en médecine cela fait très longtemps que les malades sont réifié(e)s → il y a plein d'étudiant(e)s super-intelligente(e)s qui quittent définitivement le cursus en 3ème - 4ème année (voire plus tard) car effectivement, après avoir passés les barrages d'une ... sélection aussi stupide que brutale, basée sur (que) des maths, de la physique hors sujets et des classifications anatomiques qui ne serviront jamais, on se demande pendant des années où sont passé(e)s les malades, que sont devenus les gens - alors qu'on est obligé(e)s de laisser remplir nos têtes sans pouvoir réfléchir ... tout en devant un respect absolu à des Professeurs qui n'ont jamais vu un(e) malade, et de subir ensuite la domination absolue d'une hiérarchie hors sol à l'hôpital aussi, à qui les malades arrivent sur un plateau (technique … et découpé(e)s également en morceaux, sans jamais avoir le droit à la parole) → or donc, c'est le/la malade qui sait, et sa parole est précieuse : la médecine est à chaque fois un nouveau dialogue, singulier avec un(e) praticien(ne) qui doit avoir un esprit synthétique, et dans l'idéal, partage ses connaissances, informe au mieux et œuvre en son âme et conscience
on en arrive donc à des Docteurs presque inhumain(e)s, complètement désincarné(e)s aussi, qui se croient du bon côté de la barrière, qui ne vivent que de/pour leur(s) titre(s), par cooptation et mimétisme qui ne sont pas choisi(e)s pour leurs qualités humaines (s'ils/si elles en en avaient au départ), encore moins pour leur empathie envers les malades → ce qui compte c'est la soumission à la hiérarchie - et hospitalière ; même le raisonnement scientifique, donc, peut être inversé sans problèmes de consciences – les éléments de langage bien rodés depuis des années venant facilement re-couvrir tout cela (et les malades n'ayant pas voix aux chapitres, occupé(e)s avec leurs symptômes et complications aussi, les recours quasi-impossibles, une vaste blague). Il y a une mise à distance totale des malades, dont les médecins, en faits, ont PEUR : tout est fait pour qu'ils et elles n'existent pas en face de ces Grandes blouses blanches, qui en attendent, en échange de leur mépris, une admiration-soumission totales, une obéissance sans discuter ... et une reconnaissance éperdue à peine(s) Elles ont mis un pied dans une chambre. L'invariant Macron a tout compris (Son père est neurologue) : les malades, c'est des « riens »
… quand j'ai présentée ma Thèse, un membre du jury, Professeur responsable du Département de Santé Publique que je n'avais jamais vu (mais noté d'après mon boulot), qui riait des difficultés respiratoires d'un malade de l'amiante (!) et visiblement ne comprenait rien au sujet (comment soulager des malades en fins de vies à domicile) m'a pénalisée au motif que « je m'intéressais trop aux malades » (et passablement furax)
la plus grande inversion est que ce ne sont plus les médecins qui sont à leurs services, toute la profession s'est mise à distances des malades, on les a donc chosifié(e)s, et maintenant ils et elles sont rentabilisé(e)s en les rentrant dans des protocoles et des cases, ils et elles se réduisent à des actes, en vertu de la soumission aux technologies, aux firmes pharmaceutiques, au fric et aux gestionnaires (qui se prennent pour des « soignant(e)s » en investissant le médico-social, alors qu'ils et elles ont des mentalités de comptables !) qui réfléchissent en fonction des profits à [se] faire → les médecins ont toujours obéi aux gestionnaires, qui les paient (les Dirlos d'hostos ont bac + 2, croient avoir un supplément d'âme de frayer avec des Docteurs, n'en ont rien à faire des malades, et la rentabilité, y réfléchissent depuis longtemps, nommant plein de cadres qui ont maintenant totalement envahi les se(r)vices), et devant lesquels ces Docteurs peuvent frimer aussi, car ne connaissant rien à la médecine : c'est ce qui se passe dans tous les hôpitaux, et ce schéma - ou cette série de cercles vicieux – se reproduit en cercles de plus en plus larges, impliquant de plus en plus de monde, de plus ou moins haut(e)s fonctionnaires et « décideurs/deuses » très éloigné(e)s du terrain et des soins … beaucoup plus nombreux/ses qui ont finalement pris totalement l'avantage et le pouvoir avec le/la Covid, réduisant la médecine au niveau presque 0 de la réflexion, à un schéma hygiéno-sécuritaire : on ne soigne presque plus que les jeunes en bonnes santés – qui n'ont pas d'autre(s) pathologie(s), qui ont tout bien fait/obéi aux protocoles sans discuter, « distanciation sociale » et vaccination(s), qui méritent d'être soigné(e)s ⇒ on fait des tests toutes les 30 secondes ... et pour vérifier la vaccination toutes les minutes …
la [vieille] médecine paternaliste a cru pouvoir prendre le Pouvoir sur les gens (mais le seul vrai pouvoir de la médecine c'est [d'essayer] de soigner les malades) – or cette médecine là, arrogante, méprisante, fonctionnant pour elle seule en circuit clos, a quand même montré comment et combien il était possible de mal-traiter les « patient(e)s » devenu(e)s des client(e)s aux plus froid(e)s gestionnaires, qui ne s'embarrassent plus d'aucune humanité et calculent en nombres ...
enfin ne partons pas trop sur le/la Covid, avec qui tout est parti en sucettes dans toutes les directions - avec les infos très pertinentes que vous apportez sur différentes molécules et leurs mésusages à la fois par le corps médical et les consommateurs après, qui en ont fait des usages détournés, on voit bien qu'avec le Rivotril il s'agit d'une eu-thanasie re-couverte par les habituels éléments de langage parlant de soulagement (se donnant bonnes consciences alors que l'hôpital public ne remplit plus ses missions) : effectivement il s'agit bien d'une benzodiazépine parmi les autres, et une des plus faibles, utilisée initialement pour les crises d'épilepsie dites « petit mal » chez l'enfant et … pas chère. Oui il faut de grosses doses pour sédater complètement, encore que chez les personnes âgées et affaiblies la toxicité augmente … mais les agonies paisibles je doute aussi, par contre des dérives, moins : « Par dérogation à l'article L. 5121-12-1 du code de la santé publique, la spécialité pharmaceutique Rivotril sous forme injectable peut faire l'objet d'une dispensation, par les pharmacies d'officine en vue de la prise en charge des patients atteints ou susceptibles d'être atteints par le virus SARS-CoV-2 dont l'état clinique le justifie sur présentation d'une ordonnance médicale portant la mention « Prescription Hors AMM dans le cadre du covid-19 » à noter donc aussi la formulation « susceptibles d'être atteints par le virus » … Connaissant hélas l'engouement de mes collègues pour les actes eux-disant héroïques (voir les « concours de DLP » dans mon précédent billet), leur servilité devant les Directeurs et trices de tous poils qui se mêlent de tout puisqu'il s'agit d'un virus et que tout le monde sait que faire avec un virus, et puisque donc maintenant tout le monde se mêle de tout, on y est …
sans parler des violations du secret médical (par exemple, dans le décret : « la dispensation du Rivotril par les pharmacies d'officines uniquement pour les patients atteints ou susceptibles d’être atteints par le virus SARS-CoV-2 dont l’état clinique le justifie sur présentation d’une ordonnance médicale portant la mention Prescription Hors AMM dans le cadre du Covid-19. »), sous le Sida les médecins avaient quand même résisté, voyez par exemple les potard(e)s qui ont évidemment aussi tout à coup une pratique avérée de la médecine, et des avis sur ce qu'il faut faire : « la prise en charge palliative des patients confrontés à un état asphyxique et ne pouvant être admis en réanimation, ou pour lesquels une décision de limitation de traitements actifs a été prise », expliquait (soi-disant) la Fédération des pharmaciens d’officine (FSPF).
