salut - je sais pas pourquoi je me rappelle ça, c'est quand je bossais en gériatrie → càd, le système étant déjà bien pourri déjà à l'époque, que j'étais affectée officiellement en gériatrie, où les personnels ne f.taient rien à longueurs de se(r)vices, les infirmières ttes les journées aux cafés (on les entendait de loin causer très fort et se marrer itou), les aides-soignantes je sais pas où, sans doutes avec à les écouter (en vertu de leur titre, y a que les IDE qui ont le droit de causer - dans tous les hostos : c'est la soumission au Patriarcat qui fait ça → il n'y a que les titres et les statuts qui comptent - et infirmière, c'est le max pour les femmes, elles ont donc le droit de devenir des mégères à forces de frustrations et notamment de snober les AS - elles sont très fortes pour ça - mais surtout, elles doivent rester féminines : càd tenir les conversations les plus bêtes possibles, en se prenant pour des intellectuelles ⇒ comme ça aussi, les mecs peuvent se sentir/se croire intelligents et être rassurés) ... quand j'arrivais - exceptionnellement - le matin de chez moi (vues les gardes aux urgences je rentrais très rarement pour dormir, puisqu'en faits je bossais jusque 120 heures par semaine, donc la plupart du temps je restais sur place à m'occuper des urges de tt l'hosto ... et de la MDR : oui, mortes de rires les IDE surtout, qui elles n'en f.taient pas une rame), les personnes âgées déambulaient à demi-nues dans les couloirs (au RDC où j'avais un placard, il y avait « l'unité Alzheimer » avec les portes à fermetures automatiques - qui en elles-mêmes amusaient déjà tellement les personnels, et à chaque fois - dans lesquelles elles se cognaient à grands bruits, ce qui faisait tjrs encore plus hurler de rire donc tous les personnels, à chaque fois encore/tjrs ⇒ souvent je [me] demande vraiment si ça dépasse les 6 ans d'âge mental, dans le milieu ...), ou étaient entièrement dénudées et les fenêtres là grandes ouvertes (pour soi-disant éloigner les microbes), scotchées tremblantes/gelées à leurs lavabos pour, soi-disant, qu'elles fassent leurs toilettes ... pendant que les dites équipes dites « soignantes »/à ne jamais déranger et invisibles passaient leurs temps - tous leurs temps - tout au fond du couloir dans leur salle de détente à savourer leurs cafés/gâteaux, colporter leurs ragots et à se marrer si fort que je les entendais très bien à peine(s) passée l'entrée ppale



à propos d'arriver tôt de chez moi - après avoir au moins, dormi - une de ces très rare(s) fois où je me suis pointée en gériatrie pour aller prendre ma blouse dans mon placard du RDC (j'étais donc affectée à toute la gériatrie, je faisais les 3 étages pendant que ma « cheffe » - qui était pas plus cheffe que moi mais une fifille à ses papa-maman et cucul et chemise avec la direction complètement pourrie [aussi] ⇒ une incompétente, caractérielle perverse et violente qui méprisait [aussi][entre autres] les personnes âgées : il y a un article dans la feuille de chou locale la décrivant à son départ en retraite comme une femme médecin dévouée et bien sûr si empathique - passait son temps à hurler de rire avec les cadres qui lui colportaient leurs ragots aussi, sur moi bien sûr principalement puisque je bossais et qu'elles y pigeaient que béatrice ... y en avait 4 des cadres, féminines aussi, 5 avec leur mâle chef qui en f.tait encore moins qu'elles, qui sinon - à part les cafés/ragots/rigolades - traînaient la + grande partie des