On devrait y trouver la reconstruction de l’ensemble des services publics, l’augmentation des salaires et retraites, la réduction du temps de travail hebdomadaire, l’abaissement de l’âge du départ en retraite, l’accélération des mesures de protection de la planète, le refus des réglementations européennes qui nous emprisonnent, la prise de distance avec l’OTAN, la fin des opérations extérieures qui sous prétexte de nous protéger ne font que perpétrer un relent de colonialisme et nous mettent en danger. Cette liste est donnée à titre d’exemple mais elle est commune à toutes les organisations de gauche, en dehors de celles qui affichent un attachement niais à l’UE. Si les socialistes et satellites désiraient s’y joindre il leur faudrait réviser sérieusement leur position dans la lutte de classes.
Bien entendu ces résolutions devraient être approuvées par l’ensemble des militants .
Pour respecter l’interdiction imposée par la constitution de présenter une candidature groupée Ludivine Bantigny propose que le candidat représentant l’ensemble des organisations soit tiré au sort parmi les candidats choisis par leurs partis. C’est le moyen idéal et parfaitement démocratique d’éviter toute tentative hégémonique ou sectaire.
Il est certain qu’un tel renversement de choix politiques ne pourra pas se réaliser dans les structures de l’actuelle constitution et que l’autre nécessité absolue sera de définir la mise en place d’une assemblée pour élaborer une nouvelle organisation de la vie de la démocratie dans les plus brefs délais. Dans l’attente de cette sixième république les réformes proposées débuteraient sous la direction d’un gouvernement provisoire composé du président élu et des ministres désignés par chacune des organisations signataires.
Faute d’accord les abstentions ou les votes blancs seront massifs ou les votes pourraient à la fin se reporter sur la ou les organisations qui se seront le plus battues pour l’unité.