c'est vrai que maintenant après/avec le Covid™ on PEUT dire que la médecine est - complètement - morte : il faut se (s'en ?) laver les mains - ne pas [se] faire de bisous - ne pas l'attraper ... et se vacciner ... avec n'importe quoi que les labos appellent vaccin, et le tour est joué (encore qu'il y en a qui arrivent encore à argumenter avec rien que ça ...) ⇒ le reste des pathologies n'existe plus, les vieux/vieilles, les « facteurs de risques », donc ce n'est pas la peine de s'en occuper : on a le droit de les culpabiliser un max et donc de les tuer en leur prenant leur pognon surtout ... bon « tout ça » ça a germé sous les calottes des cadres, petit(e)s et grand(e)s fonctionnaires et gestionnaires qui ont mises leurs pattes dans la médecine, et le plus drôle c'est que les médecins ont obéi (pour [vous] dire que le niveau était déjà pas très élevé, mais maintenant ils/elles sont obligés de sortir des mensonges aussi gros qu'eux/elles pour « justifier » leurs actes devenus des assassinats) → je me demande oui, ce que racontent maintenant tou(te)s les crétin(e)s dans les hostos (ça doit être des variations sur leurs pouvoirs de non-soigner les gens, donc à coups sûrs) parce que, dans les foulées des abrutis dont je parlais récemment, j'ai donc eu un flash, je me suis rappelé quand il y a 10 ans - enfin juste après la mise en place de la tarification à l'acte de Sarko-Bachelot, j'ai été obligée de me présenter (moi ...) plusieurs fois dans plusieurs urgences pour ... de grosses urgences : j'ai donc été à chaque fois phoutue dehors avec des « diagnostics » sidéro-ahurissants (mensongers, minimisant voire déniant rondement les faits, inversant le raisonnement scientifique et les responsabilités, misogynes, pervers etc.) et bien sûr les séries de harcèlements par tous les personnels médicaux et non, les moqueries allant jusqu'aux insultes, les humiliations et la déshumanisation bien sûr, les reluquages à fond et les (tentatives d') ingérences +++ dans ma vie perso évidemment, les maltraitances allant jusqu'aux actes de barbarie etc. ... bref, ils/elles se sont donc à chaque fois bien amusé(e)s - quoiqu'avec leurs têtes à se prendre plus qu'au sérieux (malgré les énormités de ce qu'ils/elles racontent et font) on a toujours plus que l'impression que ce sont eux/elles qui sont traumatisé(e)s - et vu qu'ils/elles étaient plus nombreux/euses que moi/en pleines formes, c'étaient des ... avalanches de m. s'étant abattues sur moi à chaque fois, en faits - et comme c'était à chaque fois grave, on m'avait phoutue dehors « clairement » pour que j'aille/je retourne donc calancher chez moi (déjà)

donc je vais pas [pouvoir] parler de toutes les fois où malade/traumatisée ils/elles se sont arrangé(e)s pour me, comme tant d'autres, phoutre dehors - hormis que j'ai pas eu de bol, j'ai « faites » plusieurs grosses urgences (donc au moment donc de la tarification à l'acte) ... mais donc, la répétition n'était pas volontaire de ma part - par contre, je dois dire que les secrétaires d'accueil méritent quand même une mention spé : je ne sais pas combien de fois j'ai été harponnée à l'entrée, et encore à la sortie des Urgences (quand virée souvent dans un état d'épuisement et de stress intenses, et donc avec les mêmes symptômes + tout le harcèlement subis dans les locaux ⇒ elles vous mettent le grappin facile et vous vous dites que le cauchemar continue : il y en a même une, faisant de l'excès de zèle, venue m'attraper alors que j'avais passées les bien nommées portes battantes pour donc rentrer crever tranquillement chez moi, et qui m'a faite re-rentrer dans sa guérite pour me re-sortir son speech) pour qu'elles puissent me répéter ad libidos - et aux autres urgences virées - que « les malades coûtent cher à la sécu » « les malades sortent surendetté(e)s de l'hôpital » → les psychanalystes ont raison à ce niveau/sur ce point : la répétition c'est la mort, imaginez les pauvres nanas cons-damnées à répéter toutes les journées à tou(te)s les malades phoutu(e)s dehors par paquets tous les jours - en prenant le fric de la sécu aux passages, et accessoirement avec des pathologies donc graves - si en plus elles sont persuadées d'obéir à des politiques qui savaient ce qu'il/elle faisaient ... et si en plus elles en attendaient des remerciements - pas des politiques : des urgences ... y a de quoi être frustrées, déjà

