Poème marxien :
Ô peuple, déploies tes ailes,
gagne ta liberté et martèle,
que nul chef ne peut
infléchir par ses vœux
de profit et de place,
les enfants de ta classe.
Ô peuple, vois la manipulation,
sous tes yeux, il prend ton opinion,
continueras-tu à siéger
là où tu te fais contrôler ?
C'est la clé de sa domination :
il parvient par la distinction
de tes enfants, à diviser
un peuple qui oublient ses intérêts.
Il arrive en galvaudant,
à dénigrer ses critiquants,
et par des stratégies d'étiquetage,
à reléguer leur langage,
offrant ainsi leurs mots
au mépris du complot.