que ce soient les admirateurs de Raoult qui font un raout pour le défendre de la moindre critique en le croyant un héros - un médecin, ce type qui n'a plus pratiquée la médecine depuis 30 ans, et un résistant au système (MDR, tous les « Grands » professeurs, cooptés par leurs copains, sont soumis ... déjà forcément aux firmes pharmaceutiques, et tout autant, aux gestionnaires Bac + 2 indéboulonnables - aussi - qui tiennent le système, magouillent - aussi, et le tirent toujours plus vers le bas) ... ou ce véto sur lequel j'ai écrit le billet précédent, très représentatif des titrés « Dr » mâles qui s'entourent d'une cour de bécasses (secrétaires et assistantes, à l'hosto les infirmières) pour se sentir/se croire des « dominants » devant ces soumises
parce que la médecine (vétérinaire aussi, si) est un exercice solitaire, enfin certes un dialogue partagé avec le/la malade (les vétos examinent aussi les animaux), sans gloire : c'est beaucoup de travail sans aucun remerciement (les malades ont autres choses à faire et les animaux ne remercient pas), évidemment ces [très] gros égos préfèrent étaler leurs éléments de langage devant un public [même] qui n'y comprend pas grand chose en se jetant des fleurs, dingue comme ça marche à tous les coups - y conpris la soumission aux titres qui marche TB - je n'ai jamais trop compris que tout le monde s'écrase devant n'imp quel crétin titré mais c'est vrai que finalement, il n'y a pas grand monde qui s'intéresse aux malades ... à l'hosto, qui sont la dernière roue du carrosse ou plutôt, considéré(e)s comme des bouts de bois sur lesquels tout le monde et n'imp qui « peut » se défouler (vu que les fautes ne sont pas détachables des se(r)vices, tous les personnels ont vite conspris que tout leur était permis) → exactement l'inverse de la démarche médicale
évidemment les masculinistes et autres misogynes - femmes incluses - doivent être ravi(e)s qu'à l'hosto tout le monde fasse la carpette devant par exemple les « Grands » chirurgiens (qui ne savent plus examiner les malades ni ne connaissent plus rien des pathologies médicales associées, ni les médocs, qui opèrent quand ça leur chante, et les diagnostics faits par d'autres, servis par leur personnel féminin asservi, en piquant des crises dignes de gamins gâtés de 6 ans d'âges), à ne jamais déranger pour une urgence, qui passent la majorité de leurs temps hors bloc opératoire (où ils choisissent donc ce qu'ils veulent bien opérer) à frimer et à terroriser tout le monde → j'ai vus des personnels dégager entièrement et à toutes vitesses, pour une fois, tout le parking pour que puisse se garer le Chir (de garde, payé des fortunes, qu'il ne fallait pas jamais appeler) que j'avais OSÉ déranger pour une péritonite chez une pauvre gosse (qui avait probablement été battue par ses parents, que les « soignant(e)s » ont vivement encouragés après à porter plainte contre moi auprès de ... la Direction Bac + 2) - une brute ignare qui sinon opérait - comme un cochon, sans jamais donner d'antalgiques, qu'il ne savait pas prescrire - des urgences - aussi - et ultra-douloureuses sur RDV des 3 semaines après (on passait dans son se(r)vice à 5 heures du matin pour [tenter de] rattraper les dégâts) ... ces inversions, raisons de l'admiration inconditionnelle de tous ces personnels et ... des proches et familles des malades, qu'il baratinait on peut dire à mort(e)s - un peu comme les admirateurs (et trices) du Patriarche Raoult : avec les réseaux maintenant, ces gros égos peuvent travailler à leurs gloires donc en baratinant un plus grand public encore (soigner des malades, c'est quand même du boulot et donc, beaucoup moins gratifiant) que par exemples, les infirmières et les femmes médecins qui leur restent soumises - bien sûr, ça, ça va beaucoup plaire aux virilistes qui prennent ces types donc pour des héros, et de savoir qu'une majorité de femmes restent, non seulement à des postes subalternes, mais en admiration devant des crétins titrés du genre ... par contre, une fois malades et devenu(e)s des bouts de bois à leurs tours (ces abrutis de « patriarches » inclus : la chute sera rude), ils/elles consprendront leur(s) malheur(s) ... mais ce sera trop tard