(décret et justifications tirés de :
13/02/22 je reviendrai donc plus tard pour parler des médocs comme le Rivotril ou le Neurontin, sur lesquels il y a des précisions dans le commentaire auquel je réponds, ou apporte des précisions
comme préambule je rappellerai juste ici qu'en médecine dans le cursus des études médicales, le module de thérapeutique est expédié en fin de tronc commun, quand toulmonde prépare sa Thèse et/ou le concours de l'internat et se prépare à devenir interne à l'hosto ... et on ne sait pas d'où viennent les profs, quelle est leur expérience de terrain, s'ils en ont [eue] une – je me rappelle d'un Prof de Pharmaco, ânonnant littéralement les cours les plus abscons-rébarbatifs, genre suites d'énumérations et de formules chimiques sans aucune application concrète/pratique en vue de près ou de loin, sans lien avec le/la vivant(e) … comme toujours – et c'était un module parmi les plus courts et les plus vite expédiés, et sinon les médocs étaient cités à toute(s) vitesse(s) avec des affirmations du genre : « pour ça on prescrit ça » et voilà, hop, c'était simple, et sans discussion(s) possible(s) … mais comme on allait devenir internes et malgré mon manque de pognon chronique perso, je me suis quand même abonnée à Prescrire® - ayant à cette époque largement l'habitude de bouffer [que] des nouilles midi et soir – pour me renseigner donc sur les médocs, me disant que justement non, c'était pas possible, que j'allais pas pouvoir perso traiter des malades en ayant si peu de bagage → et déjà là, genre en 5ème année, ça faisait ricaner mes copains/pines de promo, pour qui comme la plupart, le(ur) titre allait suffire [pour prescrire n'importe quoi], donc
... mais perso, je trouvais ça passionnant !!! l'étude des médocs dans La Revue Prescrire, vraiment au top !
après, sur le terrain, donc à l'hosto, ça rigolait moins ou disons, beaucoup plus jaune : j'étais l'emmerdreuse™ de se(r)vice, qui donc les emmerdrait à [leur] dire que tel ou tel médoc pouvait être dangereux, quand c'était tellement facile de le donner, et puis on n'en parlait plus, comme à la fac → à ce niveau là aussi, y a eu aussi pas mal de menaces de, voire de conseils de « discipline » ou assimilés, plus ou moins sauvages ... mais passons
… donc à plus tard pour enfin parler de ces molécules qui eux-elles-disant, soulagent
là c'est plus tard
en lisant les infos du commentaire sur le Rivotril, le Neurontin (une mode, oui, et dans les centres « anti-douleurs » - je dirai plutôt : les centres de la douleur, ou des douleurs) et le Lyrica, on peut se dire que mes collègues font [un peu] n'importe quoi → d'abord, effectivement il y a des modes, à peu près n'importe quel(le) illuminé(e) sorti(e) de n'importe où mais surtout avec un titre se met à dire que tel médoc marche sur telle pathologie, eh ben, l'immense majorité se met à suivre - imaginez oui, comme c'est simple : rien qu'aux niveaux des se(r)vices de tous les hostos de France, avec la rigidité de la hiérarchie surtout et les personnalités jamais remises en questions, parfois plus que perverses, des « Chef(fe)s » … qui ne voient plus les malades depuis des lustres et pour nombre d'entre eux et elles, ne savent presque plus écrire d'ordonnances (ne parlons même pas de suivre les patient(e)s après, c'est laissé aux internes et encore, si les malades ne sont pas phouttu(e)s dehors et laissé(e)s aux charges des médecins traitant(e)s, bonnes chances s'ils/si elles y pigent quelque chose), bref, qui ont atteint leurs niveaux d'incompétences - pour certain(e)s, c'est flagrant ... mais tout le monde suit [la prescription du/de la Chef(fe)] : les internes, obligé(e)s, et avec le découpage en spécialités étanches entre elles, ça se répand comme une traînée de … poudre [aux nœils] ... par exemples les poteaux d'un dit Chef spécialistes dans d'autres disciplines et qui ne pigent rien à la sienne, ne diront jamais que leur copain s'est gouré ou ne sait pas ce qu'il prescrit
les modes ne sont pas difficiles à lancer pour/par les firmes pharmaceutiques non plus → je vous ai déjà écrit que, ma chère Revue Prescrire sous le bras (non, j'exagère, j'allais pas faire peur à tout l'hosto …), j'avais été sciée que tou(te)s mes cher(e)s collègues, grandes blouses immaculées et menton en avant bien arrogant(e)s surplombant les pauvres patient(e)s allongé(e)s devant tant de Grandeurs, ne perdant pas une occasion de se la ramener non plus/aussi avec leurs années d'études - se sous-entendant à la moindre occase au top des intellectuel(le)s, se précipitent devant n'importe quelle minijupe de déléguée des labos (une majorité de nanas, et peinturlurées aussi, sans jeu de mots), galopent comme des dératés, donc, à la moindre annonce d'un « pot des labos » dans la direction du plus petit des locaux de se(r)vice, dans l'espoir de siphonner un reste de mauvais mousseux et de grignoter éventuellement une miette de biscuit rassis « offert par le labo » … non mais je vous jure, j'ai eu plein d'ennuis à chaque fois, rien qu'interne, rien que parce que je ne cavalais pas comme tout le troupeau dans la même direction quand un « labo » venait faire un topo « gratuit » à l'hosto - et vous pouvez être scié(e)s aussi, parce que je vous assure que donc ces Grand(e)s intellectuel(le)s qui en font des tonnes dans le genre mines savantes, Chef(fe)s inclus(es), sont capables de prescrire des caisses et des caisses du « médicament » le plus nul, dont ils/elles ne connaissent quasi que le nom commercial, rien que parce que la déléguée (qui aura fait un topo tenant en deux phrases confuses et 1/8ème de tableau Excel illisible ne correspondant à rien) leur aura promis de leur livrer un jour un stylo en plastique aux armes de la firme qui l'a embauchée en CDD de 15 jours, lui faisant une fleur … et malheureusement ici je dois dire que je n'exagère absolument pas → si vous saviez la quantité de molécules inefficaco-dangereuses qui a été prescrite en échange de stylos ... immatériels
