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L'AUTEUSE ou l'ôteuse ? je plais-ante ...

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Billet de blog 5 mars 2021

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une euthanasie joyeuse

" finalement ", ce n'est pas marrant du tout ... et je ne l'appellerai pas une anecdote

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... salut ami(e)s → je repensais ce matin à Michèle Causse qui a pu se payer son suicide    " assisté " en Suisse - je dis pas du tout qu'elle avait du mépris pour les autres : on sentait une vraie gentillesse chez elle, et après avoir lue la vidéo de son euthanasie je suis pleine d'admiration pour cette dame - mais évidemment si je me rappelle bien ça tourne autour de 10 000€ + y a plein de trucs à organiser et plein que j'imagine pas, faut pouvoir le(s) faire je peux supposer, mais donc c'est pas donné à tout le monde, rien qu'au niveau du fric  ⇒ les pauvres continueront donc à se faire pomper le leur, à se faire écraser de toutes les manières possibles, souffriront l'enfer dès que malades tout le monde se défoulera encore mieux dessus 😀 et mourront souvent dans des souffrances absolument atroces  ... " mais " non rarement prolongées, qui rapporteront souvent encore le plus possible au système et devinez, avec toujours du monde pour se défouler dessus 😇 ⇒ y aurait pas de petits profits, donc

oui on imagine toute l'organisation en amont : on peut pas juste mourir et tout laisser en plan/laisser les autres rappliquer pour profiter du spectacle mais ensuite obligé(e)s de trier pour récupérer ce qui les intéresse, avant de pouvoir profiter des restes aussi, obligé(e)s de se battre comme des chiffonnier(e)s ... et on imagine même pas toujours      les comptes à rendre aux administrations/organismes divers et variés avec tou(te)s leurs petit(e)s chef(fe)s ... après s'être déjà payé(e)s le corps médical et tou(te)s les socio-psycho-« expert(e)s »-évaluateurs/trices et avoir dû leur expliquer comme à des petits enfants 36 fois de suite pourquoi on veut en finir en évitant leurs chausses trappes grossières ... alors que c'est eux/elles qui vous con.sidèrent comme un(e) petit(e) enfant qui sait pas trop ce qu'il/elle raconte - et alors même que c'est évident qu'ils/elles vont aller rapporter toute votre histoire enfin, le peu qu'ils/elles en auront con.pris, le « croustillant » comme disent les infirmier(e)s pour aller se faire mousser avec partout ... bref, avoir dû se justifier devant tout ce beau monde qui soi-disant a le droit de juger de toute votre vie parce qu'ils/elles ont là le droit de vous donner officiellement votre mort sans rien craindre perso ⇒  si vous êtes « psychiatrique », c'est pas bon, il faudra continuer à souffrir, ils/elles con.sidèrent que c'est alors de leur « responsabilité » de plutôt vous maintenir zombie avec des cachetons, et c'est pas un exemple c'est la règle puisque c'est eux-elles aussi qui jugent [du]/[de] la « psychiatrique » aussi sans vous donner aucune garantie sur leur [plus ou moins] propre psychologie ou ... moralité (vu qu'ils/elles parlent tout le temps de morale sans la nommer)

mais foin des discours ampoulés excusez je m'énervais un peu contre les psychiatres-psychologues-              « experts » ... ceux/celles que j'ai connu(e)s voyaient pas un(e) bovidé(e) dans un couloir, se prenaient quasi pour        des super(e)s-toubib(e)s ... et cassaient des vies c'est mieux quand on rentre dans le concret  - par exemple, en ce qui con.cerne Michèle Causse, chapeau, la nana a un « sacré » courage parce que je me rappelle plus bien mais elle avait genre 75 ans et disait dans la vidéo qu'elle avait souffert de douleurs chroniques quasi toute sa vie, des douleurs de colonne - elle expliquait qu'elle devait quasi tout le temps vivre couchée pour ne pas moins souffrir : imaginez le calvaire sus-évoqué avec donc les proches, les administrations et organismes, les médecins-psys-évaluateurs/trices de tous poils quand en plus on a des douleurs quasi-permanentes et qu'en face ils/elles pensent que tu fais un petit caprice        et t'expliquent que tu veux détruire les grandes valeurs de la « société » ... d'ailleurs, une petite parenthèse, quand je parle des diplômé(e)s/titré(e)s qui jugent de la vie/mort de(s) « patient(e)s » et qui peuvent raconter n'importe quoi  (liste trop longue), je me demande des fois si « rien(s) » que le grand « public » con.prend bien le français ... parce qu'avoir des douleurs, c'est pas pour s'amuser, voyez  → petit clin de nœil au passage à tou(te)s les spectateurs/trices voyeurs/euses peu clairvoyant(e)s avec ou sans diplôme(s) en titres qui surtout reluquent bien à distance et dès que possible en Hauteur la souffrance des autres, et qui finissent par bien en profiter de toutes manières  → non mais je pensais là par ex. à des commentateurs qui nous [res]sortent régulièrement les milliards de mort(e)s surtout US avec les antalgiques, qui seraient particulièrement représentatifs des abus de big pharma et de la soumission du corps dit médical à icelui

