Le chômage est élevé dans la région.
Le chômage en Amérique latine et dans la zone caraïbe s’élevait l’année dernière à 8,1 %, le plus haut chiffre depuis 10 ans. Cela vient surtout des déclins des économies au Brésil, en Argentine et au Venezuela, selon un rapport de l’organisation international du travail (OIT). Pour 2017, l’OIT s’attend à une autre montée du chômage à hauteur de 8,4 %. Le nombre de chômeurs, qui dépend surtout de l’exportation de matières premières, a augmenté de 25 millions. C’est plus de 5 millions par rapport à 2015. Cette année, il y a eu une augmentation de plus de 1,3 million de chômeurs dans la région. L’augmentation du chômage a eu lieu dans 13 pays sur 19 où l’OIT dispose de chiffres. La montée a été marquante au brésil avec 2 % alors qu’il est questions au Mexique d’une baisse de 0,4 %. Le chiffre le plus bas que la région ait connu de chômage était en 2014 de 6,1 %.
source : Nodal, La jornada
Cuba vend du charbon de bois aux états unis
Deux semaines après l’installation de Trump comme président des états unis, le premier chargement de charbon de bois, fait à partir d’une sorte de bois de marabout, est parti pour les U.S en provenance de cuba. Cela fait du 18 janvier un jour historique : pour le première fois depuis l’embargo des états unis contre cuba, une marchandise a été envoyé depuis le pays régis par un régime communiste. Début janvier, après de longues négociations, les deux pays ont signé un accord via les entreprises cubaine Cuba export et la nord américaine Coaban trading LLC :
« C’est le premier contact, mais nous espérons continuer ces relations dans le futur, et pas uniquement pour le charbon de bois, mais également d’autre produits, favorables à l’exportation comme le miel et le café. » déclare Isabel O’Reilly, directrice de Cuba Export. Le prix du charbn s’élève après négociation à 420 dollars US par ton, le plus haut prix auquel Cuba export n’ait jamais exporté depuis 10 ans. Les prix moyens du charbon cubain étaient entre 340 et 380 US dollars par tonne. Scott Gilbert, directeur de Reneo Consulting LLC, une filiale de Coaban, affirme être fier de cet accord qu’il désigne comme une étape importante pour les relations entre les deux pays. « Il y a de nouveau une planche entre les états unis et Cuba » selon Gilbert. Il espère également travailler en bon accord avec le nouveau président des états unis Trump. En plus de Cuba export, Cimex, Citricos Caribes et Alcona travaillent également dans le charbon de bois. Ils exportent ensemble au maximum 80 000 tonnes pour cinq à sept pays. Pour le moment, des projets d’exportation sont en cours en direction du royaume unis et de l’Allemagne. Le charbon de marabout est, en raison de sa structure compacte, un bois de haute qualité et possède une longue combustion. La production a lieu dans les fours artisanaux d’une coopérative agricole. Le marabout pousse très facilement à Cuba et constitue même une espèce envahissante. Il doit par conséquent être surveillé. Sa coupe n’entraîne pas de déforestation.
Source : Cuba debate, Miami Diario
Le transfert d’argent en hausse des migrants pour l’Amérique latine.
Alors que l’année dernière, au niveau mondial les migrants envoyaient moins d’argent pour leur familles, ceci n’était pas valable pour l’Amérique latine et la zone caraïbe. En 2015, 6 % ont été voyé en plus par rapport à 2014 avec un montant total de 68,3 milliard de dollars US. Cuba a connu a plus grosse hausse. Entre 2008 et 2015, le montant que les cubain à leur pays d’origine a grimpé avec environ 238 million de dollars US par an. Mexico surpasse tout. En 2014, le flot d’argent des migrants a atteint pour la première fois la plus grosse partie du pib, devant les revenus du pétrole. Selon BBVA Research, les migrants mexicains ont envoyé en 2016 26,8 milliard de dollars US vers leur pays mère. Un « effet Trump » a jour un rôle : les migrants ont eu peur que le nouveau président n’impose des restrictions quand au montant que les mexicains peuvent transmettre.
Source : as-coa.org, bbvareserach
Des limites doivent être posées pour le tourisme à Bonaire.
Le nombre attendu de croisière de tourisme a augmenté jusqu’à 400 000 à la fin de l’année dernière. Ainsi, Courtyard Marriot a ouvert le premier hôtel d’une chaîne international su l’île : le développement et l’économie étaient favorables. Il y avait pourtant des mises en garde : Bonaire doit poser des limites au tourisme. L’île est surtout une destination de plongée mais ce tourisme a atteint ses limites. Trop de plongeurs forment une menace pour la qualité de la nature sous marine.
Pour Wijnand de Wolf, manager du parc nationale de Bonaire, la fréquentation est trop forte à certains endroits comme à petit Bonaire le lac, une zone humide protégée. Les écosystème ne peuvent supporter qu’une affluence limitée, selon De Wolf.
L‘augmentation du tourisme de croisière le préoccupe également. À cause du manque de plage, Bonaire n’est pas disposé à cette activité. Le tourism Corporaiton Bonaire (TCB) en est bien conscient.Selon son directeur Maurice Adriaens, il y a encore assez d’espace pour le développement d’un tourisme de pays.
C’est aussi ce que pense le directeur général du Courtyard Marriott Hotel. Il souligne que Bonaire doit se tourner vers un tourisme de masse, parce que « l’île n’est pas désagréable ». Tout au moins est il partisan d’un « concept tout inclusif », où les résidents ne sortiraient pas ou à peine du terrain de l’hôtel. Cela ne change rien à la destination. Il entend par là l’authenticité et la diversité de Binaire et des autres sortes de tourisme.
Selon lui, les société hôtelière Bonhata et chez TCB ont l’ambition est de développer un produit bonaire. Il ne s’agit pas uniquement de plongée mais aussi de se tourner vers la diversité de l’île. Bonaire compte à peine 20 000 habitants. En raison de la hausse du tourisme de croisière, environ 6000 tourisme parcourent certain jour le Kralendijk.
Source : Caribisch Netwerk, Antilliaans Dagblad