salut - non mais je dis ça parce que j'ai été attaquée par UNE misogyne récemment là dans mon blog 😢 → c'est là qu'on voit que les nanas peuvent être encore pires - disons, avec leurs paroles miel/fielleuses (encore qu'il y a des mecs très capables de « nous » insulter avec des mots, donc insultants certes aussi, mais souvent assez maladroits - c'est surtout que c'est souvent chez eux accompagné de leurs mimiques - têtes de lard - méprisantes et agressives : ils ont besoin de nous montrer physiquement qu'ils sont caps de nous menacer en permanence - de nous reluquer comme s'ils nous crachaient dessus, de nous taper dessus, de nous violer, de nous dégrader, tout ça) - enfin disons que les/ces mecs se donnant tous les droits, par exemples il leur suffit d'attendre pour nous imposer leur présence physique donc pour nous menacer avec, bien nous montrer que ça les dérangera pas de rondement, nous cogner (dire que ces mecs [se] racontent toujours « aimer les femmes » ... on a l'impression que ça leur a été imposé) ... alors que les nanas, toutes leurs çalloperies passent par la/les parole(s) ... donc voilà - ouf, dites, c'est difficile ce matin

non mais ces temps-ci je re-pense aussi souvent à quand j'ai été/je me suis faite hospitaliser en endocrino - suite(s) à cette bonne femme m'insultant dans mon/ce blog aussi - vous savez pour faire le bilan « classique » d'une des urgences médicales les plus graves et les plus ... urgentes (j'avais donc passée notamment une nuit à me traîner à/par terre en état de choc, à lutter contre la mort ... et qu'on [ne] me dise pas qu'il ... « y avait qu'à » appeler le SAMU, j'étais pas en état DU TOUT de négocier des heures avec ces abruti(e)s ... ou tout simplement, de sortir une seule phrase : je répète, je luttais contre la mort) → bref, j'en ai déjà parlé 36 fois → pour une urgence gravissime, l'Urgence des urgences quoi, que normalement, « on » bilante et gère le plus vite possible (« on » est même fondé(e)s à mettre le médoc avant même d'avoir le résultat de la prise de sang, « par exemple » aux urgences : résultat donc urgentissime ... qui avait mis en ville une petite dizaine de jours à me parvenir, même pas téléphoné, arrivé par La Poste, et selon lequel j'étais quasi-ment, enfin sur le papier, effectivement mort(e) : un résultat obtenu à titre posthume presque ...), j'ai donc dû me taper/payer mais une/des suite(s) de galères « invraisemblables » que j'ai dû manager seule au milieu de rigolades absolues en face si je puis dire, ce qui laisse peu d'espoirs aux autres malades « incapables » ... médecins ou pas, de faire le diagnostic

tiens ! d'ailleurs, un crétin de toubib, spécialiste avec dépassement d'honoraires aussi, que j'avais vu après pour un autre « problème », et tenu à payer intégralement, surtout qu'il avait rien fait (tiens ! encore un, puisque je parle des antalgiques en ce moment, et qui m'a sorti à la fin, rondement et fièrement : « normalement, pour ce genre de problème(s), mes confrères mettent de la morphine, mais moi pas ») - en faits un vieux çalligaud qui m'avait reluquée longuement en petite culotte avec son sourire visqueux, pour faire intello il m'avait demandés mes antécédents et quand je lui ai citée cette pathologie endocrino qui donne donc des urgences dont normalement on « se » sort pas, il avait été étonné et m'avait demandé de suite(s) qui avait fait le diagnostic (comme ils pensent qu'il y a que les mecs qui sont intelligents, il s'attendait à ce que je lui sorte le nom d'un con/frère, pour qu'il puisse aussi con-firmer devant moi que le mec avait été très intelligent ... éventuellement qu'il puisse le con/gratuler après, discuter entre Hommes vous savez, se [les] faire reluire ensemble etc.) (mais non, c'est pas des paidais 😮 ...), j'ai pas pu faire aut'chose que dire que c'était moi, mais là, vous savez, ça l'a fait ricaner encore plus grassement (puisqu'il stationnait devant moi en petite culotte) → c'est marrant, ça aurait été un mec il aurait fait des ronds de gambettes admiratifs, il aurait eus les nœils brillants de fierté partagée d'appartenir aussi à cette gent masculine si supérieure avec preuve indue-bitable dans le cas de figure (triste quand même la mienne, vues les douleurs motif de la consult dépassée), tout ça-tout ça : mais une nana qui avait fait le diagnostic, il allait quand même pas la féliciter (puisque je venais comme malade, soit une sous-merdre bonne qu'à reluquer et palucher - quand tu bosses [avec, ou plutôt souvent à leurs places], ils te félicitent effectivement des fois, mais rarement, même si ça te rabaisse bien, ça les oblige quand même finalement à re-connaître que tu bosses bien) - du coup, il [m']a sorti ce ricanement obscène, à moitié parce qu'il était donc encore en train de reluquer mes culotte & donc entrejambe, mais aussi parce qu'il a tenu à le marquer, ce coup, et à me faire [bien] sentir que même avec un/ce diagnostic « brillant » de fait, il me prenait et me prendrait toujours [bien] pour une c.e ... bon, il y avait aussi un petit peu de vexation il faut dire, ce qui va quand même m'amener aux nanas du se(r)vice d'endocrino, alors elles, vraiment PAS CONTENTES du TOUT que j'aie fait le fameux diagnostic donc en tant que toubibe malade

