salut toulmonde → je pensais à un truc : récemment je « me » suis faite agresser via un « commentaire » par une nana et moqueuse me traitant et d'emblée de « mépris de classe » parce qu'il y a dans mon pseudo (qu'elle m'accusait d'afficher de façon répétée ... ben ouais : à chaque fois que j'écris il s'affiche, dingue !!!) le titre de Docteur, que j'ai mis par honnêteté et au féminin [en plus], sachant fort bien que je m'exposerai à toute la misogynie du monde (cf. mes billets récents : une femme n'a pas le droit d'être médecin 😉)
à la fin de ma troisième année de fac de médecine, mon père est mort brutalement - c'était une c. molle alcoolique, qui avait eues des visions et gluantes sur moi au moins à partir de la/ma puberté (du genre, tout à coup-plötzlich, il fallait qu'il entre dans la SDB pour « m'aider à me laver les cheveux ») ... ou par procuration(s), expliquant la bave aux lèvres à tout le quartier que j'avais « envie de coucher avec tous les mecs » - pardon, que « je couchais avec tous les mecs du quartier » (mais je vous rassure, ma mère était pareille 😀) ... mais bon, un mec qu'on a vu TLJ pdt longtemps, forcément ça fait un choc ⇒ du coup, cet été-là, j'avais pas pu m'y prendre à temps pour trouver un poste de remplaçante d'été à l'hosto pour donc payer mes études, et je n'avais pu que bosser dans des hôtels (sans contrat d'aucune sorte, of course - mais surtout, je me rappelle des nanas de 50 ans, véritablement admirables se farcissant des ballots de linge(s) de 50 kgs sous lesquels perso je croulais - et elles riaient, gentiment, encore), et seulement dans une clinique privée qques nuits payée comme femme et de ménage encore mais à faire le boulot de l'infirmière de nuit ... mais heureusement, là aussi, le personnel permanent - sous-payé aussi et tout aussi féminin - que j'y ai rencontré était vraiment très sympa ...
à propos de mépris de classe, je repensais juste au Père de ma meilleure amie de l'époque, qui m'invitait - elle - souvent - ouf ! - à bouffer chez eux → Le Patriarche du cru, ayant appris que mon father avait défuncté, et par la bande que je bossais notamment dans un hôtel, et peut-être vu mon état - grisâtre, je suppose - d'épuisement (... donc Le Patriarcat-Roi triomphe en règle(s) sur les ceusses en situations de vulnérabilités : Il avait peut-être escompté itou qu'avec la fatigue, je ne réplicasse point 😉), passant plus ou moins par hasard par la cuisine, m'asséna d'un coup, sans bien sûr que je Lui aye rien demandé : « Quand on n'est pas intelligente (ou douée, je sais plus), c'est normal de ne même pas être capable de trouver du travail à l'hôpital » 😀 ... là encore, je vous rassure aminches, de suite j'ai ouverte ma petite bouche (... c'est ma dentiste qui a noté ce détail anatomique) au moyen de laquelle j'allais Lui sortir une réplique fort(e) stylée, vous pouvez me croire ... hélas, ma meilleure co/pine/Sa fille a fait dans Son dos un genre d'immense geste avec ses deux bras pour que je Le préserve, et, alimentaire/ment, je dois dire que je me suis tenue mais genre coite, c'est ballot (... bon, Il a pas loupée mon expression, au moins)
ouais enfin SI - j'a[va]i[s] oublié voyez - j'ai quand même marmonné un truc du genre : « mais qu'est-ce qu'il me veut lui, là ? ... qu'est-ce qu'il raconte [le vieux çallaud] ? » 😠... ça, oui et avec ma g. ... et mes dents 😬 (j'aurais voulu le dire tellement plus FORT ... et que ma « pote » se barre)
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