un bel exemple est constitué par le doliprane™ : à moment donné, je dirai il y a 30 ans, il y a eue une offensive massive des firmes pour le faire prescrire à tout le monde pour/contre quasiment tout - on en voit bien les résultats aujourd'hui, encore plus avec le/la Covid → à tel point que avant-hier par exemple j'ai lu le cas clinique d'un pauvre berger maghrébin mordu par une vipère à cornes, qui en est décédé (d'un AVC hémorragique) - arrivé aux urgences avec des douleurs terribles, il a été mis bien sûr donc sous doliprane, et le toubib dans son observation dit fièrement qu'a été « mise en place une perfusion d'ANALGÉSIQUE » : ça y est, le dolimou est rondement devenu, un anesthésique !!! (pourvu que ce berger ait trouvé la paix là où il est maintenant : avant de décéder, c'est sûr qu'il a souffert l'enfer - non seulement via le venin dans son organisme, mais avec la nécrose du membre mordu - gentille-ment appelée œdème - mais aussi avec son AVC, puisqu'arrivé aux urges déjà avec des vomissements - notés évidemment comme un signe clinique parmi les autres … : quand on vomit avec un AVC, on peut dire que déjà, on souffre un max et je pense que l'aile de « l'ange » de la mort pas sympa du tout, faisait déjà plus que le frôler à ce moment → mais il ne faudrait pas « masquer les douleurs », hein !!! 😕 ... attention faut pas que je m'énerve, donc)
rien qu'avec le doliprane oui, déjà, comme j'en parlais dans mon avant-dernier billet, il y a la fameuse inversion des valeurs/le déni de réalité/l'inversion du raisonnement scientifique … et je me demande si ce n'est pas ça qui a fait que, à peine l'offensive des firmes pour le faire prescrire commencée, c'est de suite devenu le chouchou des prescripteurs/trices → ils/elles savent qu'il est inefficace pour les douleurs dignes de ce nom (et à peine moins pour faire baisser la tempiote), ils/elles savent qu'il est très toxique (la prise d'un gramme donne déjà des lésions hépatiques) et en plus, évidemment il est disponible en vente libre - pas besoin de médecins pour en prendre, tout le monde connaît ⇒ je me demande si c'est pas une manière détournée pour mes cher(e)s collègues de finalement dé-montrer aux malades que la médecine, ça ne les intéresse pas et qu'ils/elles les méprisent, qu'ils/elles ne sont intéressé(e)s que par leurs gros égos et attendent des remerciements même ou surtout, en n'ayant rien fait - ou que du caca
... bon je ne suis pas encore arrivée au Rivotril et consorts, mais on le voit, le facteur psychologique compte, et énormément → oui, on peut se demander finalement s'il n'y a pas une sorte de ... dépression inhérente à l'exercice de la profession, par immaturité, par incapacité à appréhender le monde : du coup on l'annule et on veut que tout revienne à soi - et on est perpétuellement déçu(e)s, parce que les malades n'ont pas le temps d'admirer et de remercier, attendent d'être soigné(e)s … bon, je reviendrai – j'ai pas encore fini vous voyez, je vous fais plein de bisous 😳
14 février :
en attendant que je revienne, j'ai déniché un super travail, une perle sur le Neurontin (de ... Pfizer) (ah tiens ! dans un article sur le « dégraissage » de 9000 emplois par une sous-société de Pfizer toujours, le Lyrica, qui n'a pas plus d'efficacité sur les douleurs, est appelé analgésique aussi ...) NB : la nana courageuse qui a bossé sur cette Thèse sur les procès aux States contre le Neurontin va avoir/a eus sans aucun doute des ennuis :
http://www.voixmedicales.fr/wp-content/uploads/2012/02/th%C3%A8se_gabapentine.pdf
... en plus de la méconnaissance [de l'étendue] des magouilles des firmes et de leur soumission quasi-automatique au fric, donc aux firmes - tout comme ces Docteurs en titres galopaient à l'hosto ventres à terre derrière n'importe quelle déléguée de « labo », on retrouve, oui chez eux et elles l'importance du facteur psychologique qui finit par TOUT inverser : les molécules les plus inefficaces contre la/les douleurs sont prescrites à la pelle pour tous types de douleurs et vantées quasi comme des panacées → « si » les malades ont encore mal ce sera de LEUR faute ... mais tout est prévu : tout un arsenal « thérapeutique » à base de molécules rondement psychiatrisantes est lui bien rodé, depuis des années - comme ça les dit(e)s spécialistes de la/des douleurs peuvent dire que finalement, ce ne sont pas des douleurs, mais au moins des dépressions (ce qui renforce évidemment leurs sentiment de supériorité et égos aux passages, en plus de bien sûr aggraver les dégâts purement physiques) : difficile de [se] sortir de ce genre de raisonnements, oui, complètement inversés à plein de niveaux - et des injonctions paradoxales, la double contrainte en direction(s) de malades déjà enfermé(e)s dans leurs douleurs
et puisque j'ai parlé/je parle d'inversions - le genre tartes à la crème (les jeux de c., en bon français ...) qu'on rencontre finalement partout, mais qui évidemment fait des dégâts énormes en médecine, détruit tant de vies - rappelons le raisonnement qui consiste à dire que les antalgiques qui soulagent sont addictifs (càd sous-entendu que l'addiction serait aussi - et toujours - « de la faute des malades » : on n'en est plus à une inversion/perversion près*) ... bien entendu en ne disant jamais que l'immense majorité des psychotropes déclenche une accoutumance énorme - et pour certains, monstrueuse → donc non, c'est pas parce que tel(s) psychotrope(s) vous détrui(sen)t que vous êtes - vite - devenu(e) une épave, c'est de votre faute, c'est parce que vous êtes taré(e) à la base ⇒ CQFD ... simple, non ? (et forcément, les Docteurs PEUVENT SE dire sain(e)s d'esprits en face ... après avoir aliéné, littéralement, autrui)
* voire, il est dit et répété que ces antalgiques qui marchent - et ne sont quasiment jamais prescrits : à ce stade, on ne se demande plus pourquoi - « entretiennent la douleur » → la PREUVE : quand on les arrête, la douleur revient ... (quand je parlais d'immaturité, d'impossibilité à appréhender le monde - donc de s'intéresser à autrui et de comprendre ce qui se passe) (et double, triple ... peine(s) pour le/la malade)
je reviendrai, il y a beaucoup de choses à dire - notamment et aussi, que les molécules les plus délabrantes sont prescrites aux femmes souffrant de douleurs, pour pouvoir continuer à les traiter mais d'hystériques, donc de « psys », de bipolaires (la bipolarité : une ancienne psychose remise au goût du jour et banalisée pour prescrire des neuroleptiques à la pelle) etc. - de tout ce que désire, déjà une médecine restée bien patriarcale, en faits
16/2 : après, les médecins, c'est comme la plupart et même l'immense majorité des gens, aussi, qui veulent/disent avoir toujours raison(s) 😇ramènent tout à eux/elles, et ont un sentiment de supériorité dès que possible sur les autres → autant profiter de leur(s) titre(s), et si les malades, écrasé(e)s par leurs symptômes, ne sont pas assez reconnaissant(e)s devant tant de Grandeur(s) - pignent encore un peu, par ex. avec leurs douleurs, autant les [faire] taire de suite ⇒ les malades (donc actuellement ça ... va jusqu'à l'administration de neuroleptiques, et à des enfants ...), histoire(s) de [pouvoir] s'écouter causer devant (et rouler des mécaniques, etc. etc.)