d'ailleurs je reviendrai plus tard pour finir [sur] ces nanas, 10 jours passés à l'hosto pour faire quasiment le même bilan (en beaucoup plus long et douloureux, par des « gentilles » infirmières incapables de seulement piquer correctement/proprement, brutales, moqueuses et culpabilisatrices, aussi) que moi en ville, et pour me dire à la fin, de la bouche de la Cheffe Herself de se(r)vice et avec sa gueulle enfarinée : « ah mais vous savez, si on commence à re-chercher des causes à tout, hein ? [où on irait ?] » ... c'est juste que leur haine irradiait littéralement, et si j'ai pas eues beaucoup d'autres répliques de la même farine, c'est qu'elles ne savaient pas trop quoi dire, finalement (pas comme la garce qui m'a bien descendue après un billet récent) ... non mais on « finit » quand même par se demander comment ces gens-là arrivent à se croire des médecins : ce n'est qu'à « forces » de se vautrer dans tjrs les mêmes éléments de langage, comme des perroquets qui ne savent [même] pas ce qu'ils/elles disent ...

plus tard : (donc)
bon ben je vais pas en tartiner des kilomètres, et d'ailleurs, en plus ça rejoint pas trop ce que je disais au début sur les paroles dégueulasses des nanas misogynes pour nous descendre - oubliant qu'elles se rabaissent elles-mêmes aux passages (mais qu'est-ce que c'est casse pieds ces gens qui ne voient que des rapports de supériorité et d'infériorité partout-toultemps !!!), c'est juste que ces temps-ci en filigrane je revois ces 3 nanas en endocrino - la Cheffe, la para-Cheffe/future prévue Cheffe à la retraite de l'autre et leur interne molle - passant dans ma chambrette tous les matins donc pendant 10 jours, avec leurs têtes oui à me jeter de la farine (ou plutôt du goudron-plumes) mais c'est vrai que finalement elles ont pas trop parlé → donc perso j'avais faite l'urgence princeps de leur spécialité et elles m'ont « reçue » comme si elles me crachaient dessus, je suppose parce que j'avais fait donc ce [maudit ...] diagnostic : tout passait dans/par leurs attitudes, hautaines, méprisantes, me « prenant » elles aussi [mais] pour la dernière des c.es ... et voilà, on est encore dans ce fameux « truc » de domination, à peine(s) les nanas ont du pouvoir, elles font pareil que les mecs et cassent les autres nanas - en « plus », des c.es, vraiment, qui pigeaient rien, on sentait bien que les maladies non seulement ça les barbait, mais qu'elles y pigeaient strictement que béatrice ... et je vous jure, j'ai été toute mimie, après m'être sortie d'une urgence pareille, avoir éclusé(e)s tou(te)s les autres petit(e)s chef(fe)s, en plus j'avais - avec tout ça - entretemps déménagé sur 800 bornes et m'être même dite que dans un autre hosto ils/elles pourraient quand même pas passer à côté → eh ben si elles pouvaient, perso je leur parlais gentille-ment/calmement de médecine, mais rien à faire : elles me regardaient comme une sous-merdre, s'intéressaient à rien, consprenaient rien non plus (j'avais quasi fini par me demander s'il fallait pas que je leur parle petit nègre, sorrie ...) et attendaient visiblement en plus que je les remercie platement jusqu'à terre de/pour leurs Grandeurs et Intelligences ! ... non mais là sérieusement aminches, on est devant un DILEMME : on dirait - en général - que c'est le genre de gens/que ce sont des gens qui sont sur terre en attendant perpétuellement des remerciements alors qu'ils ne font rien, et même l'inverse de ce qu'il faudrait faire, il y a un problème ! ... on « doit » toultemps les remercier d'exister alors même qu'ils n'existent pas ⇒ donc ... on n'y arrivera pas, c'est impossible ... (et sans doute(s) que ceux/celles qui existent vraiment n'ont pas besoin de la ... reconnaissance éperdue et ... forcée de toulmonde)
