salut les ami(e)s → enfin ouais, je dis les ami(e)s je sais pas, j'espère (toujours ...) - il y a tellement de gens tellement centrés sur eux-mêmes que la plupart du temps on a de [très] mauvaises surprises, même avec ceux qu'on connaît, et qui, par exemple(s) vieillissent mal ... bref, passons, vous vous rappelez que j'ai dit dans un comm que finalement j'avais fait médecine en espérant que j'y trouverai au moins des professionnel(le)s attentifs/ves à la détresse des malades, donc oui empathiques, désireux de les soulager de tous leurs maux si possible, compétent(e)s etc. mais surtout, qui n'oseraient [quand même] pas devant justement tant de détresse(s), les engluer dans les fameux jeux de c. auxquels on a affaire(s) quasiment TLJ et qui m'ont saoulée perso très vite-très djeune (j'avais des vieux et une famille absolument non aimante, que des gens justement exigeant le maximum de nous, des enfants, qu'on les admire-qu'on leur obéisse-qu'on se laisse humilier par eux ... pour qu'ils puissent se sentir « grands » → vous voyez l'inversion/les inversions encore) ... bon, ne partons pas trop loin dans les souvenirs, en préambule de cette discussion sur/de l'empathie - alléguée, je voulais vous redonner l'exemple de ma fameuse voisine, assez typique de pas mal de monde hélas finalement, vous vous rappelez, la nana hyper propre sur elle (et je déteste, j'abhorre, je hais les étiquettes psys, mais elle avait/a vraiment des TOCs, franchement en 3 secondes le diagnostic était fait : non seulement son paillasson elle le lavait à l'eau de Javel™ et TLJ, mais elle courait partout complètement pa-niquée pour aplatir le moindre bout de ... poil qui dépassait d'1 cm ... ou d'1 millimètre) mais qui dès qu'elle ouvrait la bouche, n'en sortait que de la m. → lors donc d'une des premières « conversations » que j'ai eue avec elle, enfin j'avais rien dit : elle m'avait mis le grappin dessus et il fallait absolument l'écouter causer (càd donc faire son intéressante, se présenter comme une Grande Dame, dire qu'Elle était gentille - et bien sûr, tellement intelligente - sous-entendu tellement plus que moi, évidemment - et « aidait les gens » → NB on y est déjà presque, à l'hosto par ex. les infirmières remplacent ce flot d'auto-congratulations-autojetages de [couronnes de] fleurs par l'allégation d'être empathiques : c'est fait donc pour couper court à toute(s) réplique(s) ... en plus court, en plus technique) - bref donc comme je suis polie je l'écoutais causer, évidemment comme la nana a vu que j'étais polie Elle en a profité pour bien me pomper l'air, et Elle a embrayé en me donnant un exemple de Sa Grande gentillesse en me disant qu'Elle était donc allée « aider » une dame, une d'Outremer pour pas dire qu'elle était métisse pour faire croire qu'Elle était pas raciste, qui venait d'avoir plusieurs accidents de voiture à la suite (il fallait voir Son air gourmand) et de go, Elle m'a sorti que c'était « probablement une dépression » (la satisfaction méchante de sortir ce mot ...) et, lâchant tout le paquet, étant allée chez elle (donc pour Soi-disant l'aider, incroyable cette avidité de toulmonde à violer les vies privées des autres), qu'« Elle l'avait suivie jusque dans les toilettes pour être sûre qu'elle buvait de l'alcool » sic ⇒ voyez, la gentillesse des gens 😉 oui elle m'a sorti ça à toute blinde, avec un air mi-pervers-mi complice à vomir : la nana qui sait TB qu'elle est une çallope et qui cherche à rassembler la meute qui va sinon Lui obéir (dans Sa Grandeur d'écraser ... les autres là où/quand c'est le plus facile), au moins Lui ressembler
excusez-moi aminches, je reviens toujours à cette pas si vieille histoire, cette vieille mégère était ma voisine il y a deux ans encore - je dois être assez naïve, à [toujours] me dire que sortie de la méchanceté bête en troupeaux à l'hosto, le grand ... public sera peut-être/quand même un peu plus sympa avec les malades → ben non, évidemment, y a tellement de gens avides du moindre prétexte pour [pouvoir] se sentir supérieurs aux « autres » et c'est pas faute(s), je l'ai dit, d'avoir eus des vieux et une famille qui trouvaient que les enfants devaient s'écraser - au sens propre du terme - devant eux : des minables incapables d'aimer qui que ce soit, même pas eux-elles-mêmes, tout juste " bon(ne)s " à martyriser les plus faibles pour se croire puissant(e)s aussi - avec toute la complicité de la société (famille élargie, voisins, enseignant(e)s ... etc.), gaffe à toi si tu leur obéis pas ... je ne sais pas si c'est vraiment un défaut inhérent [qu']à l'espèce humaine, de vouloir se sentir « supérieur(e) » par tous les moyens et surtout les plus vils, les plus débiles aussi, mais on le voit tout le temps et de plus en plus : vous avez remarqué comme moi les m'as-tu-vu(e)s, les gens qui paradent dans la rue, qui vous