journées - assez courtes - dans les couloirs pour frimer en grandes blouses blanches ... sinon elle, la « cheffe », se gardait 5 lits de grabataires immobiles à tous points de vues, au dernier étage, pour rien f.tre/jouer au [Grand] Docteur devant et donc ses cadres totalement incompétentes [aussi] et pire encore, qui « pensaient » - avec leurs égos monstrueusement hypertrophiés - que la « vraie » médecine c'était de la parlotte et du baratin partagés avec elles → bref [que] des abus sans fins de titres et de statuts usurpés avec tout - actes de tortures et de barbarie, assassinats - autorisé sur les personnes les plus vulnérables : j'ai tjrs dit que les « médecins » ont donné l'exemple/les exemples à tous les personnels), j'ai vue la plus ignoble des cadres, la plus idiote aussi et toute à la fois sadique et bien sûr méprisante, se précipiter vers-sur moi avec une énergie et une vitesse largement inhabituelles (... à sa retraite, la « cheffe » a fait un speech sur son compte, reproduit tjrs dans la feuille de chou locale, la qualifiant aussi de « dévouée » et même, rendez-vous comptes ... de « bâtisseuse », MDR - au faits, elle ne f.tait rien non plus, sauf des s.peries, avec de l'argent public, notre argent, celle-là aussi) → en faits je venais si rarement de chez moi prendre mon « poste », m'occupant sur place(s) quasi non stop - presque 24h/24 7j/7 - en plus donc de toute la gériatrie quotidienne « courante » des 3 étages, et de ses urgences, de toutes les urgences de l'hosto (SMUR inclus) et « presque » du patelin, qu'elle m'avait confondue avec une des IDE entrant fissa dans le bâtiment pour filer elle se poster en salle de détente prendre ses interminables cafés/ragots ... elle était aussi tellement sur-excitée par ce qu'elle venait de voir qu'elle y voyait plus très clair (déjà que d'habitude, sa bêtise atteignait des profondeurs où la lumière ne pénétrait pas ...) - bref, me prenant pour une des mégères de se(r)vice(s), toute gaitte elle m'a sauté dessus tjrs sans me re-connaître pour me raconter, avec des trémolos dans sa voix remplie de oije malsaine, qu'elle venait d'assister à l'admission d'un « vieux » en Maison De Retraite - autant dire, ce camp de concentration amélioré - et que le pauvre (trémolos) avait bien sûr dû abandonner non seulement tous ses biens (merci les vieux/vieilles) (pour financer cette immonde plus-que-daube, et « justement » ses personnels surtout les plus pourris, direction(s) et cadres en premier(e)s - Docteurs choisi(e)s et/ou coopté(e)s incompétent(e)s, et sans aucune éthique, ensuite), mais qu'il avait dû se séparer de son chien qu'il aimait tant (ici, des trémolos réjouis décuplés dans la voix de la cadre en annonçant que bien sûr, la pauvre bête allait elle finir - pas mieux - dans un refuge), sur le seuil de la MDR : vous n'imaginez pas la oije intense qui irradiait de cette s.lope (sûrement, une bonne catholique allant aux messes par ailleurs) en me décrivant ad libido - pourrie - ce ... spectacle tellement !!! ... « déchirant » !!! mais alors qu'elle commençait à s'extasier, proche de l'orgasme, sur le fait que le « pauvre homme » avait fondu en larmes - Ô JOIE - devant elle ... paf ! elle m'a brusquement re-connue, et s'est brutalement interrompue - encore une que j'ai cruellement traumatisée - dans sa description béate, et de sa jouissance sadique totale du malheur d'autrui - je vous dis pas le mouvement de recul et ses gros nœils quand elle a vu que c'était moi !!!

