Ferveur populaire pour Samuel Paty place de la République

Après le passage des politiques place de la République, l'hommage populaire au professeur assassiné à Conflans-Sainte-Honorine a pris un tour plus spontané. "Adieu monsieur le professeur" ont chanté en commun Kabyles et Mahorais

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Denis Spilet

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Hommage Samuel Paty Place de la République © Denis Spilet

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Journal — Retraites : le coup de force de Macron

« Savez-vous quelle réserve de rage vous venez de libérer ? »
Journal — Violences sexistes et sexuelles

À Nantes, quatre étudiantes qui manifestaient accusent la police de violences sexuelles
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D'une « classe qui se tient sage » à « un peuple qui se tient sage »
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« Il ne faut pas gêner le bac » : réponse à Laurent Berger et quelques autres
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Pour ses 15 ans, Mediapart part en campagne, mais pas sans mal

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Borne en campagne, Darmanin en embuscade : Macron face au casse-tête de Matignon

Pour l’heure, la première ministre devrait rester à son poste, même ébranlée par la crise politique et sociale. À l’Élysée, Emmanuel Macron semble pressé de ne rien changer, malgré les appels à une coalition avec la droite LR et à une promotion de Gérald Darmanin à la tête du gouvernement.

par Ilyes Ramdani
Journal — Élysée et gouvernement

La verticale du vide

Depuis sa réélection, le président de la République est plus isolé que jamais. Cristallisant les colères contre lui et ignorant toutes les alertes qui lui sont adressées, il reste persuadé qu’il peut encore maîtriser le tempo du pays. Même ses plus fidèles soutiens commencent à déchanter.

par Ellen Salvi
Journal

Retraites : « Il vaut mieux une victoire pour les syndicats que pour le RN »

La réforme des retraites a été définitivement adoptée hier après le rejet des motions de censure qui visaient le gouvernement. Dans la rue, entre blocages et manifestations, la mobilisation continue et le maintien de l’ordre se durcit.

par À l’air libre
Journal — Retraites

Étudiants, éboueurs et cheminots se lient, le mouvement social se démultiplie

À l’appel des étudiants, un millier de personnes a défilé de l’incinérateur d’Ivry-sur-Seine à la gare d’Austerlitz, à Paris. Les éboueurs étaient peu présents, mobilisés par le blocage de l’incinérateur, mais des cheminots et des enseignants ont rejoint les étudiants, avant de poursuivre la mobilisation ailleurs.

par Caroline Coq-Chodorge

Billet de blog

Viendra le temps du feu

49.3. Charges policières. Déambulant dans les beaux quartiers enjolivés par les barricades improvisées et les feux de poubelles, dans les nuées de gaz lac’, un seul sentiment partagé : la colère. « l’espoir n’appartient qu’aux désespérés », a dit Kafka, je crois. On y est. Et notre seul espoir -hélas!-, c’est de tout cramer. Car là-haut, ils ont tout fait pour nous priver de toute autre issue.

par Mačko Dràgàn
Billet de blog

Occupation de l'Ecole d'arts de Paris-Cergy : de la sécession comme outil de lutte

Parce que nous n’avons pas besoin du monde qu’ils nous préparent, nous appelons à l’auto-organisation de tous les secteurs, dans les raffineries, les ports, les usines, les exploitations agricoles, les bureaux, les universités, avec les éboueurs, les cheminot·es, les chômeur.euses, les exilé·es, les travailleur·euses du sexe, les lycéen·nes, et tou·tes celleux et ceux qui ont décidé des bloquer le pays. Contre ce gouvernement, soyons ingouvernables !

par École autonome de Cergy
Billet de blog

« Il ne faut pas gêner le bac » : réponse à Laurent Berger et quelques autres

Le leader de la CFDT a appelé les enseignants de lycée à ne pas empêcher la tenue des épreuves de spécialité du baccalauréat pour éviter de stresser les élèves. En refusant de surveiller les épreuves du baccalauréat pour protester contre la réforme des retraites, les enseignants instrumentaliseraient les élèves dans une lutte qui ne les concerne pas. En est-on si sûr ?

par petrus borel
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Une nuit pas comme les autres à Montpellier : quand le mouvement social s’encanaille

19 h 30, ce lundi 20 mars, place des Martyrs de la Résistance : environ 700 personnes ont répondu présentes au rassemblement devant la préfecture montpelliéraine, en réaction à l’échec de la motion de censure présentée contre le gouvernement d’Élisabeth Borne.

par Samuel Clauzier