... à propos d'antalgiques, en « médecine » un des « arguments » pour ne pas en mettre c'était/c'est tjrs de dire qu'ils entretiennent la douleur → effectivement si on met une dose (très) insuffisante (c'est ce qui se passe : comme ils/elles ont la trouille de prescrire de la morphine, en général les gens qui souffrent le martyre avec des douleurs énormes ont « droits » à des doses homéopathiques de - enfin on leur prescrit UNE dose de, genre 5 mg, soit donc 2 cps de Doliprane - et puis, comme bien sûr « évidemment » ça marche pas, hop ! on l'arrête de suite, comme on a vu (nous ...) dans mes billets récents, tout en allant raconter partout que c'est plus fort que [de] l'héroïne - ce qui est d'ailleurs aussi repris par le grand public disons, cultivé, qui n'a pas plus d'empathie que les « soignant(e)s » : y en a plein qui parlent d'hécatombe à propos de l'oxycodone), donc de ttes façons oui comme ils/elles en mettent PAS, ça ne marche PAS 😉
après, y a bien sûr toute la psychologisation/psychiatrisation facile(s) : les mecs - et [même] les nanas - peuvent s'écouter causer en face(s) de(s) « patient(e)s » plié(e)s donc en 24 donc de douleurs qui attendent
Agrandissement : Illustration 2
attention lapsus : pas « versus », versant (même les anti-inflammatoires rendent bipolaire, maintenant)
oui finalement la médecine ça peut être très simple, voire du bavardage comme sur certains fils de MDP, « d'expert(e)s » autoproclamé(e)s → évidemment une fois qu'on a en plus son TITRE ici de Docteur(s) (... et les incompétent(e)s se protégeant mutuellement - ayant tous intérêts à, voire s'émulant [même] dans leurs incompétences), on peut raconter n'imp quoi, devant les malades acculé(e)s, pour comme une fleur « justifier » ce qui revient à des refus de soins en les chargeant ⇒ en INVERSANT tout, et les fautes et les responsabilités ... on reste bien dans le système patriarcal