... à noter que cette cinglée, et les 4-5 autres, étaient payé(e)(s) genre 3 fois plus que moi → c'est marrant quand même (et sans bosser, « juste » à violer aussi le secret médical en pigeant rien à rien, à colporter leurs ragots, à m'insulter/me harceler, à rire avec la « cheffe » et aux cafés avec les autres cadres ttes aussi incompétentes, fainéantes et plus ou moins sadiques)
NB après, c'est ce genre de gens qui se plaint de burn[es] out, qui ont aucun scrupule à se présenter comme « soignant(e)s » (d'éternel(le)s frustré(e)s, et des zombies) → au contraire, les cadres prétentieux/ieuses, ignares et immotivé(e)s s'ingèrent donc dans tout, traînent leurs guêtres partout et par exemples, aux urgences pour dire sauver des vies, font passer les interrogatoires « médicaux » etc. ... et les « médecins » ont pas les c.uilles de protester, d'autant que donc ce sont les plus nul(le)s qui sont choisi(e)s ... par les directions ... bac + 2, SI ! → le baratin/la parlotte marchent dans les deux « sens » ... et même plus encore, puisque le « grand » public y voit que du feu, tout autant soumis aux titres, apparences et éléments de langage, surtout « médical » - les gens n'ont pas plus de vraie empathie pour les malades que tous ces personnels qui profitent de leurs statuts et irresponsabilité(s) pour les écraser de leur(s) « supériorité(s) » et se lâcher lâchement, et perversement, dessus : étant tou(te)s en bonne santé a priori c'est quand même plus marrant et ... gratifiant de se perdre/se noyer dans des discours en croyant être plus intelligent(e)s les un(e)s que les autres ... en tous cas, dans cet hosto et ce patelin, la « cheffe » et ses cadres - en plus qui f.taient rien - avaient évidemment toutes et tout le temps de baratiner les gens (qui s'écrasent [d']eux-mêmes devant le titre de Chef, et persuadés aussi que les cadres sont encore plus compétent(e)s que les gentilles infirmières, super bien reposées - et bien rechargées en cafés - qui avaient elles aussi tout le temps de faire des risettes hypocrites à tout le monde, de bien enfariner les proches - les très rares qui se pointaient en MDR - et de leur raconter n'imp quoi et ce qu'ils voulaient entendre ... tout en récoltant des ragots supplémentaires pour tjrs, leurs cafés, qui plus est) ⇒ c'est bête, perso moi qui avais suivies des formations pour être au top avec les personnes âgées (gériatrie bien sûr, mais aussi soins palliatifs en me déplaçant à mes frais sur mon maigre temps de « repos » dans les facs lointaines et les hostos où y avait les meilleurs, et souvent les meilleures toubibes, soulagement de la/des douleur(s) etc. je devais arriver à large plus que bac + 15, mais évidemment, pour être descendue par tous ces personnels qui abusaient de leurs titres) et qui bossais donc non rarement 120 heures/semaines à tenir tout l'hosto, je n'avais que le titre « d'assistante » (une astuce pour sous-payer drastiquement surtout les nanas compétentes « mais » qui ont pas de fric derrière via surtout leurs familles, donc les plus indépendantes mais qui sont donc pas pistonnées étant donné que ce sont tjrs les virilistes/les plus incompétent(e)s qui se cooptent aux « sommets » ...) → le système patriarcal utilise encore bien les nanas, majoritaires dans les études et qui croient [encore] en l'ascenseur social : vous voyez le(s) problème(s), notamment avec l'immense pool de femmes qui ... « choisissent » les boulots subalternes, frustrées (... « infirmière, un beau métier pour la femme »), et qui ratent pas une occase d'enfoncer les rares qui essaient de sortir leurs têtes hors de cette m.rde/qui ne se rabaissent pas [d']elles-mêmes (évidemment, « ma » « cheffe » nommée « cheffe » par le dirlo bac + 2 - me demandez pas comment c'est possible, demandez aux politiques - lui une totale pourriture qui s'est super engraissé du système - l'a été parce que complètement soumise devant les mecs et ce mec en particulier, donc une - ou la plus - incompétente frimant devant ses cadres pigeant rien - non plus - à la médecine, et les unes les autres croyant se rehausser en leurs mirages réciproques de gros égos sans cerveaux ni c.illes, donc - et rabaissant la médecine elle-même à du baratin et surtout en violant et inversant toutes ses valeurs éthiques, donc → idem en allant faire des risettes devant le dirlo totalement corrompu, mais croyant gérer de la médecine, tout en s'en mettant surtout plein les poches : c'est comme ça que ça marche - et évidemment, les gens pensent que les Directeurs™ d'hostos sont « supérieurs » aux médecins - qui leur sont en faits, soumis(es) : les mecs aussi bien sûr, et au fric aussi) (les malades et encore plus les personnes âgées ne sont que des bouts de bois pour ces gens-là → ce qui compte pour eux, c'est leurs égos/le fric, et les apparences basées sur le mensonge perpétuel ... en plus, en attendant perpétuellement des remerciements et de l'admiration de toulmonde, et donc en en profitant pour lâcher leurs [plus] bas instincts sur les plus vulnérables, comme dans la « société » - patriarcale - en [règle] général(e) où les titres sont déconnectés des vraies valeurs ...)

