Nicolas Sarkozy a écrit aux parents de Gilad Shalit, Franco-Israélien retenu prisonnier par les palestiniens depuis sa capture le 25 juin 2006.
“Cher Gilad, je le réaffirme ici, la France ne vous abandonnera pas à votre sort et n’aura de cesse d’agir, avec d’autres y compris dans le monde arabe, pour que finisse ce calvaire injustifiable”, lit-on dans la lettre diffusée par la présidence.
Néanmoins soyons vigilants. Le gouvernement risque de lui enlever la nationalité française, étant binational. Il faudra légiférer tout de suite. Sinon notre soldat aux avant-postes de la défense de l’Occident risque d’être assimilé aux bougnoules et aux islamistes de la banlieue francophone. On est français et rien d’autre qu’israélien.
Les terroristes du Hamas ont proposé l’échange du soldat israélien contre quelques centaines de prisonniers palestiniens détenus dans les hôtels-prisons d'Israel. Le gouvernement israélien refuse l’échange à juste titre. Car c’est l’humiliation. Faire croire à l’opinion internationale qu’un israélien vaut seulement quelques centaines de palestiniens, c’est insulter le petit peuple élu qui se bat pour sa survie contre un océan de barbares autour.
Une photo géante du soldat israélien est affiché à la Mairie de Parie par Delanoë pour montrer aux visiteurs du monde entier que le combat de Gilad Shalit est le combat de l’Occident pour sa survie
A partir du 28-06, suivant la symbolique BHL, la photo de DSK, innocent dans nos coeurs, détenu depuis le 15 mai aux geôles américaines, pourra compléter le dispositif d’alerte démocratique. On notera que ses avocats ont arraché le droit de visite à la Synagogue, contrairement à Gilad.