J’aime lorsque le peuple français se réveille.
Qu’un bain de jouvence nous ensorcelle !
Que le Front Populaire soit, et qu’il soit pérenne
Pour en finir avec les bonimenteurs pétris de haine !
Du RN l’on sait beaucoup de choses, l’on cause.
Lugubre calque d’un parti fasciste et collaborationniste,
Jusqu’en son sigle, cette honteuse flamme annonciatrice.
Il est temps de reverdir la planète, alors je marque une pause.
Ya no llorare que de felicidad.
Viernes parece ser un buen día para empezar.
Viernes, porque tengo que limpiar y ordenar,
Para luego mis amigos y loosers avisar.
Alors, maman, ce n’est pas fini ?
Même toi, dans ton inconfortable lit,
De l’au-delà déjà loin, éloquente, tu dis,
Et l’on t’écoute enfin, tu dis… Je vis ?
Une jolie plume, mère, m’as-tu donné,
Quand tes jours, c’était tout sauf l’amour.
C’était cris, et gris, et puis poids, et puis peine.
Tu aurais vu la Sophie Binet, la Marie Toussaint…
Tu aurais vu ton fils timide danser la techno glinglin.
Tu m’aurais vu écrire comme diable, juste et émancipé,
Comme sorti, expulsé du gouffre asphyxiant du marché.
Jour un ; j’ai trouvé comment conclure mon ouverture.
Même isolé, même schizo, allez, je sais avoir des alliés.
Et ces gens de gauche, probes et attentifs, m’inspirent
Et guident mes pas, la peur me quitte déjà, je pars, mais je respire.