non mais le flash que j'ai eu, à propos de répétition(s), c'est encore avec un cadre [posté] à l'entrée donc de l'Accueil Urgences (comme ils/elles appellent ça) - je l'ai donc vu plusieurs fois, obligé(e)s de passer par lui à son guichet aussi où déjà y avait les fameuses pancartes comme quoi s'ils/si elles sont pas là c'est qu'ils/elles sauvent des vies ailleurs (avec collée une image d'ECG plat souvent : donc c'est mort), et comme quoi (la seconde pancarte) « les patients sont agressifs » (sic aussi, celle-là je l'adore, pour l'oxymort), et en faits chaque fois que je me suis donc présentée à son guichet il a fallu - comme les autres donc urgences - que je poireaute une éternité (d'où il fallait en déduire, c'est facile, qu'il sauvait énormément de vies de patients agressifs) ... pour le voir finalement arriver, vous connaissez maintenant, avec le pyjama de chirurgien/anesthésiste, l'immense blouse immaculée-doctorale, les menton en avant/fesses en arrière pour donc qu'on le prenne → le flash c'est probablement à la suite aussi/encore des insultes des misos récent(e)s, vu que le mec avait une mine oui insultante d'emblée, faisant mine de pas me/nous voir à son guichet, comme si on l'emmerdrait profondément et même, qu'il nous haïssait (y a juste eue une fois une stagiaire aide-soignante qui passait un peu perdue, et où il en a profité pour lui faire un sourire mais gluant, pour lui montrer directement à elle sa supériorité, et à nous aussi en nous tournant le dos) - bref, à chaque fois oui c'était le même cirque, mais je me rappelle d'une fois où venue après une agression et des gros problèmes neuros (en faits au bord du coma), après donc l'attente quasi-interminable de Monsieur, j'ai fini par pouvoir lui présenter - aussi - le courrier du toubib de ville que bien sûr il a ouvert sans me regarder donc, et sans vraiment le lire non plus (disons que j'ai pu voir qu'évidemment, il y pigeait rien mais que quand même, y avait demandée une IRM, qui n'est donc jamais faite) ... par contre, ostensiblement, il a pris soin de jeter l'enveloppe et de froisser la lettre pour en faire une boule qu'il a jetée elle aussi sur le/son comptoir (mais vous avez pigé, cette fois-ci comme les autres, il y a eus les harcèlements, insultes, humiliations et actes divers de barbarie jusqu'à me jeter dehors avec des diagnostics pervers pour qu'on me soigne plus jamais) → voilà, c'était ça mon flash : le cadre qui veut [se faire] passer/être pris pour un Grand Docteur (mâle, vu son comportement gluant avec la stagiaire) et qui fait des efforts conssidérables toutes les journées aussi pour être absent de son guichet pour qu'on croie qu'il sauve des vies ailleurs, qui te regarde et qui regarde les urgences entrantes avec mépris « comme » s'il te/nous crachait dessus, qui allait jusqu'à froisser la lettre du toubib (gluant aussi, mais donc si je faisais la liste ...) pour bien te/nous montrer qu'il en avait rien à phoutre (il se trouve que je suis toubibe et que je connaissais la gravité de mon urgence notamment cette fois-là, mais en général, tous les malades savent quand c'est grave, c'est ça que ce genre de crétin conprendra jamais) ... visiblement, le mec excédé lui-même par son propre cinéma, et tellement agressif que personne, franchement, n'aurait pu le remercier ... malheureusement, ces gens-là n'ont que l'agressivité comme « argument », donc non, on n'en sort pas, c'est des morts-vivants et incapables de servir à quoi/qui que ce soit : la mort, oui, quoi ...