comme quoi le bon sens n'est pas plus partagé à la base, malgré ce que disait René D.  → je dois dire que rien que perso il m'est donc arrivé de souffrir de douleurs atroces suite      à des accidents de vie, je suis toute à fait consciente de la « chance » un peu de travail aussi, malgré tout  que j'aie eue de pouvoir me prescrire codéine, apparentés et jusque de la morphine et dérivés : croyez-vous vraiment que dans les pharmacies les vendeur/euses con.pâtissant(e)s se sont précipité(e)s pour me délivrer ? rien du tout, évidemment, si j'ai fini par obtenir mes « bonbons », mes drogues donc, ça a été uniquement suite(s) à leurs interprétations aussi changeantes que quasi délirantes (mais tranchantes) des règlementations en cours, aussi inconnues qu'incomprises en face, mais essayant tou(te)s de me démontrer que j'enfreignais de toutes façons icelles telle une vulgaire délinquante primaire (donnant lieu parfois à des scénettes hilarantes, telle celle avec une potarde™ qui, voyant que c'était de la morphine donc que je me prescrivais - je signale que peu importe la dose, que ce soye 5 ou 500 mg c'est pareil : tu tues des/les gens - s'est mise à hurler comme une bête qu'on égorgeait dans son officine devant donc la criminelle patentée que suis-je que je devais le faire sur une ordonnance sécurisée  😀 ... « sécurisée » c'est pour qu'on te la falsifie pas, une grosse rigolade : c'est une ordonnance normale avec juste à cocher une case avec le nombre de médocs que tu prescris - même « sécurisé(e) » ils/elles ne cons.prennent pas ce que c'est, ils/elles ne voient pas à quoi ça se rapporte, il n'y a rien de sécurisé, il y a juste une case en plus ... la bêtise va loin, elle avait pas con.pris que c'était moi qui me prescrivais ?  non, c'est aussi parce que ces gens-là respectent les protocoles avant tout, on connaît l'obéissance aveugle en cascades aux régimes « autoritaires » ... ) ... de très longues et pénibles tractations il faut le dire, et leurs r/appels extensifs à la Loi (qu'ils/elles ne respectent évidemment, ni d'ailleurs donc ne connaissent souvent pas plus que d'autres), en faits les symptômes acharnés de leur désir répressif de tout plaisir 😀 forcément coupable  → mais encore une fois redescendons de ces hauteurs protocolaires voire sécuritaires, pour revenir dans le concret tout bête : oui, non seulement avec des douleurs justifiant selon donc mon point de vue donc désolée, toubibe aussi, une prescription de morphine, il fallait « discuter » sans fin de la règlementation qu'on m'opposait voire donc en l'inventant/la détournant-falsifiant au fur et à mesure(s) mais désolée toujours, que je connais et pratique un peu mieux qu'eux-elles à moins qu'ils/elles pensent qu'on prescrit pour s'amuser, aussi pour donc ne pas me [la] délivrer, puisque selon leur point de vue c'était pour m'amuser et donc, de la drogue, soit du plaisir interdit, mais en plus, passées toutes ces subtilités " heureusement " oui, finalement, que la [vraie] règlementation existe et que je la connais, il m'est arrivé par ex. qu'une préparatrice finisse par se résoudre à bien vouloir me donner mes gélules avec toujours bien entendu le même air de réprobation muette comme quoi tu es donc une droguée qui tues père & mère et tou(te)s tes patient(e)s au passage mais en plusieurs fois, espacées le plus possible ... qu'est-ce qu'on s'amuse, donc, disais-je - mais je disais juste ça parce qu'une fois j'ai voulu, malheureuse, leur expliquer il ne faut jamais expliquer à des gens qui ont rien compris mais sont sûrs de [tout] savoir → j'ai juste dit à son collègue, celui qui a daigné enfin me donner donc ces pauvres gélules à la fin, que « quand on avait mal c'était pas facile de se déplacer 36 fois [pour venir chercher ses gélules de morphine délivrées au compte-gouttes] » ⇒ vous auriez dû voir la tête du mec ! vexé, que dis-je, traumatisé ... évidemment, de la part de gens qui pensent qu'avec 1 mg de la substance tu es en arrêt respiratoire, si en plus tu expliques que tu en prends parce que tu as mal, ça ne passe pas 