(NB : alors qu'un des principes éthiques de base de la médecine est le fameux primum non nocere, il est toujours stupéfiant, à propos toujours de l'inversion de sens/de valeurs donc pour avant tout, tout ramener à soi, tout en obéissant au-exerçant le virilisme qui irradie la profession, de constater que dès qu'un médicament est inefficace et de préférence dangereux, il y a de grandes chances qu'il soit prescrit en/aux masse(s))
la médecine oui, c'est un MÉTIER, extraordinairement complexe de plus, qui nécessite quand même de vraies connaissances, et en quantités (les rubriques santé de Marie-Claire Magazine ou de la téloche - et le net, en plus si on ne sait pas hiérarchiser les infos et se confronter à la réalité, dont sont friand(e)s les infirmier(e)s par ex., n'y suffisent de loin pas ...), une vraie expérience clinique (qui se perd de plus en plus), d'avoir un esprit aussi analytique que synthétique, de vouloir agir et de préférence, aider son prochain avant soi-même (ça, c'est pas gagné pour la majorité, oh non !!!) sans se laisser influencer par tout ce qu'il y a autour etc. ... Papy Freud™, qui a quand même dites pas mal de coneries notamment sur les femmes - et la sexualité des enfants, par trouille de dénoncer les abus des adultes dessus - avait raison de dire que l'homme - disons, l'être humain(e), « ne trouve pas son bonheur dans le travail » → c'est toujours le même problème, travailler c'est fatigant, il y a sans nul doute beaucoup plus de gains en satisfactions immédiates à se se(r)vir d'un/de titre(s) et grâce aux médocs, de pouvoir exercer ses bas instincts - avant tout de domination - sur des personnes tellement vulnérables en face, quand on n'arrive pas à se mettre à leurs places un tant soit peu : bien sûr, même avec de l'empathie (qui est rarissime), on ne peut pas/on ne pourra jamais ressentir ce que ressent tel(le) ou tel(le) malade ... mais justement, la médecine est une science qui étudie différents signes afin de pallier à cette méconnaissance, et en les regroupant, propose des solutions : c'est donc du boulot ! et hélas la plupart s'arrêtent au premier niveau - enfin finalement le niveau 0 - en voulant tuer la/les parole(s) des malades ... mais sous prétexte d'empathie, s'ingérer dans leurs souffrances et leurs vies pour [pouvoir(s)] régner seul(e)s, et sur eux et elles : ces Docteurs™ parlent LES malades, parlent des malades, mais ne leur parlent pas - puisque, sans s'y intéresser, disant tout savoir d'avance, et - ce que les gestionnaires ont pigé - les rentrent dans des cases (et tout le monde adore jouer au(x) Docteur(s) - voyez ce qui se passe avec le/la Covid™)
je me rappelle quand j'avais 13-14 ans j'ai suivis via l'école - pour sortir un peu - des cours de secourisme ... complètement nuls : le prof on savait pas qui c'était, [comme d'hab] il n'avait aucune pédagogie, ne suivait aucun plan, on ne comprenait rien - et la pratique était quasi-inexistante, à peine(s) un(e) élève sur 4 ayant eu la possibilité de pratiquer 1/3 de pseudo-massage « cardiaque » raté sur un demi-mannequin déglingué, accompagné de deux-trois respirations artificielles complètement désynchronisées, en des bouche-à-bouche non congruents - sous les classiques gloussements de rires stupides de l'assistance - mais les félicitations quand même du dit prof à chaque fois, alors qu'à coups sûrs, on aurait grâce à nos manœuvres aussi ridicules que dangereuses assassinée même la victime d'une simple entorse → à la fin de ces cours totalement bâclés et en plus, expédiés à toute vitesse, on a tou(te)s obtenu « haut les mains » notre Diplôme de Secouriste - moi je me disais : quelle catastrophe, je me rends compte maintenant surtout que ne connais rien à rien de rien - de rien du tout, que je n'ai aucune idée d'aucune urgence existante, de sa hiérarchie parmi les autres urgences - non seulement je ne saurai(s) rien faire, mais rien qu'avec ce genre de massage totalement anarchique je ferai sûrement encore plus de dégâts que le traumatisme initial lui-même ... au milieu des vivats et des hourras de tou(te)s les autres fraichement Diplômé(e)s qui triomphaient avec leurs bouts de papier, sautant partout sur l'estrade, cons/vaincu(e)s grâce à leurs titres tout neufs de secouristes d'être donc devenu(e)s de Grand(e)s Secouristes capables de sauver tout le monde de tout et de n'importe quoi ... on les voyait pigner sur place, et presque gratter le bois de l'estrade de leurs sabots, prêt(e)s à se précipiter à bras raccourcis sur n'importe quel(le) blessé(e) - traumatisé(e) pour montrer à la face du Monde qu'ils-elles étaient maintenant capables de le/la sauver donc de tout, et déjà, que leurs titres de Secouristes tout frais les autorisait à intervenir sur tous types de malaises ou d'accidents ... pendant que moi je restais là à faire la pas fine bouche, et même à tirer la tronche, me disant qu'avec ce [petit] diplôme pas du tout mérité, en plus, tout ce que j'avais appris c'était l'immensité de ce que je ne savais pas - toujours la rabat-oijes, hein 😉
... une fois Son titre de Docteur en poche, pourquoi après tout s'étonner par exemples de ce que n'importe quel(le) spécialiste, de ... phlébologue à psychiatre, Se disant médecin (donc par ex. les psys se vantant par contre dans leur exercice de la psychiatrie de « ne jamais toucher aux corps » et ... n'ayant jamais pratiquée la médecine du fait de leur cursus séparé) vienne Se la ramener sur tous types de douleurs, dire quoi prescrire (... donner Son avis sur les virus etc.) pour jouer au Médecin qui a tout vu-qui sait tout ?
(non mais c'est vrai suis-je bête, quand vous « tombez » malade y a n'importe quel(le) crétin(e) supérieur(e) qui vient vous dire que c'est rien, une « dépression » ou/et que vous êtes angoissé(e), alors avec un titre ...)
19/02 je continue en donnant un exemple perso de l'inversion de toutes les valeurs dans la médecine " patriarcale " :
pour certains de ces Grands Docteurs - et même beaucoup, il est quand même très difficile de travailler - mis au masculin parce qu'à propos de médecine restée bien patriarcale, j'ai eues affaires notamment une fois à un mec, qui Se prenait évidemment pour un Grand Patriarche de, il faut que je vous en parle ici & maintenant, parce qu'il y a tout : le virilisme, le gros égo qui ramène tout à Lui et a beau jeu de harceler/se défouler sur tellement plus vulnérable (en se croyant/sentant si fort) ⇒ fort avec les faibles quoi, encore - le mec qui doute de rien - l'inversion des valeurs & du raisonnement, plus la violation de tous les principes éthiques de base de la médecine ... le genre de mecs embauchés préférentiellement par les Dirlos d'hosto bac + 2 qui ne connaissent rien à la médecine, mais qui sont fiers de frayer avec des spécialistes qui, en retour, seront à leurs bottes - comme des petits toutous (avec souvent piston familial derrière) - fiers eux de frimer devant en racontant n'importe quoi pour se faire mousser, oui en des espèces de jeux de c. en miroirs perpétuellement renouvelés, tout ça pour se croire intelligents ... non mais pour en revenir à nos moutons, je disais plus haut que la médecine est un métier, pour beaucoup donc ça s'arrête au titre qui donne[rait] le droit de faire/de dire ce qu'on veut et ça me fait donc penser à ce neurologue, pardon Chef de Se(r)vice de Neurologie qu'Il avait baptisé « service de la douleur » en plus (on aurait pu dire : au service de la douleur), pour Se donner un soi-disant supplément d'âme sans doute(s), je vous donne donc cet exemple perso assez représentatif des abus de " pouvoir(s) " et médicamenteux rendus possibles avec les titres : suite à un accident en bagnole j'avais eues des lésions hyper « connues » qui ont donné à moment donné des douleurs classiques, intenses et difficiles à équilibrer voire rebelles, et m'étais retrouvée dans son se(r)vice donc ... le mec avait bien sûr arrêtés tous mes antalgiques, disons qu'il pouvait compter sur son équipe pour ce faire (les infirmier(e)s, trop content(e)s comme toujours de pas te les donner, puisque « les gens abusent des antalgiques » - et je suppose que ça doit être trop jouissif à chaque fois de venir con-templer donc les malades plié(e)s en 24) → suite(s) à ça le Grand Homme avait commencé par m'examiner tous sourires donc pliée de douleurs déjà insupportables & quasi à oualpé devant son « équipe » d'anonymes qu'il a bien fait profiter de ses effets de manches (une dizaine de personnes, des cadres je suppose, un(e) psychologue, un(e) AS etc. qui reluquaient sans rien dire, le mec paradant & roulant des mécaniques devant ses/ces subordonné(e)s) → non seulement il y avait déjà violations énormes & multiples du secret médical et actes de barbarie - rien que dénuder quelqu'un(e) est le premier stade de la torture, ici en réunion et dans le cas particulier assimilable à des violences quasi-sexuelles, le mec se gênant pas pour reluquer, avec un nœil très peu médical, et ayant même pas besoin de se fatiguer à infliger des sévices, pouvant tabler d'emblée sur les traumas consécutifs à l'accident, appuyer sur des lésions donc connues et reconnues procède donc de l'inversion du raisonnement, un peu comme les radiologues qui appuient dessus aussi, pour vérifier leurs images auxquelles ils ne comprennent rien et/ou qu'ils ne trouvent pas assez spectaculaires, mais produit évidemment les mêmes effets), et imaginez, après il a encore pu se faire mousser pouces dans les bretelles à expliquer mon « cas » devant tou(te)s ces voyeur(e)s incompétent(e)s-irresponsables - aussi - que je n'ai jamais revu(e)s) - surtout pour dire que mes douleurs étaient d'origine « psychogène », vue(s) encore la/les suite(s) : quelle aubaine pour ces mecs qui se croient/veulent Grands et donc des Patriarches de pouvoir encore venir rabaisser une nana quand elle est la plus vulnérable ! je me rappellerai toujours son sourire gluant infatué de lui-même quand il me tournait autour de ses mouvements lents se voulant majestueux, assise grise de douleurs sur la table avec la vision de son équipe d'imbéciles soumis(es) devant Sa Grandeur ne connaissant rien (non plus) à la médecine, assis(es) en face de moi rang d'oignon à se rincer les nœils tout en pensant afficher des mines intelligentes alors qu'elles n'étaient que stupides, croyant assister à la démonstration du siècle (et tout le monde toujours ravi de voir mal-traiter une nana médecin ... ouais, l'équivalent d'un quasi-viol collectif, les pieds ils/elles ont pris !!!)
