Ce matin premier juillet on lira les titres sur les sites des grands journaux de l'oligarchie.
Le Figaro (Dassault) : Les accusations contre DSK pourraient s'effondrer.
Le Monde (Bergé-Niel-Lazard) : Les accusations contre DSK pourraient s'effondrer.
Libération (Rothschild) : Les accusations contre DSK pourraient s'effondrer.
Les titres sont identiques (7h40) ! Il ne faut pas voir un complot, sinon vous êtes antisémite. 57% des français (70% des sympathisants socialistes) croient au bon complot. La foule a toujours raison. Depuis plusieurs jours, on attendait avec impatience la délivrance. La femme qui a agressé sexuellement Dominique a menti, elle a des relations avec le milieu. Le lendemain de son crime elle discutait avec ses amis du milieu du prix à réclamer (elle connaît mieux que Badinter la justice américaine). L'université de Harvard pourrait même annuler la "preuve" de l'ADN.
Nous avons clamé l'innocence de Dominique, comme celle de Polanski. Il n'est pas présumé innocent, il est innocent. La seule question : Le prix de l'innocence. Nous l'avons écrit dès le 17 mai (dimitri-blog.fr), trois jours après l'incident qui a coûté la présidence à Dominique. Voici notre texte, avant toute la grande Presse.
Il ne sera pas président de la République. Le but est atteint. Le combat politique, hélas, n’a pas suffit pour battre le champion planétaire du libéralisme. Il a fallu une femme immigrée noire de Bronx (complot ou pas). Soyons réalistes. Sauf un coup tunisien, on ne peut pas faire condamner les grands bourgeois de l’oligarchie sans en payer le prix. Déjà la presse de l’oligarchie française est déchaînée.
Le contexte de combat politique est difficile après la « mort » de leur leader. Maintenant il faut protéger la victime. Il ne faut pas la laisser aux mains des avocats de la partie adverse. Ca va être long et pénible pour elle. Sa vie sera détruite. Que des intellectuels progressistes interviennent à son secours. Indignez-vous ! M. Hessel. Que des juristes la conseillent. Il faut qu’elle compose avec le (présumé) violeur. Le maximum de fric et un accord bien verrouillé à la manière américaine. Un acte politique.