Peindre le présent de la couleur de l'infini
Tracer de nos doigts sanglants avec l'encre de la bête
La mer dans le sable mouvant,
La terre entre deux nuages blancs, et le ciel...?
Et le ciel dans l'éclipse des prophéties
Se lever sur le tranchant de la page de l'aube
Oublier de parler, mais chanter son cœur
Dans chaque fractures, toutes les béances,
Plonger la main vers la nacre écarlate
L'empoigner et l'éclater sur le sommet de notre chevalet...
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