... donc en ce moment je prends des (demies, maintenant) vacances en regardant des séries, dans une y a une écrivaine [plus ou moins] ratée [selon les points de vues] et ça m'a rappelé quand j'ai eue une grosse urgence neuro[chir] → en fait, j'ai senti La Mort herself passer pas loin du tout, et vu que les internes des Urges déjà sous Sarko étaient passé(e)s Maître(sse)s dans l'art mais de falsifier les diagnostics tout en se couvrant pudiquement du secret médical (donc y en a quand même une qui avait fini par cracher, parce que je revenais de trop, vu que ça s'aggravait [disons que je mourais pas tranquillement chez moi après avoir été virée avec des « diagnostics » proches du délire organisé] : « Mais je vais me faire incendier par les radiologues si je demande une IRM pour vous » ... ce que c'est que le se(r)vice public, quand même), une copine/bonne âme était venue me chercher chez moi, avec mes douleurs suraiguës, nausées incoercibles, paralysies diverses et fourmillements qui montaient, pour m'emmener dans un CHRU éloigné de 300 bornes ... enfin bref, je sais pas pourquoi je vous raconte tout ça - ah si, c'est parce que sinon, y a toujours tant de gens qui s'ennuient dans la vie ... par exemple(s) en milieu dit hospitalier

donc dans ma série l'écrivaine elle fantasme dur sur un chir - de sexe mâle, bien sûr, et abondant dans toutes ses directions - qui opère tout, des artères jusqu'aux grosses tumeurs incurables de(s) cerveaux, admirés par les yeux clairs de la jolie infirmière préposée à la couture après que le Grand Homme ait sauvé tant de vies (et qui après se sert de Son vît sur elle également, de façon toute aussi experte selon l'autrice des bouquins ... oui parce qu'y en a plusieurs) → du coup ça m'a faite repenser à quand enfin convoyée dans la bagnole de mon amie, et en fait, encore virée du CHRU local (l'interne mâle aussi, un gras mou qui n'arrêtait pas de reluquer mes tétés sous [tjrs] prétexte d'examen clinique, a cette fois-là demandé un scanner cérébral en urgence à faire en ville - sur RDV, de surcroît avec dedans plein de fotes d'aurtaugrafs, avant de me virer à sec sous des ricanements généralisés compréhensibles), j'ai atterri dans les Urges de l'hosto militaire du coin : c'est là que vous allez vous régaler, bande(s) de mal/propres que je soupçonne lourdement

et donc, après avoir été harcelée encore une fois et encore par les multiples gammes de personnels voulant passer pour des héro(ïne)s et des soignant(e)s dont je vous fais grâce, ça m'a rappelé ... pour en venir enfin au fait ... quand, « examinée » par une externe féminine à la fois prétentieuse/cassante, idiote et mali[g]ne - faisant durer ad libido le plaisir en me reluquant en petite culotte-soutif et pour me piquer partout (... pour voir si je sentais bien toutes les piqures : c'est le protocole, de l'examen neuro, un peu comme quand ils/elles écoutent le cœur en sachant que ce sera normal/qu'ils/elles entendront rien), alors même/donc qu'elle avait [très] bien conpris de prime abord, et comme tou(te)s les s.p. ard(e)s de « médecins » qui m'avaient « vue » auparavant, que c'était une urgence neuro voire neurochir → tout à coup plötzlich, la porte s'est ouverte violemment sous la poussée d'une secrétaire anonyme comme tjrs, pressée de rentrer le soir dans ses foyers (les cadres ne sont plus là à compter de 15 heures), et qui, me voyant quasi à poils, s'est arrêtée d'un coup aussi, ostensiblement pour me reluquer itou en détails & longuement, quasi les nœils exorbités si je puis dire - de surcroît, un immense sourire éclairant son visage maintenant épanoui ... faisant durer le moment et son bon plaisir, finissant par annoncer tout « bonnement » que ça « ne LA dérangeait pas [de me reluquer quasi à oualpé], puisque son vestiaire était dans cette salle », avec une sorte/un genre de candeur lumineuse à la fois triomphale et désarmante

voilà → j'espère que vous avez bien pris vos pieds - ou autres choses les aminches ... je vais quand même pas me plaindre en [me] rappelant qu'à cette époque heureusement lointaine j'étais surtout perso frôlée par l'ange de la mort lui/elle-même et que c'était mais alors loin d'être agréable - c'est vrai qu'à part ttes les « sensations » plus que désagréables brièvement sus-évoquées, y avait eus des moments où je croyais en plus apercevoir comme une ombre du genre foncé/sinistre foncer sur moi pour m'attraper par les pieds itou, ou que sais-je ... après, y a tant de gens qui arrivent à passer par-dessus ça - quand ça se passe chez les autres (vrai, autant en profiter)

NB le formatage varie toujours, c'est pénible - sans parler des milliers d'heures de travail rapport à la présentation de mes billets précédents, bousillées (ce qui peut évidemment en altérer le sens) ... car rétroactif sans qu'on ait été prévenu(e)s
après c'est comme le politiquement « correct » ⇒ il faut écrire « correctement » - ou comme la « modération » i.e. la censure, en respectant des protocoles aux dépens du sens ... voyez par exemple cet avis - sur le se(r)vice de gériatrie où j'ai bossé comme nana à tout faire avant de commencer mes études :

on a des gestionnaires (« propriétaire(s) » hihi) se prenant pour des Docte[ur]s en se targuant d'être capables d'apporter une « réponse personnalisée » ... en violant vies privées et bien sûr secret médical, et volant, bien sûr anonymement - c'est une adresse « contact » - les « données » par la même occase (peut-être même pour porter plainte(s) en diffamations pour avoir osé critiquer des « soignant(e)s » en titres) - indépendamment de leur bêtise - éclatante - de demander des « précisions » sur un commentaire qui dénonce la réalité des pratiques sans rien violer du tout (sauf leurs sentiments de toute-puissance et d'impunité, en toute ... inconscience) (ou : en toute bonne « conscience », sans réfléchir ⇒ pensant/estimant avoir tous les droits sur les autres, à partir du moment où ils/elles sont « demandeurs/euses »)
et attention : si la nana ou le mec avait eu le malheur d'écrire que ce sont des assassin(e)s là-dedans, c'est elle ou lui qui aurait été ... « modéré(e) » → tant pis si c'est de la torture, et même des actes de barbarie qui sont pratiqués dans cet établissement