là en plus donc c'était LE Grand Spécialiste qui venait prendre sa revanche sur la petite généraliste de terrain - et quand je vous dis qu'en médecine les médecins prescrivent quasi n'importe quoi d'après le nom commercial en suivant le troupeau et le baratin de la moindre déléguée de labo en minijupe (de surcroit, le genre de nanas qui leur plaît, sans qualification, maquillée comme un camion et racontant n'importe quoi), que les spécialistes choisis préférentiellement par les Dirlos sont les plus incompétents (qui se cooptent ensuite entre eux), ce n'est certes pas hélas une vision de l'esprit : toujours dans l'inversion de tout, dans le non-professionnalisme aussi, le type, pour pouvoir prouver à la face du monde que les nanas sont inférieures, et des hystériques, dépressives (à l'époque y avait pas encore la mode de la « bipolarité » pour pouvoir nous détruire avec des neuroleptiques) etc. - évidemment, des faibles femmes, des folles - et Lui le Grand Homme Fort et courageux doué de raison(s) et donc, tellement supérieur, au total, et sans doute(s) pour prouver en l'espèce que la femme médecin généraliste - même si avec un titre inférieur, donc - ce ne pouvait être qu'une erreur de la Nature (je plaisante ... à peine(s)), pour me punir aussi, m'ayant enlevé mes antalgiques qui marchaient quand même un peu, mais le fait de les arrêter évidemment faisant revenir les anciennes douleurs 10 fois plus intenses (ceci dit, je crois qu'il ne le savait même pas, mais bien sûr, le simple fait de les arrêter lui suffisait déjà - s'il avait su que l'arrêt des antalgiques produit une résurgence douloureuse démultipliée ... son sourire fat eut gagné encore en aisance & largeur je pense) → donc le Grand Homme après, s'est acharné à vouloir me coller du Laroxyl™ - donc un vieil antidépresseur qui a quasi les mêmes effets que les neuroleptiques les plus délabrants, qui vous transforme à coup sûr en clocharde alcoolique (ce qui prouve donc, que vous en êtes bien une) ... mais comme il n'en connaissait ni les doses ni la galénique, il m'a prescrite une dose de cheval (ce qui prouve son intérêt à donc me rabaisser au/le maximum) ... mais par perfusion → or cette molécule est détruite par voie IV (qui produit aussi une nécrose des veines, et est aussi la voie d'administration la plus dangereuse) par le premier passage hépatique, heureusement pour moi (qui le savais) ... et d'ailleurs Ses infirmiers étaient tellement brutaux et incapables de piquer (et dans mon état de douleurs extrêmes, quasi-impiquable - mais ils piquaient au jugé, en plein dans le gras du bras la plupart du temps) qu'avant même que le produit ne soit détruit par le foie, il avait nécrosé la moitié de mon avant-bras, sans avoir produit aucun effet soi-disant « thérapeutique » ... bon, après, le mec a essayé rondement un neuroleptique qu'on ne donne qu'aux alcooliques délirants fous-furieux, en n'en connaissant pas plus les doses (et donné en gouttes, ouf, parce qu'il avait quand même peur) - voyez, ça donne ça, le virilisme
je reviens un peu plus tard pour peaufiner, mais vous avez compris le(s) principe(s) : en hyper-résumé, ces types sont tellement nuls et des lâches qu'il faut qu'ils écrasent les plus vulnérables pour se sentir ... forts (si ! si c'est pas de l'inversion totale ...) et Grands ... et en médecine, ça marche ! tout un système, oui
juste un truc : ce type, le Grand Neurologue Chef de Se(r)vice à l'hosto, donc encore un patriarche de la médecine, il gagne peut-être pas assez de fric en faisant des risettes au Dirlo, il fait aussi et encore des expertises sur les malades « de ville » pour le compte d'assurances (qui ont déniché l'Homme qu'il fallait pour exclure les patient(e)s de leurs droits ... enfin, ça a pas dû être trop difficile, y en a plein, des mecs comme ça ...) → on frémit quand on imagine le nombre de vies, de carrières, de familles brisées si facilement - et ces types vont partout se la ramener en parlant Médecine, Éthique etc. ... ils sont la HONTE de la médecine plutôt, des négations de toutes ses valeurs, des charognards qui profitent du système et vivent - grassement, autant qu'ils rient - des souffrances d'autrui, pour les enfoncer dans leurs malheurs (maintenant que j'en ai parlé/j'en parle, j'arrête pas de voir Son sourire gluant « supérieur » si satisfait de Lui, en sortant Ses énormités) ... hélas, tout le monde s'écrase devant leurs titres ... gobe leurs éléments de langage etc. alors qu'ils pervertissent et pourrissent toute la profession, et quand on voit ce qu'ils font en réalité(s)
le 20/02 : je continue et j'essaie de terminer sur l'usage détourné des médocs par les Docteurs, pour écraser de leur « supériorité » les malades → c'est tout simple
bon là y a le virilisme en plus de l'inversion de tout - disons que le type était aussi nul en médecine, en plus d'être un lâche à égo démesuré et misogyne - cas de nombreux mecs, et de nombreux Docteurs, donc, pouvant particulièrement se défouler sur les malades femmes → ce qui est triste c'est que comme dans toutes les [autres] violences faites aux femmes, les nanas sont [le plus] souvent complices : les médecins femmes pour la plupart s'alignent, c'est-à-dire se soumettent, suivent, notamment en psychiatrisant elles aussi les malades surtout femmes et en leur prescrivant donc elles aussi des psychotropes re-nommés vraiment abusivement, c'est le cas de le dire, antalgiques ... dans mon/ce cas particulier représentatif donc, où j'étais vraiment pliée en 36/grise de douleurs maximales on va dire, je vous dis pas la/les joie(s) évidente(s) des infirmières venant ad libita me con-templer souffrir dans ma chambre mais l'enfer - fallait voir leurs sourires d'aise(s) et leur faux-culterie en m'annonçant que bien sûr, « mes douleurs s'étaient améliorées » (mélange de sadisme et d'injonction paradoxale) - et d'exécuter, ravies, déjà les prescriptions de leur Maître, donc le dit-nommé Chef de Se(r)vice, en me " donnant " (càd pour une fois, exigeant que je les prenne, restant là à me surveiller que je [les] avale bien, raides comme la Police-Justice, arguant en m'aboyant dessus que « c'était pour me soulager » ... qui se gardaient hyper bien de me ramener jamais quoi que ce soit qui puisse me soulager ...) par exemple scrupuleusement les gougouttes du neuroleptique que tout le monde - à l'hosto quand même - connaît comme dangereux, hyper-sédatif et n'étant jamais donné pour soulager les douleurs (comme je disais, j'ai eu du bol, étant donné que le dit-nommé Chef ne connaissait rien aux dosages, ça n'a fait que très peu d'effet - bon, c'était quand même un peu la roulette russe, vu que les neuroleptiques peuvent toujours donner même à la 1ère administration un syndrome malin et qu'on peut en mourir en être tuée en l'occurrence, qui ouf ! donc m'a épargnée) ⇒ la misogynie des nanas et qui obéissent, pas mieux, non
