Le premier faux cul d'entre eux et qui détient la palme s'appelle Laurent Joffrin Directeur du Nouvel Obs:Sont ils si nuls titre t'il en première page afin d'appâter le gogo pour ensuite nous livrer une analyse en demi teinte où on essaie de se justifier tout en hésitant pas à titiller l'équipe gouvernementale et son chef .Nous sommes loin du Nouvel obs qui berçait notre jeunesse de militants, celui d'un Jean Daniel si brillant, d'un Julliard souvent étincelant, et de tant de journalistes qui ne reniaient pas leur foi pour tendre la sébile.Pauvre Laurent Joffrin. Pour ne pas apparaître trop éloigné du refrain à la mode, vous emboitez le pas à Csafran et Domenach qui s'essaient vainement dans un Marianne de plus en plus discutable, à admonester Hollande qui n'en a que faire, se tenant strictement au cap fixé clairement pendant sa campagne.
Oublions le point qui me parait si flou qu'il faudrait justement ,comme on dit en matière de Photo, y faire le point et surtout l'Express d'un Christian Barbier qui nous assène : Et si Sarkozy avait raison ". Courtisan dans l'âme, le pseudo journaliste à l'écharpe rouge doit regretter ses entrées à l'Elysée, son amitié avec la première dame d'alors et commence déjà à donner des gages en vue d'un hypothétique retour de l'ex .Discours sans colonne vertébrale, invention d'arguments qui ne résistent guère à l'analyse, exposé amphigourique tentant d'argumenter sans succès. Pauvre Barbier.Si l'ex avait eu raison il serait encore à l'Elysée, vous continueriez à y aller prendre vos petits déjeuners, et la France continuerait sa plongée sous marine commencée depuis 2002 et poursuivie sans vergogne jusqu'à ce mois de mai où l'on a fini par renvoyer tous ces analphabetes politiques là où ils auraient du éternellement rester.
Ajoutons enfin la Télé où Falorni député anti républicain n'arrête pas de se vautrer ,chez Ardisson ,puis chez Ruquier. L'audimat est le Moloch qui a fini par pervertir le service public de la télévision ou la téléréalité est devenue un baromètre.
Jusqu'à Mediapart qui se questionne par la plume de son directeur Edwy Plenel et celle de mon ami Vingtras qui semble découvrir en François Hollande un social démocrate. Mais la social démocratie n'a rien d'infamant ,sauf pour une extrême gauche où Mélenchon n'essaie de continuer à exister qu'en insultant le Prtésident élu, rejoint d'ailleurs et c'est logique, par une Marine Le Pen aux aguets et une UMP qui remue ciel et terre sans convaincre.
Les trois millions de chômeurs, la dette abyssale, la désindustrialisation etc... ne sont pas le fait de François Hollande et de son Gouvernement.Il n'a pas d'autre alternative que d'enfourcher le cheval du redressement obligatoire, à travers un effort collectif le plus justement réparti.C'est une question d'honnêteté d'abord, mais aussi d'indépendance nationale et de consensus avec les autres pays européens et en premier lieu l'Allemagne.
Pourquoi ne souligne t'on pas ,sous la plume de ces brillants pamphlétaires, qu'Hollande en trois mois a obtenur beaucoup plus sur le plan européen que Chirac et Sarkozy en dix ans: Un plan de relance ,insuffisant certes, de 120 milliards et surtout le soutien en toute indépendance de la BCE aux pays du sud qui risquaient d'entrainer toute la zone euro dans une explosion mortelle.Certes ce n'est pas la panacée, mais la Chancelière,si hostile à cela pendant des années, sourde aux suppliques de l'ex, a fini par entendre raison.
Le cap est fixé ,et quoiqu'en pense les grincheux, il sera tenu.Hollande est un homme sérieux qui doit godiller avec prudence pour sortir la France des marécages dangereux où Sarkozy, Fillon,Copé et consorts l'ont amenée puis laissée.Parti à 3% dans les sondages, moqué par les uns et les autres, l'homme de la Corrèze a peu à peu creusé son sillon.Nous sommes quelques uns a l'avoir suivi, a avoir cru en ce destin curieux d'un homme qui croyait en son étoile et qui a fini par vaincre les obstacles pour gagner.Laissons du temps au temps.Il n'y aura ni révolution de Palais, ni retour à des pratiques dépassées.Laissons la Presse aboyer et vendre, oublions ce brouhaha inutile .Le Président est là solidement installé à la barre, le gouvernement fait son travail à son rythme, qui n'est pas celui des pisse copies et la France, malade de dix ans de droite, avance certes lentement, mais sûrement vers un retour à sa normalité: celle d'une nation que le monde regarde, qui se doit d'être indépendante ,donc financièrement saine.
Fi des cents jours et des Napoléon grand ou petit, notre référence c'est la justice sociale, le progrès après la gabegie, l'espoir pour la jeunesse.Pour cela le Peuple nous a donné un Mandat pour cinq ans , point final.