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Billet de blog 1 mars 2021

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quand parler ne VEUT RIEN dire

c'est juste un petit résumé des " évolutions " actuelles, je reviendrai pour finir et rajouter un paragraphe, je vais bientôt changer de forme - j'aurai une annonce à faire

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

les mensplainers, appelons ça comme ça, c'est une espèce de mélange entre quasi délire paranoïaque donc assez typiquement masculin  et manipulations perverses (les pervers, qui sont particulièrement non-vivants, se mettant donc en embuscades pour récupérer le discours de l'autre et le dénaturer, l'inverser, en changer/altérer le sens ...) spécialement dirigés contre les femmes, donc on sait que les paranoïaques sont des refoulés homosexuels, mais c'est une psychose, donc il y a effectivement un déni de réalité(s) → c'est une espèce de trou noir finalement, de(s) mecs qui s'inscrivent en creux, qui n'assument rien-qui ne sont jamais là, après ce sera d'autant plus difficile de réfléchir sur ce problème puisqu'il y a donc du déni et que par exemple, en psychiatrie ou même en psychanalyse règne encore ce fameux « patriarcat » avec des mecs qui se croient en résumé supérieurs - et beaucoup de nanas qui restent malheureusement encore soumises à leur(s) discours - mais y aurait donc, des études  à faire ... comme je l'ai écrit dans des comm, que ce soit dans l'une ou l'autre de ces disciplines, il serait temps d'arrêter avec " aussi " ces délires comme quoi la femme serait-est forcément hystérique (ça remonte à Charcot avec son cirque de crises de nerfs grand-guignolesques, mais même rondement à l'antiquité avec la théorie de l'utérus flottant ! qu'il faudrait « fixer » ... dire que les mecs se croient des scientifiques) et qui ne peut être que castratrice ou violée : ça c'est des fantasmes de mecs centrés sur leur zizi qui soit ont peur pour lui, soit l'imaginent surpuissant → et c'est assez ... incroyable, donc, on le croit pas, mais ça continue en psychiatrie et même en psychanalyse : une femme ne serait pas complète  sans un pénis et donc sans un Homme bien sûr ils le disent pas comme ça, mais ça les dérange  pas de re-sortir le[ur]s vieilles lunes sur « l'hystérie » à tous bouts de champs, sorties donc direct de leurs imaginations, alors que leurs délires disons virilistes, eux, sont une réalité - mais jamais ramenée au rang de pathologie et rarement étudiée, et pourtant y a[urait] du matos à examiner 😕

Illustration 1

en médecine et assimilé vous avez vu/imaginez les incidences, une catastrophe, les mecs les plus fragiles qui ont une haine et une peur aussi des nanas, qui ont leur petit pouvoir de thérapeute(s), mais qui ont la trouille déjà rien que d'aider les autres ⇒ il faudrait leur demander déjà pourquoi ils ont fait médecine, vous « leur collez » une malade avec une pathologie un peu consistante entre les pattes, " juste " avant de se barrer courageusement les quéquettes entre les gambettes, ils auront l'occase comme devant moi pliée de douleurs après mon accident de bagnole de dévider leurs discours donc paranoïaquo-pervers comme quoi donc c'est de l'hystérie, des douleurs ou des symptômes « psychogènes » (excusez-moi mais moi qui les ai vus des 2 côtés, quand on voit comme/bien ils sont doudouilles 😀 ...)      (oui ça a des incidences, quand on voit aussi toujours le scandale des psychiatres™ qui s'engouffrent dans la brèche, sans rien connaître à/jamais avoir pratiquée la médecine qui par exemple, font des expertises pour qu'on les croie experts en médecine, si c'est pas de la perversion pour exclure surtout les femmes de leurs droits élémentaires aussi à être soignées en étant eux, grassement payés par les assurances™ pour ce faire, qui par ailleurs les embauchent sachant pouvoir compter sur leur incompétence - et sur le fait, évidemment, que dès que tu vas voir un psychiatre t'es cuit(e) - encore plus évidemment donc, si tu es une nana et que le psy est un mec, le discours               « scientifique », comme di[rai]t l'autre, est donc tout prêt ... NB il y a très peu de femmes expertes,        à peu près autant que de mecs violés par des nanas  😉) ⇒ en faits ce sont des féminicides « médicaux », c'est aussi comme ça que le « patriarcat » se maintient

