Le spectacle était agaçant à plus d'un titre. Je ne relèverai que les passages franchement drôles :
- il y avait un type qui avait effectivement un meilleur siège que tous les autres : le cul plus fragile peut-être à force de se le faire botter par ses copains riches qui en exigent toujours plus ?
- ce même type a donné du « Monsieur » à une personne diplômée de je ne sais plus quoi et il a appelé les autres, les sans-grades, par leur prénom. La réciproque était-elle envisageable ? Personne ne l'a appelé Nicolas...et surtout pas Saint Nicolas.
- à force de l'entendre dire sans cesse que la France était une économie ouverte sur le monde et qu'il n'était donc pas du tout possible de, par exemple, plus taxer les fortunes, je me suis dit que c'était le discours de tous les dirigeants de tous les pays du monde et qu'il y avait là comme un délit d'entente au détriment des populations.
- et à force de se référer à l'Allemagne, notre « plus grand partenaire économique » où les impôts étaient à tel niveau et les autres indicateurs économiques à tel autre niveau, ce qui nous empêchait donc de faire comme bon nous semblait, je me suis dit aussi qu'on pourrait faire l'économie d'une fonction coûteuse en France, celle de président de la République ; Angela Merkel fera ça très bien pour nous et avec plus d'intelligence.
La France a un tout petit président, et je ne parle pas de sa taille.