mais j'écrivais ça suite aux commentaires sur les innombrables mort(e)s à cause de la codéine/morphine, qui pensent critiquer l'essence de big pharma → donc les problèmes posé(e)s par la/les douleur(s) sont pas simples, parce qu'effectivement quand on ne souffre pas on supporte TB les souffrances des autres, qu'il n'y a que très peu de recherche publique sur les antalgiques, qu'effectivement ceux qui sont efficaces ont des effets secondaires et que peu « même dans la profession » savent les prescrire et écouter/suivre les malades ... et que donc quand la morphine (très rarement, le plus souvent ses dérivés bien faiblement dosés, le doliprane™ inefficace et de plus toxique étant immensément lui, prescrit, comme par hasard) est prescrite en tous cas en France, c'est tout de suite le tollé quasi général et de la drogue : les professionnel(le)s déroulent donc exactement les mêmes fantasmes et préjugés en béton que le grand public, le long         « passé » catholique doit aussi aider à ériger la souffrance déjà physique en martyre bienfaiteur, et bizarrement, hormis le doliprane™ qui ne calme sûrement pas les douleurs un tant soit peu intenses comme celles qu'a dû subir Michelle Causse toute      sa vie donc, ça ne choque personne de voir des ordonnances à rallonge(s) par contre de psychotropes lourds (maintenant des neuroleptiques ...) et pour pouvoir dire, en plus, que les douleurs sont psychogènes, surtout chez les femmes ... tout le monde même médecins dit que les antalgiques sont [hyper] addictifs (ce qui n'est d'ailleurs pas vrai si          on se rend compte(s) que c'est prescrit contre la douleur, la dose - individuelle - par ex. de morphine qui soulage tel(le) ou tel(le) patient(e) une fois atteinte, la douleur sera calmée et il/elle n'aura plus besoin de l'augmenter ... évidemment, donc si on se rend compte(s) qu'il/elle avait mal                au départ ... et que c'est pas pour s'amuser - se droguer) en passant généreusement sous silence que      les psychotropes eux, ne masquent même pas la/les douleur(s) ⇒ les gens continent à souffrir l'enfer en pouvant de moins en moins réagir contre, ce sont des « médicaments » délabrants qui empêchent de réfléchir, les psychiatrisent donc en ne résolvant absolument rien, c'est rien de le dire ... mais qui les transforment en zombies/fonds de commerce et ... hyper addictifs, vraiment, eux  : j'ai vues des ordonnances énormes d'antidépresseurs-neuroleptiques-benzos passer comme des fleurs rien que dans les pharmacies, et même     des médecins venir chercher des tombereaux de benzodiazépines LP, personne ne tiquait ...

