ce(s) long(s) délire(s) à base de mensplaining je dis délire(s) parce que la réalité est niée des mecs qui crachent surtout leur haine des nanas, peu importe ce qu'ils disent par ailleurs, du moment qu'ils croient dominer la « conversation » (qui ne sont que leurs longs monologues écrasants) et qui ne cons-prendront jamais rien, oui ça a des incidences en médecine → voyez le neurologue qui roule des mécaniques me surplombant ou avec son manspreading aussi, après mon accident de bagnole pliée en 24 de douleurs, qui ne sait pas prescrire des antalgiques et dont l'infirmier est incapable de poser une perfusion, qui vient m'expliquer devant mes 18 hématomes sur les avant-bras que « les perfusions c'est facile à poser » (lui qui en a jamais posées, moi qui ai fait de la réa à la campagne sans SAMU à 50 km à la ronde) en roulant ses bras de chemise sur les autoroutes présentes sur les siens avec un Grand sourire de vainqueur, on est franchement sidéré(e)s aussi devant l'imbécillité absolue de ce qu'il raconte et oui, ce mec-là aussi était persuadé d'avoir tout conpris/d'avoir toujours raison, d'être un scientifique (dans son courrier de sortie, envoyé courageusement derrière mon dos, que des falsifications absolument hénaurmes aussi → le mec voulait tellement avoir raison qu'il a même réussi à raconter qu'il y avait pas eu d'accident de voiture ...) → on voit bien que ce sont les plus lâches qui font ça, puisqu'il leur faut les malades les plus vulnérables car déjà écrasées par des douleurs énormes pour se sentir forts en face (et en neuro il n'y a que des pathologies délabrantes ...), mais c'est impressionnant jusqu'où va leur lâcheté, quand même (tout comme leur haine, et je dirai, leur peur des nanas) ... donc je vous disais que le mec était tout fier là, de me faire la leçon avec sa pose de perfusions (même devant 18 hématomes, fallait déjà le faire, donc même sans en avoir jamais posées, y a donc pas de limite(s), c'est vraiment du délire, ils ne re-connaissent pas la réalité ... mais arrivent quand même à se dire des scientifiques) et moi dans un premier temps, malgré mon état, sidérée par la conerie immense qu'il venait de sortir, le mec a voulu continuer pensant sûrement que j'étais béate devant sa grande intelligence et s'est mis à fouiller dans mes CD sur ma table de nuit, y avait une BO de film, il a commencé à me dire que la musique était bien, m'annonçant aussi que le film était bien (y avait une histoire de héros, comme Lui se voyait ...) et que j'étais sans doute allée le voir au cinoche (bien sûr, avec de telles douleurs et juste après l'accident de bagnole) ... comme donc j'avais très mal, je lui ai rétorqué, le visage crispé par la douleur (ils aiment pas, ils attendent qu'on leur fasse des risettes « féminines » vous savez) qu'il n'avait pas à fouiller dans mes affaires persos ⇒ le traumatisme !!! le mec a reculé de 2 mètres, les noeils écarquillés, de trouille oui, j'avais osé répondre quelque chose au Grand Homme ! 😮 je vous dis pas aminches, parmi les énormités que Lui m'avait sorties, j'ai juste dit ça - et le mec je l'ai plus jamais revu (il a évidemment encore menti, enfin toujours, dans son courrier de sortie, toujours en disant qu'il m'avait examinée et suivie tous les jours, et tellement bien soignée !) : je descendais, donc toujours pliée en 24 et grise de douleurs, péniblement fumer ma clope, je le voyais disparaître au fond du moindre couloir à peine je mettais un pied dehors de ma chambre, Lui la kheue entre les gambettes en tricotant à toutes berzingues, de peur que je vienne me précipiter (!!!) pour encore sauvagement L'attaquer dans Ses dignités absolue de Grand mâle et de Grand Scientifique ... c'est vrai que ça con-fine à la paranoïa quand même (qui comme on sait, est effectivement un délire de persécution assez fréquent, principalement masculin, et repose sur une base homosexuelle bien entendu déniée aussi ... mais qui est extrêmement visible de l'extérieur - et comme toute psychose, difficile à soigner ... il n'y a pas de raisons que ça ne touche pas les « médecins » mais on imagine - et on a vu - les belles carrières de meurtriers ... donc de nanas +++ ... quels pieds ils doivent prendre ... si je puis dire) 🤐 ... en fait(s) je vous déroule un cas clinique typique de paranoïa, mais c'est marrant, dans le milieu médical en général personne ne fait le diagnostic (sans être tous des paranos finis, la solidarité masculine immédiate et LP évidemment donc quoi qu'ils fassent ou disent, et les nanas qui s'écrasent d'elles-mêmes devant, par bêtise, soumission ou/et peur aussi et tout le monde les trouve courageux même quand ils se barrent par tous les couloirs les kheues entre les guibolles, donc en plus → vivement oui qu'avec la/les parole(s) des femmes se déconstruisent ces discours virilistes qui font des ravages en médecine, notre seul espoir (les nanas, puisque/vu que les mecs « virilistes » font tout pour ne pas ne jamais se [re]mettre en question(s))

je dois vous laisser, exceptionnellement donc je douille ce matin - mais plein de bisous 😳 à vous