Un ministre socialiste grec fait le bilan : En Grèce « en deux ans (octobre 2009 à octobre 2011) de gouvernement a diminué le nombre des fonctionnaires de 200.000 ».
La droite grecque est aux anges. Elle n’aura pas à le faire lorsqu’elle arrivera au pouvoir en 2013. Sarkozy n’ose pas le faire aussi brutalement. On risque une insurrection incontrôlable.
En Grèce les prêtres sont des fonctionnaires payés par le ministère de l’Education nationale. Depuis deux ans, le gouvernement ne remplace plus qu’un fonctionnaire sur dix, exception faite des prêtres. Cette mesure a été adoptée par DSK au temps où il baisait impunément les peuples.
Le nombre des fonctionnaires par habitant en Grèce était déjà inférieur à celui des fonctionnaires en France.
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La tragédie grecque ne nous concerne pas, puisque nous sommes la quatrième puissance mondiale. Chez nous « on ne boit pas », « on ne se bronze pas au soleil », on travaille plus pour gagner moins et nos gestionnaires font partie de l’élite mondiale. Néanmoins il faut que quelqu’un paye la dette de 1.800 milliards d’euros à la date de septembre 2012. En France, on a le choix puisqu’on est en démocratie. Ou bien reconduire Sarkozy et payer la dette et les émeutes, ou bien élire Hollande et payer seulement la dette (seulement 66.112 euros par actif occupé, d’après le journal de référence).
Nos brillants experts économistes à la télévision vous diront que toute autre solution conduit à l’aventure.
Soyez calmes et surtout ne bougez pas.