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malheureusement, tout-(te)s autant que les psychiatres 🤑 qui n'ont jamais exercée la médecine, et qui donc quand ça les arrange se vantent de « ne pas toucher au(x) corps » (cf. aussi les urgences vitales qui traînent des lustres en psychiatrie parmi les cafés-rires-ragots des équipes) et dont le cursus à part ne comporte en plus aucune formation aux psychothérapies et encore moins à la psychanalyse, et encore moins la moindre obligation de se soumettre à une quelconque thérapie perso, qui donc abusent de leur titre de Docteurs pour donner leurs avis sur tout le reste de la médecine sans jamais l'avoir donc, pratiquée et ce, en proportion de leur incompétence, absence d'empathie et manque d'esprit scientifique on a aussi le reste des spécialités de plus en plus hors sol, éloignées du terrain et de leurs responsabilités de base qui empruntent leurs éléments de langage psychiatrisants ou psychanalysants sans avoir non plus ou idem aucunes connaissance ni pratique de ces disciplines, pour essentialiser les « patient(e)s » pour parler intello surtout pour se mettre à distance/en Hauteur, les aliéner, les consdamner et in fine les exclure des soins, ces spécialistes se sentant tout-puissant(e)s en faisant l'inverse de ce qu'ils/elles devraient faire → oui, ça touche aussi les nanas  🙁 rappelez-vous de ma " copine " interne qui pense être devenue une Grande Docteure, qui traitait/traite toutes les malades mais d' « hystéros » d'entrée de jeu, pour montrer comme elle se sent supérieure (sans savoir ce que recoupe le terme d'hystérie, qui n'a jamais été en thérapie, c'est une " médecin " généraliste qui se prend pour la maman du village et qui croit que les gens viennent la voir [que] pour Sa Grande intelligence et non pas pour être soignés ... mais à propos d'hystérie qui donc est un fantasme masculin et qui n'existe pas en tant que telle, je ne vous parlerai pas de sa vie privée, et encore moins sexuelle qui approche le zéro absolu - par ailleurs évidemment, la nana est persuadée    de tout savoir sur tout et ne voit pas des urgences grosses comme des maisons) ... c'est vrai que là on approche d'une sorte de délire de grandeurs avec négation(s) de la réalité donc dénis, projections, falsifications, inversion du sens d'à peu près tout, et des valeurs, tout ça entortillé dans des éléments de langage médico-psy ... et de gens qui ne sont pas près de réfléchir à ce qu'ils disent et font ... devant c'est facile des malades en positions de vulnérabilité, et sidéré(e)s souvent par le fossé d'incompréhension, qui attendent ...

Illustration 3

je reviendrai donc pour finir - je vais bientôt entrer une pièce de théâtre dans ce blog pour montrer mieux ce qu'ils/elles font → ces médecins ou ces Doctes qui croient tout savoir/tout maîtriser ...

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je termine (5/3/21) :

on ne sait pas si cette manière très stéréotypée de vouloir écraser les femmes chez les mecs qui ont pas de khouïlles est d'origine je ne sais pas moi, hormonale, culturelle/sociétale (le mainsplaining se dé-roule-vide dans les médias mais sans contradicteurs en face, évidemment : vous savez, c'est le discours de « maîtrise scientifique » - toutesfois, dans    la sphère privée le phénomène est tellement le même à chaque fois qu'il apparaît presque comme biologiquement déterminé) ... d'où viendrait cette sorte de psychose ? (les psychoses non plus, phénomènes psychiques, on ne sait pas clairement d'où ça vient) Christophe Dejours dans « Souffrance en France » a développé la fameuse notion de banalité du mal de Hannah Arendt - en parlant de banalisation du mal  aussi (dans les entreprises, pour ma part également incluant les hôpitaux) - en essayant de faire une typologie de ceux qui en sont responsables : centrés sur eux-mêmes/ne voyant pas plus loin que le bout de leurs nez et masques maintenant (cette sorte de paravent comme je l'appelle), incapables d'empathie pour d'autres qu'eux-mêmes ou que leurs proches immédiats, soumis aux protocoles/règlements/formatages de tous poils et à « l'autorité » (également au groupe, à la conformité/normalité qui les rassurent), sans humour - rapidement vexés/déçus/dépressifs si ça ne va pas dans leur sens, dans une sorte de clivage déniant    la réalité qui ne les intéresse pas quand elle ne correspond pas à ce qu'ils [en] attendent pour eux-mêmes plaquant des discours « scientifiques » dessus pour dire la maîtriser  → oui, on dirait des gamins gâtés de 3 ans ou du primaire qui ont besoin d'être rassurés mais arrogants et agressifs  - [qui veulent se sentir] supérieurs aux autres - et les mecs aux nanas