et entre parenthèses cette haine particulièrement misogyne est tellement ancrée voire encrée dans les facs et courriers comme on va le voir en « médecine », que je me rappelle aussi perso, aux moments où j'avais ces douleurs mais aussi des douleurs abdominales abominables, être allée consulter une gastro-entérologue - la cause des pbs abdos était évidente mais elle m'a quand même fait un TR (toucher rectal) qui servait strictement à rien, sauf à être facturé et peut-être à asseoir sa supériorité, toujours, sur moi, pour me programmer une micro-prise de sang inutile aussi mais à faire au labo à un moment où je pouvais à peines me déplacer donc à cause des douleurs j'oublie toujours qu'on s'amuse (à noter d'ailleurs que les cons.frères et sœurs ne se posent jamais la question de comment on est arrivé(e)s jusqu'à eux/elles, même pas quand le RDV a été encore retardé par ex. par des secrétaires ayant quand même pigé que c'était urgent, et dans mon cas perso, je dois dire qu'ils/elles pigent même pas que je suis médecin ... mais c'est vrai que c'est normal, vu qu'ils/elles prennent tou(te)s les malades pour des con(e)s d'office) → donc au total j'ai eus examen et examen de labo déjà abusifs faut croire que ça rentrait pas dans les cases, mais j'ai dû me payer en plus des con.sidérations sur le traitement de mes autres douleurs  (vu que les spécialistes s'ennuient dans leurs spécialités et veulent quand même te montrer qu'ils Maîtrisent tout le reste de la médecine → plus ils/elles sont médiocres, plus grand est le désir de toute-puissance, y a pas) donc par des vilains antalgiques-de la drogue, la nana alors que je lui avais soufflé que j'avais bossé entre autres la capacité de la douleur s'est mise à me vanter les bienfaits du Laroxyl™, une merdre de vieil antidépresseur qui a des effets genre comme les vieux neuroleptiques, bref qui te déclenche un état ébrieux des familles ... qui leur permet de dire « par exemple » que toutes les nanas sont des hystéros (c'est vrai qu'avec cette çalloperie tu peux sans pbs te casser la figure dans des escaliers sans te rappeler ce qui s'est passé ... et ça, ça doit les amuser) et donc, entre autres qu'elles ont pas vraiment mal

et donc je dois dire que oui, voyez, je suis remplie d'admiration pour Michèle Causse, qui non seulement a dû « supporter » des douleurs sans doute atroces, je ne sais pas si elle a dû en plus aller voir des toubib(e)s qui donc, ne savent pas prescrire les antalgiques ou que le doliprane™ et à doses toxiques de préférence, par contre donc qui sont trop content(e)s de donner du Laroxyl™ à gogo(s), c'est le(s) cas de le dire ... donc non, je suppose que non, pas parce que la/les douleurs ont persisté ce qui est le cas donc de toute(s) façon(s) mais parce qu'elle a réussi malgré tout ça à mener une carrière d'auteure, à créer malgré tout (ils/elles lui auraient mise double ou x doses de Laroxyl™) ... et dans la vidéo elle le dit, à la nana qui lui remplit le verre de barbiturique pour 10 000€ d'ailleurs il m'a semblé que les candidat(e)s à « l'euthanasie assistée » doivent en plus payer le taxi pour y aller, les avis et remarques des gros bourrins qui t'y con.voient ça doit être du dernier chic et qui a l'air aussi chaleureuse qu'une bûche non allumée, qu'elle a réussi à écrire mais qu'elle en a [eu] maintenant assez de devoir passer sa vie couchée pour moins souffrir - et quand elle dit ça on sent toute sa force, et sa joie aussi d'en finir avec ces souffrances immondes ... ça m'a fait monter les larmes aux yeux, sa parole si vivante (l'autre endormie, avec son verre technique, elle s'en phouttait complètement)

NB " n'empêche " qu'avec des merdres comme le Laroxyl™ (pour ne pas parler de la propension des psys de coller des psychotropes™ fonds-de-commerce par ex. à l'occase de [soi-disantes] « dépressions » qui peuvent être les occases d'aller vers de grands changements et d'une réflexion approfondie sur sa vie - et d'être écouté(e)s) ce sont des centaines de milliers de vies réduites en morceaux → que les types - " médecins " inclus - qui me liraient qui trouveraient ça drôle/trop « fort », parce qu'ils pensent que les nanas il vaut mieux les écraser, ne se réjouissent pas trop : quand les malades hommes souffrent de douleur(s) ils ne reçoivent pas plus d'antalgiques (sauf l'autre toxique™ qui marche pas) et souvent, ils sont traités mais d'alcooliques et ... submergés de neuroleptiques bien lourds

c'est un véritable scandale que les médecins ne sachent pas les prescrire, et reprennent les préjugés et fantasmes du gd public, non seulement ça, mais en profitent pour faire du profit avec des malades parmi les plus vulnérables ... non seulement ça, mais projettent dessus, en plus de leur incompétences cumulées, leurs traits névrotiques et/ou pervers ... paranoïaques et retournent les responsabilités voire leurs fautes à leurs avantages - c'est d'une veulerie sans nom

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