bloquent le chemin, qui vous bloquent dans les queues, qui vous bloquent en bagnole(s), qui vous font du rentre-dedans comme s'ils avaient autorité(s) sur vous, qui vous font des « remarques » dans la rue, dans les supermarchés pour critiquer ce que vous achetez/vous dire quoi acheter etc. ... non mais là je dévie un peu, quoique, ce sont vraiment des agressions quotidiennes de la part de n'importe qui voulant vous dire quoi faire - de leur obéir, comme s'ils et elles « savaient » mieux/plus que vous, bref ils et elles vous traitent oui, de débile(s) ... et en en attendant des remerciements - en plus, c'est-à-dire que vous reconnaissiez leur supériorité sur vous, et donc, tous les moyens sont bons, mais surtout, ceux qui vous rabaissent le plus : accuser quelqu'un de « dépression », ça se fait depuis longtemps, dès que quelque chose ne [leur] plaît pas chez vous, en fait(s) dès que vous ne vous écrasez pas et devant leur prétendue supériorité sur vous ⇒ si vous ne vous humiliez pas [de]vous-même devant eux, vous êtes dépressive ou dépressif, c'est-à-dire faible et malade psychiquement ... (alors même que vous résistez à leurs tentatives d'humiliation(s)) ... pour se sentir « grand(e)s » en face de vous → ce sont vraiment des façons de faire et de dire très perverses, toujours à retourner les responsabilités et la faute en utilisant des injonctions contradictoires - pour dire avoir toujours raison(s), être seul(e)s à parler, couper court à toute(s) réplique(s), annuler l'autre, ramener tout à soi etc. etc. etc. ... dans le cas de la vieille, qui n'a(vait) jamais bossé, soumise à son abruti de marri, faisant - et pour cause(s) et donc avec conséquences (funestes) - le ménage toutes les journées, elle avait quand même fini par con/prendre que les malades sont ceux et celles qui peuvent le moins se défendre, ça l'attirait comme une mouche, elle allait visiter les gens chez eux (sous le beau prétexte de les « aider », bien sûr) ce qui lui ... permettait de reluquer partout-violer leurs vies privées et en ramener plein de ragots pour donc aller se rendre intéressante (qu'elle croyait ...) et dans les cas des malades, les sachant occupé(e)s avec leurs pathologies et la plupart du temps sans aide(s) - bien enfoncé(e)s de toutes parts, les descendre devant d'autres encore, sachant que ça soude le troupeau de s'acharner sur un bouc - ou une chèvre - émissaire et qu'on peut raconter n'importe quoi ... étant donné que le dit grand ... public ... ne connaît rien aux maladies, qui lui font peur, qu'il ne veut pas voir ... et ne voyant pas plus loin que le bout de son nez 😎
la vieille toquée passait donc son temps (hors ménage) à mettre le grappin sur tout le monde pour salir dès que possible les autres - enfin, tout le monde aussi, dès que vulnérable - et derrière leurs dos, tellement minable, bête et méchante qu'il lui fallait aller chercher donc les plus diminué(e)s ici par la maladie, en traitant devant moi une nana métisse qui avait eu des accidents d'auto, mais d'alcoolique et de dépressive → comme ça je n'avais qu'à con/prendre qu'elle obéissait au(x) schéma(s) ... « dominant(s) » misogyne et raciste ... marrant, de la part d'une nana elle-même d'origine maghrébine et ... une nana : je pouvais en conclure que pour être acceptée en tant que nana, il faut rabaisser les autres nanas - ce qu'elle faisait déjà très objectivement rien qu'avec elle-même en se soumettant aveuglément et très visiblement à son vieux misogyne gluant de marri, vous savez (les nanas 😉) : le genre de çalligaud qui dès qu'il vous aperçoit, a automatiquement ce genre de sourire obscène de violeur de petite fille, qui transpire la haine des femmes, et le mec qui se prend pour un Grand Homme - je vous dis pas quand elle a appris que je suis toubibe, mais déjà là, rien que de pas adhérer quand elle a sorti - à toute blinde - avec un air mielleux/supérieur, donc, que la nana était métisse, quand elle a vu que je trouvais pas ça humiliant pour elle, déjà, elle a pas été contente, évidemment ... après, sous l'avalanche, quand elle a retournés tous les problèmes, en disant que c'était parce qu'elle était dépressive qu'elle avait eus des accidents (ça rejoint les « raisonnements » de tous les gens qui disent que les nanas sont toujours des victimes, et parce qu'elles le désirent, en fait(s)) ... et, pour [la] finir en beauté, qu'elle l'avait poursuivie ... jusque dans les chiottes, et pour vérifier-attester-dire à tout le monde qu'elle picolait, elle a pas pu manquer de constater que j'avais l'air coi et de surcroit, pas du tout d'accord (NB. à l'hosto, déjà, toutes les infirmières passent leur temps à dégoiser sur les vies privées des malades : ça s'appelle, enfin elles appellent ça des « staffs infirmiers », pour faire comme les Docteurs ... sauf que c'est que des ragots avec « l'excuse » de faire de la psychologie ou du « soin global à la personne », entre autres foutaises ... surtout en restant bien dans les schémas "bien" misogynes qui veulent que les nanas se cantonnent et d'elles-mêmes à des commérages-médisances → ce qui est au(x) fait(s), valable aussi pour la voisine, qui passait aussi son temps, hors maladies lui permettant de donc rabaisser les gens, à parler chiffons, aussi - et à traiter elles aussi surtout les nanas de dépressives - et d'alcooliques aussi : la principale TOUCHE de « féminisation » qu'apportent les infirmières également, c'est de rabaisser les malades femmes à des statuts de VICTIMES et volontaires - en se rabaissant elles-mêmes au(x) passage(s), ça doit faire partie du « jeu » ... pour dire que la haine misogyne est plus que prégnante dans la société) (NB. en ce qui concerne la racisme + la misogynie répercutés donc par les infirmières, il y a aussi le fameux « syndrome méditerranéen » → ça permet d'enfoncer plus spécifiquement toujours, surtout les nanas, là doublement fautives : en plus moins blanches de peau-avec accents maghrébins ou africains, en mettant leurs souffrances sur les comptes de leur sexe et de leur « race », pour ne pas en tenir compte, ne pas les soigner et en même temps dire, toujours, que c'est, forcément, de LEUR faute ↔ l'injonction paradoxale est utilisée pour camoufler leur aversion à soigner les femmes - parce que c'est naturel pour la femme de souffrir et de se taire : elle doit continuer à bosser, et en tant que "race inférieure" ... leur "pouvoir" de « soignantes » est ainsi instrumentalisé pour faire l'inverse de ce qu'elles devraient faire, notamment aider les autres femmes et en situation de vulnérabilité - obtenant ainsi la reconnaissance par tout le groupe et l'institution de leur propre statut de femmes bien soumises, et à leur(s) propre(s) humiliation(s) ... en adhérant au racisme endémique)
non mais tout ça pour dire - et comme d'hab, je voulais vous parler d'autre(s) chose(s) - que j'ai trouvé ça d'une violence ... inouïe (et disons : à chaque fois renouvelée ...), et la réaction de la nana, même sans savoir que j'étais toubibe (après, ça a décuplé sa haine, une femme n'a pas le droit d'être médecin : pour elle, y avait que des Docteurs mâles ... je vous dis pas le torrent de dénigre/ment(s) 😮), immédiatement a penché vers la plus grande des suspicions : j'avais encore éventuellement le droit de pas être raciste, vu donc qu'elle venait à l'origine, de Tunisie, et que je m'intéressais à tout ce qu'elle pouvait me raconter (mais elle en disait pas grand-chose, évidemment ...) - mais de ne visiblement pas approuver qu'on est toutes des faibles femmes, mentalement faibles - quasi malades psychiquement, qui quand elles ont des ennuis, les ont bien cherchés - et même, qui les aggravent parce qu'irresponsables - comme elle était certaine d'en avoir la preuve en se précipitant dans les chiottes (elle a jamais dit qu'elle l'avait surprise sur le trône en train de boire, mais qu'elle en était sûre d'avance !) - c'était être complice du pire crime, celui de ne pas rabaisser SYSTÉMATIQUEMENT une nana ... à la moindre occase, surtout ne pas la louper : quoi qu'elle fasse, ce ne sera jamais BIEN, elle ne peut que rater - et donc, même si elle « tombe » malade, c'est de SA faute, d'ailleurs elle l'a voulu - et en plus, elle boit, voire elle buvait [déjà] avant parce que tellement nulle de toute(s) façon(e)s etc. etc. etc. : le petit discours, débité à toute vitesse, de la brave/Grande Dame bien propre 😇 sur Elle contenait à l'intérieur un maximum de çalloperies ... bon, je reviendrai encore les ami(e)s, et pour quelques corrections, toujours, et aussi pour le billet que je voulais écrire sur « l'empathie » comme prétexte à l'hosto notamment pour masquer la réalité de ce qu'on dit/fait aux malades - il faut dire que sur MDP on a de très bons articles et billets exposant et critiquant cette haine misogyne qui s'exerce partout, et dans les institutions, et qu'on la retrouve hélas dans beaucoup de commentaires : on ne peut pas ... passer à côté
NB le "nouveau" formatage est assez une CATASTROPHE, et ce qui est daigueullasse c'est qu'il s'applique "de force(s)" aux anciens billets !!! détruisant toute les mises en formes des billets précédents → dire que j'ai travaillées des heures et des heures et des heures pour/à tout aligner, et toutes mes mises en pages sont bousillées !!! en UNE manip, la forme qui détruit le fond, qui écrase tout sans aucun discernement, on connaît
.... même les petites émoticônes ne correspondent plus à ce qui est affiché côté ... créatif 😢 → celle avant qui avait un masque (très utile dans cette dictature sanitaire) se transforme à l'édition en une avec un zip à la place des lèvres, c'est pas pareil - faut encore tenir compte(s) de tout ça