après avoir parlé de cette jeune fille passée par les Urgences (aussi, et encore une ...) en raison, d'après ses vieux, d'un « coin de table qu'elle s'était malencontreusement pris sous les côtes » - la gamine mutique, sidérée (et par le traumatisme) et sous emprise, sage comme une image ⇒ donc les parents hyper manipulateurs-hyper faux reçus eux sur un tapis rouge par les personnels (non moins faux ...), moi obligée d'appeler le radiologue/échographiste et le chir en raison par contre, de lésions graves - et pouvant représenter rapidement une urgence - suspectées au niveau de son foie, j'ai raconté la dernière fois le fiasco total que ça a été pour elle (... plus qu'un fiasco, un assassinat - un féminicide, mais beaucoup pensent donc que c'est moins grave ... disons ici, un infanticide avec que des complicités/facteurs aggravants assez ... monstrueux) ⇒ bien sûr elle a été renvoyée dans son « foyer » (NB évidemment, le chir et le radiologue pouvant raconter n'importe quoi (et l'inverse) - et surtout, bien féliciter les parents de l'avoir emmenée aux Urgences, mais ne nous énervons pas ...) et si je peux perso oublier toutes les tentatives de l'infirmier particulièrement incompétent (en 3 mots aussi) et misogyne pour me faire porter le chapeau des maltraitances sur cette enfant en poussant notamment les parents à porter plainte contre moi, je revois encore le ricanement satisfait du chir (donc incompétent et dangereux idem, de surcroît un spécimen abouti de vieux mâle blanc particulièrement visqueux, qui a dû bien s'entendre avec l'IDE) repassé après - avoir foutue la petite dehors - pour me tancer de toute Sa « Hauteur » (sans me donner des nouvelles, ce genre de gens particulièrement lâche fait toujours de la rétention d'infos pour pouvoir garder l'avantage sur autrui) ... je pense que ce vieux s.igaud se doutait TB que la gamine avait été battue par ses parents, et qu'il savait TB que c'était grave ... ravi aussi que le mâle IDE fasse le maximum pour me compliquer le boulot par ailleurs - encore un(e) IDE anonyme qui avait bien pigé que sa responsabilité ne serait jamais engagée, non seulement un abruti irresponsable, mais un pervers sous ses airs d'intello à la parade (profitant et à donf de la soumission des autres nanas aussi, ainsi que de leur jalousie - féroce - envers les nanas toubibes, en plus de leur misogynie non seulement d'imitation, mais non moins chronique) qui organisait les fautes pour me les faire porter ... bref vous avez vue la fine équipe, et si elle n'est pas composée comme là de s.pards du genre en premières lignes pour faire des dégâts, on peut en général compter sur l'effet troupeau pour faire le boulot : le sadisme, souvent en/de groupe dans les hostos - pour toujours mieux se couvrir, aussi ... c'est hélas comme ça que ça fonctionne

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et je suis sûre que les virilistes, tous les lâches qui se prennent - eux aussi - pour des Patriarches, qui me liraient, seraient - plus ou moins secrètement - ravis de savoir qu'une gamine, donc une nana, a été renvoyée à la mort ↔ chez ses parents ... mais ça me fait repenser à un autre « incident », dont j'ai déjà parlé aussi, malheureusement : à ce jeune garçon amené aux Urges - d'autres Urgences, alors que j'étais interne aussi - par sa mère psychiatre, particulièrement guindée - et hostile avec moi (bien sûr, puisque je voulais soigner son fils ...) : là par contre, l'équipe était moins ... débilo-prétentieuse, et notamment mon chef (l'assistant des Urgences, qui devait gagner à peine(s) plus que le SMIG, et qui malgré sa « diplomatie » avec la Direction et tou(te)s les cadres - contrairement à moi déjà - a été viré finalement du jour au lendemain, à sec et comme un malpropre quand le dirlo a voulu faire construire un pavillon mère/enfant pour faire du chiffre → mes pas cher(e)s collègues devraient regarder plus attentivement toutes les conséquences de leur servilité empressée devant les gestionnaires) était quand même un type assez consciencieux d'habitude(s) (quoique, lui aussi a assassiné(e)s d'autres malades ... sur desideratas de ... secrétaires descendues aux Urgences, qui s'ennuyaient en haut, et qui avaient estimé que les malades coûtaient cher, déjà ... bon j'en ai déjà parlé) ... quoi qu'il en soit, là les personnels des Urges n'avaient pas envahi le box, et si la mère - reçue elle aussi sur un tapis rouge par donc mon chef, et qui avait aussi faite la super-mignonne avec lui - restait bien calée sur sa chaise à me dévisager d'un regard haineux, ledit chef était sorti et j'ai donc pu examiner le jeune garçon relativement correctement : il avait un gros trauma facial, donc crânien aussi, très mal expliqués - voire pas du tout - par sa mère (lui était pareil, mutique, sidéré, et sous son contrôle ...), et j'ai donc demandées toutes les radios (comme je fais d'ailleurs d'habitude(s) ...) ... et tout s'est gâté quand j'ai commencé à leur expliquer, et posément, à lui et à sa mère, qu'étant donné les volumineux hématomes sur son visage il fallait faire un contrôle ophtalmo pour vérifier qu'il n'y ait pas de décollement(s) de rétine(s) → la nana, outrée, s'est précipitée au-dehors pour aller « alerter » mon ... chef, qui pourtant était donc mille fois plus compétent et consciencieux que le chir/boucher sus-évoqué, revenu quasi sur le ... coup dans le box pour paf ! m'en faire sortir illico et me menacer devant la porte de conseil(s) de « discipline » et de plainte(s), encore : je ne l'avais jamais vu aussi furieux ... et un type toujours calme