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y en a qui parlent et c'est bien vu de « toute-puissance narcissique infantile » aussi - favorisée par l'individualisme prôné par le capitalisme, la notion de « profit » portée    aux nues dont la vacuité est camouflée par des éléments de langage, la communication (on en atteint des sommets sous la technocratie triomphante actuelle) utilisée pour empêcher le partage : toutes les valeurs sont inversées  → avec l'inflation de gestionnaires dans le domaine de la santé et les hôpitaux, on pouvait être sûr(e)s que        les « soignant(e)s » en titres, aussi peu éthiques, empathiques ou pourvu(e)s de véritable esprit scientifique que n'importe qui, allaient obéir pour commencer à une Bachelot™      et à ses comptes d'apothicaire/sa tarification à l'acte, mais je ne m'attendais pas à        une telle ... débandade  : je vous ai donnés quelques exemples de mensplaineurs 😕😮 comme le « Grand » Patron de gériatrie assassinant une malade en expliquant à tout le se(r)vice que « c'était » un « syndrome de glissement », et venant encore m'expliquer après qu'Il était un Grand Humaniste, le Patron de neuro tout frétillant devant une malade atteinte d'une tumeur maligne au cerveau devenue tétraplégique, qui allait mourir, qui lui assène en se bidonnant de toute sa graisse : « Alors vous ne pouvez plus bouger ni vos bras ni vos jambes, hein ? Hein, vous êtes complètement paralysée, hein ? » les deux étant encore encensés à ce jour sur le net comme des Maîtres en médecine et des modèles d'empathie et des exemples sur moi-même, dont le neuro aussi qui m'explique ce que j'ai comme CD sur ma table de nuit, entre autres, avec les immenses douleurs dues à mon accident de bagnole, et qu'une perfusion est facile à poser en [me] déroulant ses autoroutes sur ses avant-bras et quand l'infirmier a été cap de me coller 18 hématomes sur les miens pour m'administrer un médoc qui n'est pas absorbé par voie veineuse (ouf - parce que toxique en plus d'être inefficace sur les douleurs), qui explique aussi à ma traitante dans Son courrier de sortie qu'il m'a guérie et que j'ai pas eu d'accident de voiture - mais les dernières fois      que je suis allée dans les hostos, pour des urgences vitales, je ne m'attendais pas non,      à de telles inversions de[s] valeurs et à une soumission aussi totale à des gestionnaires décérébré(e)s (excusez du pléonasme) qui sont partout maintenant (et avec le Covid™, encore plus - je crois qu'on ne peut même plus parler de médecine) ⇒ ce sont eux/elles qui décident des admissions et des urgences, les médecins ont à peine un pouvoir symbolique et en faits, que la possibilité de défouler/projeter leurs frustrations sur les      « patient(e)s » et effectivement, en sont réduits à utiliser des éléments de langage médical pour au minimum, minimiser les symptômes et la souffrance des malades ... quand ce n'est pas donc un déni total qui commence par leur manque d'empathie et d'esprit scientifique, pour se croire - d'autant plus - tout(e)s-puissant(e)s - devenu(e)s oui des sortes de trous noirs comme les pervers et les paranos qui aspirent la matière vivante pour en faire n'importe quoi, souvent l'inverse " justement "  - qui ramènent tout à leurs égos énormes en expliquant que c'est jamais de leur faute ... je reviendrai, aminches  😉 pour vous parler de ma pièce, disons, pour l'introduire

Illustration 6

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