NB ces cerbères restaient peut-être plantées là aussi en espérant - les intelligentes qui avaient tout con/pris, pour voir ou plutôt reluquer si j'allais pas mourir dans la seconde après avoir prises les gougouttes du Chef, syndrome malin ou pas, moi qui brûlais déjà en enfer pliée en 36 le teint terreux sur mon lit de tortures, et harcelée perpétuellement par leurs bonnes paroles/de leurs bons mots sur mon merveilleux soulagement depuis que le[ur] Grand Chef m'avait prise en charge
après, puisque je me suis lancée dans une description sur le « vif » du donc Chef de Neuro macho-miso ayant gonflé aussi le nom de son se(r)vice en rajoutant la Douleur, comme je le disais ce sont les spécialités où les maladies sont les plus délabrantes/les traitements souvent peu efficaces qui sont les plus « prestigieuses » → donc on retrouve toujours la fameuse inversion des valeurs, tout comme à la base ce sont les mecs les plus lâches qui se croient les plus courageux ... en enfonçant encore les malades avec les symptômes les plus débilitants/qui les font les plus souffrir telle, justement, la/les douleur(s) (ce qui est partagé avec les équipes, comme ici avec les infirmiers et infirmières qui trouvaient que ce « Chef » était fort à tous points de vue, même en médecine - le virilisme étant donc souvent de/en groupe, bref toujours des lâches et qui ont en plus besoin de s'agglutiner en troupeaux face à une malades isolée et terriblement douloureuse, pour, donc, vous avez finie ma phrase : se sentir fort(e)s ... inversion, inversion, quand tu les tiens) ... et donc, juste pour vous dire à quel point ce type était, donc, lâche, je dois vous dire qu'après m'avoir bien humiliée et torturée lors de son examen soi-disant médical devant son groupe de soumis(es), privée d'antalgique(s), faite multi-piquer/traverser les bras etc. Il s'est pointé évidemment menton en avant-pouces dans les bretelles-roulant des mécaniques dans ma chambre aussi mais 24-36 heures après (et quand on souffre vraiment le martyre-calvaire, c'est vraiment long), sûr de Son effet a priori, pour venir faire Son mainspreading dans mon fauteuil, ouvrant Sa bouche aussi de toutes Ses dents et de Son sourire re-gluant, pour m'expliquer par exemple qu'Il faisait de la moto (histoire de m'informer qu'Il avait kèkchose entre les gambettes, faut croire - mais - entre nous - me too j'ai fait de la moto, " simplement ", je lui ai pas dit ... parce que voyez-vous, j'avais tellement ... mal - NB : ce sera le sujet de mon prochain billet, les Docteurs - et soi-disant(e)s « soignant(e)s » - qui « pensent » que les malades viennent à l'hosto pour discuter, càd les écouter causer) et pas que ça ... comme l'abruti, évidemment, voyait pas que j'étais donc pliée re-pliée et multi-pliée avec mes douleurs intenses, Il a tendu la main pour saisir mes CD sur ma table de nuit, attrapant la BO d'un film pour me dire que le film était bien et que j'étais allée le voir (toujours avec les douleurs et après un accident de voiture, ça s'entend) ( → donc c'est ce qu'Ils-Elles appellent avoir de l'empathie, leurs intrusions dans les vies privées des malades, leurs avis-jugements-y a qu'à etc. sujet du prochain billet, donc) ... franchement les aminches je suis pas méchante et là j'étais tellement douloureuse : écrasée donc de douleurs, déjà , mais là j'ai craqué, et encore gentille-ment, je lui ai juste signalé que c'étaient mes CD (sous-entendu donc de ne pas y toucher, dans un murmure douloureux) ... il faut le croire, les ami(e)s : je suis restée dans cet enfer glauque à souffrir donc une semaine, mais le mec n'est jamais re-passé dans ma piaule, je descendais pour fumer ma clope (seul soulagement chimique auto-financé de cette huitaine-là), je le voyais se carapater cette fois-ci la kheue entre les gambettes, au fond du couloir en m'apercevant, je jure : je n'avais même pas élevée la voix, une demie-phrase de remise au point bredouillante il était TERRORISÉ à ma vue - certes j'étais pas belle dans mon état - la France - mais quand même ⇒ pour vous dire le courage de ce genre de mec(s), oui il n'y a guère qu'en médecine, avec des malades au 36ème dessous, que ce prototype de Grand Guerrier peut se sentir puissant ...
évidemment après, puisque tout est inversé, les malades au(x) service(s) de ces Docteurs tout-puissants-en forme(s)-à qui ils et elles arrivent sur un/des plateau(x), le secret médical violé à gogo(s) et devant donc les soi-disantes équipes, ainsi que les cadres à l'hosto - toujours pour se sentir Grand(e)s, ce qui nivelle bien par le bas toute la médecine aussi - mais opposé aux malades et dans des courriers écrits derrière leurs dos dans leurs bureaux, pour se faire mousser avec les consfrères et donc sœurs aussi (moi c'était une rhumato qui m'avait envoyée en neuro, j'ai récupéré mon dossier héhé, avec tous les courriers, même ceux où le genre de mecs écri[ven]t à la rhumato qu'il vaut mieux que je les lise pas : les secrétaires - aussi - idiotes en médecine, mais pas bêtes au point de ne pas remarquer que ça n'en est pas, juste la misogynie effarante des Docteurs en titres et bien vu, du cassage de sucre sur les dos donc surtout des nanas malades, s'étant empressées de me le transmettre à l'occase d'un déménagement - la rhumato soumise au neuro, notant d'ailleurs que « l'hospitalisation avait été difficile » ... sous-entendu, c'était moi qui avais été/faite la difficile, entendu aussi quand je l'avais appelée pour lui demander de me sortir donc, de cet enfer ... voyez à quoi on est réduite), donc on peut dire diffamatoires, par exemples ... et pour [me] finir là-dessus, le mec a pu quand même se lâcher par derrière, donc on peut le dire, en écrivant par exemples que les douleurs n'existaient quasi-pas « avaient été très exagérées » bien sûr, mais que bien sûr grâce(s) à Lui, elles avaient quasiment totalement disparu (évidemment, pas un mot sur les IRM et les lésions classiques, connues suite à l'accident de bagnole qui crevaient les nœils), que mon papa était alcoolique et que j'étais pas gentille avec ma maman (véridique), et pour [me] finir en beauté, on n'en est plus à une inversion-perversion-contradiction près, que si j'avais eu un accident c'était ... à cause des douleurs (douleurs donc, psychogènes, et donc, au total, de ma FAUTE) ... dire que ce mec est « expert » « médical » ...