(une nana ça aurait été pareil oui, voire ... pire - puisque assignée(s) au « care » ... et pouvant rarement se venger)
OK l'ophtalmo du coin figurait sur le tableau de garde pour être payé à ne jamais se/être déplacé(r) surtout en urgence(s) (mais on a vu que c'est ... la règle, pour les spécialistes locaux ... et comme perso je m'en foutais - déjà aussi - c'était pas la première fois que je la transgressais) mais donc là on voit bien que la soumission qu'elle soit au fric/aux gestionnaires, aux titres, aux parents qui maltraitent leurs enfants, elle est bien ancrée dans les esprits, on est bien dans le système patriarcal → il faudrait quand même étudier mieux cette inversion totale des fautes et des responsabilités, qui est vraiment ... frappante en ce qui conscerne les enfants abusé(e)s, garçons ou filles : elle vous change un médecin des Urgences un peu « mollasson », mais au moins pas un gros bourrin ou/et un pervers, et quand même pas du tout incompétent, qui connaît les traumas crâniens et faciaux, en un genre de furie qui est traumatisé parce que simplement quelqu'une (ça aurait pu être un mec, quoique ...) demande les examens nécessaires pour soigner le gamin : devant la/les réticence(s) devenue(s) haineuse(s) de la mère et le garçon toujours aussi sage, j'avais compris vite aussi qu'il avait été battu - et comme plâtre - soit par elle, soit par son père, ou proche, mais j'étais restée très calme (la soi-disante empathie qui consiste à faire des risettes et à s'ingérer dans les vies persos des malades, des enfants aussi, fait partie évidemment de la même hypocrisie - meurtrière - de ce système patriarcal, qui permet notamment aussi et tjrs d'inverser donc les fautes et responsabilités et de vous accuser quand vous bossez et n'y participez pas, de « ne pas aimer les enfants » et de les mal-traiter vous-même(s) avec vos examens, vous l'avez compris) ... enfin là, c'était sans doutes de vouloir des examens plus poussés qui a déclenché la crise : ne pas [vouloir] reconnaître/assumer sa - propre - lâcheté semble partie prenante de ce système malsain de domination sur les plus vulnérables, et quasi tout le monde est complice (ces gens-là, incapables de re-connaître leurs responsabilités, pratiquent les fuites en avant dans les projections, inversions, violences ininterrompues ... et tout le système les couvre, qui va jusqu'à accuser par exemples, les enfants abusé(e)s sexuellement d'en être ... responsables ...) - bon, je dois encore sortir, j'ajouterai peut-être un paragraphe ... mais c'est vrai qu'on peut mourir même en écrivant

... parce que particulièrement dans les cas des enfants maltraité(e)s par leurs parents, de [vouloir] soigner les gamin(e)s déclenche (en plus des incompétence(s), jalousies, misogynie etc.) une haine - féroce - de tous les personnels disant donc par ailleurs « aimer les enfants » (et qui doivent quand même sub-conscienciemment se rendre compte(s) qu'ils/elles ont été violenté(e)s par leurs vieux) → est-ce que c'est une haine de la capacité à bosser/sublimer surajoutée à la méfiance envers qui ne suit pas/ne marche pas avec le troupeau soudé par ses bas instincts, ou une colère furieuse parce qu'on n'avalise pas et donc qu'on n'obéit pas, comme tout le monde, à la ... « dominance » - automatique et universelle - des parents ?