Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
« Un peu comme François Hollande aurait à vaincre un ennemi « sans nom et sans visage » appelé « monde de la finance », Jean-Luc Mélenchon aurait à terrasser une autre créature mystérieuse que les politologues appellent « vote utile ». Le candidat du Front de gauche a beau être désigné dans les sondages comme l’auteur du meilleur début de campagne, il aurait rendez-vous avec cet ennemi fatal au matin du premier tour de l’élection présidentielle. Il y aurait là comme un signe du destin. Quelque chose qui aurait à voir avec la volonté de nos concitoyens de ne pas manquer l’estocade face à Sarkozy, grand dévastateur de notre paysage social, et qui les conduirait, bon gré mal gré, à concentrer leurs voix sur le candidat socialiste. […] Le traumatisme nous vient évidemment du 21 avril 2002. [Mais,] le «vote utile » n’est pas seulement affaire d’arithmétique, il fait appel à d’autres considérations, plus identitaires et plus politiques ». http://www.politis.fr/De-la-notion-de-vote-utile,16926.html Retrouvez tous les éditos, ici ; http://www.politis.fr/-Editorial,001-.html
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