... sans compter que pour le grand public, les malades sont des sortes d'entités/d'objets inconnus/inanimés/lointains qui n'ont pas voix aux chapitres (tiens ! comme les personnes âgées « improductives » ...) - et beaucoup de gens disent de quelqu'un(e) qu'il/elle est malade pour le/la rabaisser → « il/elle est malade » ça veut dire : d.bile voire fou/folle
bon, bref, je voulais écrire un billet rapide, l'« anecdote » de départ à laquelle je re-pensais c'était une fois quand je bossais aux Urgences dans cet hosto - j'avais dû y aller plus tôt ou en partir plus tard parce qu'il y avait une autre nana avec moi, sans doute(s) une interne (vu que les « assistant(e)s » on était en plus seul(e)s toute(s) la/les nuits pour gérer donc toutes les urgences : de la ville, du SMUR, des bâtiments de l'hosto et ... de la gériatrie) ⇒ donc oui, « ça » avait dû vraiment déborder cette fois-là mais évidemment je me rappelle plus de tout, sauf que c'était la nuit, bizarre (la nuit, on était totalement seul(e)s avec donc interdiction tacite d'appeler le/la moindre « chef(fe) » payé(e) - cher - à être d'astreinte sans jamais être dérangé(e) ... y avait que moi qui l'avais fait, et tout l'hosto doit encore en parler ⇒ « la honte ! comment a-t'elle osé !!! ... ça prouve bien qu'elle était incompétente » etc. etc. etc. mais je re-connais - voir il y a qq billets de là, avec les enfants maltraités - que j'aurais mieux fait de pas ... oui, dingue(s), quand je me rappelle comment les infirmières, et tout le personnel - malheureusement les gens en général aussi - s'écrasaient devant par exemple le chirurgien en titre, un vieux pervers évidemment incompétent qui à lui tout seul insultait la profession de boucher-charcutier, même en ayant vu le résultat de ses « opérations » ... par exemple(s)) - enfin, la gériatrie avait appelé pour une dame qui avait chuté (et pour que les « filles » de nuit appellent, ça devait être gravissime : j'avais pu déduire qu'elle avait une ou des fracture(s) de hanche ou/et de bassin, et probablement un trauma crânien) ... logiquement, j'ai appelé une ambulance pour qu'elle soit transférée aux Urges - ah oui, c'était vraiment la nuit : fallait pas déranger non plus les ambulanciers pour ça, et c'est pour ça que j'ai dû appeler au milieu de donc tout le boulot les ambulances aussi - et ensuite, voyant/entendant que j'appelais les manipulatrices radio pour qu'elles viennent (c'était oui de nuit, sûr), et les prévenir donc aux sujets des clichés du bassin et du crâne que je prévoyais, l'interne - genre petite minette méprisante/fille de famille - qui scribouillait des trucs sur la paillasse, s'est tournée vers moi pour me demander : « tu peux me dire à quoi ça va bien pouvoir servir ? » ⇒ ça, c'est le genre de Docteur(s) qui plaît beaucoup aux infirmières, avec de « l'Autorité », des gens qui réfléchissent ... et notamment aux coûts, voyez - et la médecine on s'en fout, les malades encore plus