21/02/22
après, le neuro, des abrutis du genre, y en a plein partout - qui roulent des mécaniques, se pointent avec leur(s) sourire(s) gluants, des lourds qui se croient fins en harcelant les nanas pour les rabaisser ... et qui, en plus, [en] attendent des remerciements → mais des fois, LEUR inversion des choses est proprement sidérante : vous vous rappelez, après que ses brutes d'infirmiers m'aient éclatés les avant-bras, me créant 18 hématomes (jamais vu ça, les sous-doués en vacances, vraiment ... je dis ça parce qu'à part ça, ils ne phoutaient rien de la journée, on les entendait hurler de rires - plutôt des ricanements bien gras - dans le local dit d'accueil, d'où ils balançaient des diagnostics en vrac, moqueries sur les malades et leurs visites à longueurs de se(r)vices ...), que le mec m'a sorti en roulant les manches sur les siens et en me montrant ses autoroutes, qu'« une perfusion c'était facile à poser » (!!!) ... le « spécialiste » en pleine forme, qui s'ennuie dans la vie, à qui oui les malades arrivent sur un plateau, qui ne connaît rien aux médocs et prescrit les pires çalloperies fier de lui, qui n'avait probablement jamais posé une perf de sa vie, qui me montre ses veines gonflées à bloc alors que ses gros bourrins d'infirmiers déjà, étaient incapables d'en trouver une seule chez moi, même pas d'en chercher, pour piquer n'importe où et comment - oui le type qui pense me faire la leçon pour donc, toujours me rabaisser-toujours sourire gluant à l'appui ... (... il se trouve que perso en tant que petite généraliste, à la campagne et ailleurs, j'ai piqué des centaines de fois dans des conditions beaucoup moins confortables, sur des bords de route sous la pluie dans la boue, et oui ! entre autres pour poser des perfusions et en urgence(s) - et là y avait pas le choix, je n'avais pas le droit de louper) ... le crétin magnifique tranquillement assis cuisses écartées qui me montre ses avant-bras bronzés et musclés, faisant contraste avec les miens perforés de partout et avec une belle nécrose (le produit toxique qu'il m'avait prescrit, donc en n'en connaissant pas plus les doses que les voies d'administration ayant commencé à [me] bouffer les tissus), alors que je suis malade, percluse de douleurs atroces et par ses soins, pour m'informer qu'il est facile de piquer - alors que j'ai été victime d'une véritable boucherie !!! on retrouve l'injonction paradoxale dans toute sa splendeur : oui ces mecs sont tellement centrés sur eux-mêmes qu'ils sont réellement incapables de comprendre, ou même ici de voir le monde ... qui s'arrête strictement à leur(s) petite(s) personne(s) - sur le coup on est sidérée, je peux vous dire (et donc le pire, c'est qu'ils pensent qu'on va les admirer ... le type, en l'occurrence, c'était juste avant qu'il se mette à tripoter mes CD : sans doute(s) que dans son esprit, je devais prendre cette/son intrusion majeure dans ma vie privée pour une marque exceptionnelle de [Sa Grande] sympathie envers moi ... d'empathie - comme ils disent/se vantent - toujours - sujet d'un prochain billet, donc)
bon j'en ai fini avec ce narcissique de 6 ans d'âge mental encore - misogyne et pour se croire un Grand Homme, toujours - je reviendrai pour donc terminer avec une synthèse, mais on comprend bien qu'en médecine, ces types ont beau jeu de se défouler sur les plus vulnérables, oui → dire que la majorité des nanas suivent et obéissent, en plus ... malheur(s) aux malades ! oui parce qu'il y en a vraiment beaucoup, de ces gros égos qui ramènent tout à eux ... ne comprennent rien - et attendent ... de la reconnaissance (donc n'arrêtent jamais ... de nuire)
bon, désolée les ami(e)s, pour la longueur de ce billet (mais il y a du coup beaucoup de choses dedans) je vais terminer aujourd'hui, j'ai en plus en tête un billet sur l'absence de solidarité-d'intérêt(s) véritable(s) pour autrui/la non-empathie (vieux pb qui ne s'améliore pas comme on le voit TLJ, puisqu'on vit dans une société avant tout et avant tou(te)s, de consommation, où chacun(e) se replie sur soi et ne trouve plus - ou ne recherche plus - le(s) lien(s) avec les autres, aggravé par les technologies qui nous séparent les un(e)s des autres et ne nous aident pas forcément à réfléchir, en plus de favoriser l'instinct de prédation-domination qui a toujours existé, donc) - mais je vous jure que ce que j'ai écrit c'est vrai : en plus de la sélection dans les études qui ne porte surtout pas sur les motivations à devenir médecin (et qui pourrait en juger ? les Grands Professeurs de facs ou des hostos, totalement hors sol ?) donc en fin d'une première année d'un enseignement purement technique déjà, et puis à l'hôpital ensuite, et même en ville, les malades de plus en plus découpé(e)s en tranches aussi, où en plus ça devient totalement mercantile avec donc plein de sous-spécialités lucratives, déresponsabilisées et nécessitant de moins en moins de compétences - mais aussi la floraison de « médecins » qui ne font que profiter - et grassement - du malheur des malades (dont les médecins dit(e)s expert(e)s et médecins dit(e)s « conseil »), l'ordre censé encadrer les installations étant complètement corrompu et inversant lui aussi toutes les valeurs éthiques (qui entre autres s'est précipité de promouvoir la violation du secret médical à l'occasion du virus), ce qui est mis en avant dans la profession c'est un entre-Sois toxique le plus à distance(s) des malades possible, encadré par des hiérarchies plus que rigides qui, encore une fois, récompensent les spécialités qui réifient et méprisent le plus toujours les malades : bref des « médecins » sans âmes, [que] des Docteurs oui, qui sont formatés à se placer dans un système encore une fois de domination(s)-soumission(s), incapables de s'enrichir intellectuellement au(x) contact(s) de ce qui devrait être leurs objets d'étude(s) : les maladies - et qui ne voient certainement pas les « patient(e)s » comme des sujets à parts entières ... mais qui finalement, obéissent en troupeaux aux titres avant tout (qui justifient tous les abus, toutes les inversions de valeurs), au fric aussi (aux apparences) et à une médecine restée aussi très patriarcale (les femmes aussi, hélas, la plupart du temps), très ... « supérieure »
donc sur les médicaments aussi, ce que j'ai dit est vrai : une formation théorique en thérapeutique bâclée et à toute vitesse en fin de deuxième cycle (sans reprendre par exemple les statistiques - dont on nous avait gavé(e)s dans les premières années - pour apprendre à suivre les essais thérapeutiques par ex., ou toute la chimie avalée pour passer le concours pour comprendre de quoi sont faits les médocs etc.), la soumission des troupeaux (d'internes, de collègues) non seulement aux « prescriptions » du Chef de se(r)vice qui ne suit pas les malades et ne sait presque plus écrire une ordonnance/ne connaît que les noms commerciaux des médocs, mais de go et illico aux firmes pharmaceutiques rien qu'à la moindre vision de la jupette d'une déléguée dite de labo venant leur dire de prescrire telle ou telle daube - je vous jure que ça suffit à leur faire prescrire en masse(s) quasiment n'importe quoi ... dans ce(s) contexte(s), imaginez, celui ou celle qui viendra essayer de réfléchir à ne pas nuire aux « patient(e)s », qui voudra donc plutôt éviter de leur donner un médoc dangereux, ou pire encore, qui essaiera de penser avant tout à les soulager, comme il/elle sera bien accueilli ... la « Médecine » travaillant donc à Son propre règne, très loin des malades qui comptent pour du ... beurre - et surtout, très en Hauteur, c'est vu comme un affront à Sa Grandeur ... c'est ainsi que concrètement, les médicaments qui marchent le moins sur la/les douleurs sont présentés-vantés comme soulageant le plus les malades, à l'inverse de leurs efficacité réelle et effets, donc le Doliprane™ en étant l'exemple générique → j'ai effectivement été sidérée par la flambée de prescriptions de cette molécule par mes collègues - liée à un lobbying et surtout à une offensive marketing intense des firmes pharmaceutiques (agrémentée de tous les petits détails qui comptent, par exemple la couleur initiale jaune et rouge des boites, bien tape à l'œil) et on a vu combien mes collègues n'étaient pas difficiles à con/vaincre, l'inversion de la pensée scientifique a joué immédiatement et massivement (jusque donc voir plus haut, dans le cas clinique récent que j'ai évoqué, où ce médicament se rapprochant plus du pipi de chat, est qualifié « d'analgésique » !) - et continue donc à plein, avec le/la Covid ... même si - évidemment - toujours aussi inefficace et toxique (on peut se demander si tou(te)s ces prescripteurs/trices, de plus en [ne] donnant [que] ce « médoc » en plus en vente libre, ne se moquent pas de la médecine elle-même en plus des malades, finalement, plus ou moins consciemment ... faisant passer leurs gros égos avant tout - et tou(te)s)
