salut les aminches - et plus ou moins bonne année - je suis allée entre autres voir/lire des critiques d'un film sur senscritique.com, j'aime bien → justement, y a beaucoup de critiques très intéressantes-intelligentes de plein de gens qui ont donc des choses à dire/veulent vraiment partager, je trouve ça vraiment ... démocratique (malgré la pub) :
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là le type qui critique - au sens négatif - des situations tirées du film ne croit pas si bien dire ⇒ là où ça apparaît aberrant à ce critique à l'intelligence donc humaine, qui comprend les situations, de visionner un(e) blessé(e) en train de papoter sur/de son brancard (disons que c'est souvent l'inverse : j'ai pas encore vue la scène j'avoue, mais je vous ai écrits moults et moults billets avec des malades/des traumatisé(e)s harcelé(e)s - et sidéré(e)s - par les « secours » ou/et les « soignant(e)s »), eh ben si, finalement c'est la réalité, c'est comme ça que ça se passe, « bien vu » ... mais effectivement je ne pense pas que le réalisateur l'ait fait exprès (... pour critiquer les secours par exemple), ni dans un but comique, simplement il ne voit les choses que par rapport à lui-même, pas plus loin que le bout de son nez, donc : il est en bonne santé ⇒ tout le monde est en bonne santé, et donc, ça papote/ça discute de choses et d'autres, de rien(s), même ... c'est cette impossibilité à voir l'autre comme différent(e) de soi qui donne aussi les pires catastrophes → voyez plutôt la moisson que j'ai faite de critiques sur un hosto :
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- ou encore :
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(eh oui, quand on ne sait pas prescrire les antalgiques on met/mélange n'imp quoi, et dangereux - la plupart du temps : rien, d'ailleurs)
- ou
bien:Agrandissement : Illustration 4
- encore (avec des menaces quand ça plait pas) :
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- et encore (des insultes aussi - de la part des « soignant(e)s », qui évidemment, risquent ... rien(s)) :
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- douleur(s), urgence(s), tout ça c'est pas gratifiant - les enfants blessé(e)s/malades non plus :
non mais de fil en aiguille je suis allée voir/lire les avis sur cet hosto par lequel je suis passée, donc, y a quelques années (virée donc systématiquement des Urgences avec des urgences parfois vitales, c'est là où les secrétaires dites d'accueil m'avaient retenue chacune un quart d'heure alors que je sortais/rentrais chez moi sub-claquante pour m'expliquer que « les malades coûtent cher à la sécu » - pour une fois qu'elles avaient conspris kèkchose - là aussi qu'un cadre en longue blouse immaculée de Docteur triait [déjà] les urgences, à l'entrée par contre, ce qui avait consisté dans mon cas à froisser dédaigneusement la lettre du toubib - perso, voyez, j'avais faites les choses dans l'art - pour la jeter sur la paillasse pour me montrer [aussi] qu'on est des riens ... in fine, les internes me f.tant dehors à chaques fois avec des diagnostics falsifiés/mensongers - sis en des courriers confidentiels-« secret médical » que je ne devais surtout pas lire, toujours l'inversion de tout - l'une d'elles m'avouant même à la fin, vu que ça s'aggravait et que je re-venais trop : « Je vais me faire incendier par les radiologues si je demande une IRM pour vous » ... excusez, ça réveille des souvenirs), et plus précisément sur le se(r)vice dans lequel j'avais réussi à me faire hospitaliser :
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donc ça se rapporte aux avis plus haut - en faits on est prévenu(e)s que si c'est jugé diffamatoire on sera poursuivi(e)s via nos adresses IP (quand on a pas de VPN ... mais ils/elles ne doivent pas savoir ce que c'est) - ça veut TOUT dire ... perso je me rappelle [bien] que j'avais appelé ce se(r)vice pour me faire hospitaliser (avec une urgence vitale, même, l'urgence princeps de la spécialité, exigeant « normalement » un bilan en milieu hospitalier) pour être passée et sur haut-parleur à 3-4 cadres féminines du se(r)vice ambiance cour de récré, hurlant de rires moqueurs à chacune de mes explications → et les cheffes dudit avait passé et dans ma chambre encore 10 jours tous les matins à venir se f. de ma g.le [aussi], tout en essayant de me tirer les vers du nez sur ma vie privée et professionnelle pour pouvoir aussi s'en moquer, avec leurs titres « supérieurs », et à essayer de minimiser voire d'inverser le diagnostic - que j'avais fait - par exemple en me taxant pour commencer de « petite gastro » ⇒ la nana qui panique pour une petite selle liquide ... donc l'accusation d'« hystérie » n'est jamais loin, sauf que pas de bol (alimentaire ... pardon, elle est moyenne, quoiqu'avec cette urgence gravissime on a des nausées incoercibles ... et pas de diarrhée, mais vus les menfoutisme/incompétentes, les c.erie et méchanceté(s) locales, elles auraient pas conspris l'astuce), j'avais réussi à me faire faire la prise de sang en urgence - et en état de choc ... donc elles ne pouvaient pas nier la pathologie ... et se sont fissa rabattues sur l'étiquette de « dépression » → voyez, qui mène direct à « hystérique » ... typiquement féminin, quoi :
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(merci senscritique.com)
(quand je pense à tout ce que j'aurais été couverte - hihi - et [toutes] mes erreurs/fautes si je m'étais défoulée autant que tous ces braves gens sur les malades quand je bossais à l'hosto, je serais même ptêtre « Grande » cheffe de se(r)vice aussi - et j'aurais la conssidération de toulmonde → mais il faut savoir bien mentir, raconter n'imp quoi, s'en f.tre* complètement, et [bien] lécher les cuc.ls des gestionnaires)
* ou/et être complètement c.n(ne) stupide - pour ne pas insulter les nanas moi aussi
tamponnée en 2 minutes chrono par un psychiatre zombi lui aussi, qui n'a rien conpris à rien non plus, mais qui m'a collé un gros antidépresseur™, que j'ai pas pris (et pas satisfait non plus parce que je voulais pas papoter non plus avec lui, et que la pathologie - entre autres - qu'il ne connaissait évidemment absolument pas, intéressait encore moins) → une fois que ces gens/guignol(le)s ont atteints leurs petits - ou grands - titres, ils s'en f.tent absolument de tout, sauf d'eux-mêmes ... mais quand même, il subsiste une interrogation : comment « pensent »-ils qu'ils seront ... traités eux-mêmes, eux qui ont tués tant de gens ?
à ce propos je vous colle ici un avis sur le se(r)vice de gériatrie, vous savez, où j'ai bossé (perdu 10 kgs ...) comme remplaçante de femme de ménage avant de commencer médecine, sous les ordres de l'autoproclamé « Grand Humaniste » (possédant le titre lui de Professeur en Médecine, si ...), surtout un assassin sadique-inconscient [aussi], mais j'y/je reviendrai (là-dessus, sur un de ses assassinats en direct) :
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effectivement, non seulement 1) la réputation de cet ... établissement est faite/connue maintenant mais 2) ce sont les gestionnaires et autres cadres décérébré(e)s qui sont proprios des hostos → non seulement la bêtise, mais la soumission des ... « médecins » aussi aux titres et au fric a finalement réussi à donc détruire la médecine, et regardez, on rigole [jaune], vous avez pigé : le/la propriétaire propose tout bonnement de violer vies privées et secret médical ... eh oui, quand on ne conprend rien à rien - c'est mal barré, depuis longtemps ...
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