le virilisme aussi (se sentir fort(e)s devant les souffrances d'autrui), très prégnant chez ceux qui se prennent pour des Patriarches de la Médecine, reste très vivace aussi - l'exemple de mon hospitalisation perso dans le se(r)vice de la douleur est - malheureusement - très re-présentatif, effectivement → pardonnez la redondance : loin d'être un exemple maximal, les malades sont couramment mal-traité(e)s de cette façon - et participe de cette manière de tout inverser - c'est oui, une façon de se sentir supérieur, à distance(s), de ne pas voir les différences - et en plus, de vouloir écraser les plus vulnérables pour se sentir toujours plus dominant(e), et en se réclamant dominant(e), d'attendre admiration, remerciements et reconnaissance de la part des « dominé(e)s » ... bref, en ramenant toujours tout à Soi sans jamais s'intéresser aux autres → or les malades eux/elles, n'ont pas d'autre(s) choix que de s'intéresser à leurs symptômes et à eux/elles-mêmes, donc les gros égos virilistes seront certes toujours déçu(e)s (on l'a vu dans mon cas clinique perso, le Grand Chef traumatisé que je ne soie pas éperdue d'admiration de Lui), et toujours dans la surenchère pour écraser la/les parole(s) des malade(s) qui ne pensent pas avant tout à [les] remercier (les gros égos ne cons/prennent pas/jamais qu'on puisse s'intéresser à autre chose qu'eux) ... il leur faut donc nier les symptômes aussi → donc, prescrire des médicaments inefficaces contre les douleurs (Rivotril™, Lyrica™, Neurontin™ etc. le Laroxyl™ donc prescrits préférentiellement aux malades femmes, car les transformant en clochardes alcooliques, tellement cette vieille molécule a des effets proches des neuroleptiques, permettant aux médecins hommes - mais pas que - de se sentir tout de suite [plus] forts en face) en disant qu'on les soulage permet de dire que donc les malades sont doudouilles (et donc, toujours en face, comme dans mon cas clinique perso, [trop] fort(e)s et supérieur(e)s) ... et ingrat(e)s parce qu'ils/elles ne remercient pas [assez] ... et évidemment, avec tous les effets secondaires (y compris ceux engendrés par la persistance des douleurs, allant de la vraie « dépression » - à force(s) - à la mort sociale en passant par les chutes etc.), de toujours dire que les malades se débrouillent mal-leur sont inférieur(e)s, et de les punir aussi aussi si ils/elles persistent à [dire] avoir mal - plutôt que donc, les admirer comme attendu(e)(s) ... bon, je suis en train d'empiéter sur mon prochain billet - évidemment, après, il y a toute la gamme des [vrais] psychotropes pour aliéner les malades souffrant(e)s donc de douleurs - en général en leur assénant d'entrée de jeu que ce sont les vrais antalgiques qui sont addictifs, toujours donc dans l'inversion de raisonnement et histoire(s) de les culpabiliser, et en passant sous silence l'addiction elle énorme et immédiate, à l'immense majorité de ces molécules - au sens de les mettre de côté en tant qu'humain(e)s, de les écraser ainsi que leurs possibilités de raisonnement et d'expression, quasiment de les tuer : et là, interviennent les psychiatres, qui n'ont donc aucune pratique(s) de la médecine et encore moins en matières de thérapeutique(s)/de prescriptions, encore plus frustré(e)s donc et qui veulent à toute(s) forces passer non seulement pour de vrai(e)s-de Grand(e)s Docteurs mais aussi pour de vrai(e)s médecins (sans se fatiguer à étudier, ou examiner les malades, et en en faisant un fonds de commerce bien docile, qui plus est) ... en prescrivant de GROS médicaments : on comprend qu'ils/elles se sont engouffré(e)s dans la médecine par ce ... biais, et qu'ils/elles sont encore plus acharné(e)s que les autres à être reconnu(e)s donc comme de Grands Médecins (parmi leurs « pair(e)s » déjà, grâce à leur titre déjà, mais ça ne suffisait visiblement pas) ... en faisant taire, en écrasant-aliénant et en récupérant un maximum de malades (NB la médecine étant elle aussi découpée en tranches, la plupart en attrapent un bout et veulent tout attirer à eux/elles) ... on est loin de la pratique de l'humble médecin essayant les médicaments, et les doses de, sur lui-elle-même pour en connaître l'efficacité réelle déjà, et être sûr(e) de ne pas nuire - bon les ami(e)s vous avez compris, je vais arrêter là, c'est trop long ... et je dois écrire mon autre billet sur, entre autres, toutes les manipulations du terme « empathie » quand on n'en a pas-ne sait pas ce que c'est - je reviendrai sinon pour qq corrections
le 2 mars :
juste un truc, à propos de « soulagement des malades », d'incompétence - sentiment de supériorité suivis d'aliénation d'autrui (pour se donner entre autres, un certificat de bonne-de meilleure santé psychique) : je me rappelle que quand je bossais en gériatrie - c'est donc moi qui tenais tout le bâtiment, plus de 100 personnes malades, pour un salaire de misère - j'ai vu se pointer comme une fleur UN psychiatre, un mec que j'avais jamais vu, dans le hall qui a salué en bêtifiant une dame donc âgée assise là, lui faisant des risettes (le ridicule ne l'a pas tué, lui, et pourtant il a mis le paquet ...), a fait un tout petit tour au RDC et irruption dans quelques chambres pouces dans les bretelles (mais habillé cool pour montrer que les psychiatres sont cools et proches du peuple), ressorti aussi vite, pour terminer dans la salle de soins, où je devais remplir des dossiers sous les nœils de cerbères des infirmières (pour la plupart aussi idiotes que fainéantes, caractérielles de surcroit, ne ratant pas une occase de torturer une personne âgée) → ces dernières se sont illico transformées en mignonnes petites brebis toutes rosissantes à Sa vue, pensez ! LE Grand Docteur Psychiatre - qui aurait été Lui tout à fait charmé par la psychologie à deux balles (de revolvers) dont elles se nourrissent et abreuvent perpétuellement toulmonde, Se prenant elles aussi pour des intellos - mâle de surcroit, les veuleries se rejoignent et unissent toujours leurs forces : il fallait les voir à Lui faire des risettes aussi, en retour, se tortiller et des derrières dans leurs uniformes immaculés (évidemment, elles ne phouttaient rien de leurs journées, à part cocher qq de leurs cases entre leurs perpétuels cafés), bref LUI faire du/des charmes assorti(s) de toutes les marques de soumission pour LE conforter dans Son statut de dominant-sachant → tu parles !!! le mec Il a empoigné les dossiers à Sa portée, en me baragouinant qq phrases sans suites ni queues ni têtes dans Son vocabulaire psychiatrisant, et donc sans jamais avoir « examinée » la moindre personne âgée (mais en violant allègrement le secret médical, comme tou(te)s les psys adorent ... encore qu'avec le peu de connaissances médicales qu'ils-elles ont, même les infirmières étaient plus compétentes en la matière ... c'est dire - et puis, Il n'allait quand même pas se fatiguer à lire les dossiers, Il était pas là pour ça) a prescrit à la pelle et au « jugé », si je puis dire - enfin, plutôt à l'aveugle, donc - des tonnes de neuroleptiques, essentiellement, à plein de malades et de résident(e)s même non malades, [me] baratinant que ça allait les aider dans leur détresse de leur vieillesse et d'être enfermé(e)s là (en plus intello, enfin pseudo-intello toujours on va dire - évidemment, les infirmières en retours, encore plus sous Son charme aussi, puisque de leur(s) niveau(x)) - au total donc bien sûr, de les soulager de tout → vous voyez, la toute-puissance, quand on y croit ... toutefois, je l'ai jamais revu, cet olibrius - Il a quand même dû être déçu de voir que ça ne prenait pas avec moi (et ouf pour les « patient(e)s » !!! les infirmières étaient quand même trop flemmardes pour déjà, reporter tous ces médocs dans leurs cases, leur priorité de toujours ⇒ alors pour les donner ...) Son raptus pour aller faire admirer Ses Soi-disantes toute-puissance et toute-sachance en gériatrie, sur les « patient(e)s » les moins à même(s) de se défendre, et pensait-Il également, à l'unanimité (donc non, puisque j'ai pas marché ... ces gros égos sont hyper-exigeants, Ils veulent tout-tout de suite comme le neuro, rappelez-vous, traumatisé aussi que je lui aie pas faites de risettes)