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L'AUTEUSE ou l'ôteuse ? je plais-ante ...

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Billet de blog 30 août 2022

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réfléchissons ... sur des assassinats en tous genres

et sur le genre de rivalités (ou les rivalités de genres) qu'on re-trouve partout, à tous les niveaux, dans le milieu des (dit(e)s) « soignant(e)s » ... (aussi)

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salut toulmonde - j'ai pris un peu de congé(s), oui, pour réfléchir, depuis le temps que j'écris dans ce/mon blog le rythme a fini par ralentir, même si à la fin j'ai essayé de diversifier mes billets - si tant est qu'on peut trouver de la variété dans la méchanceté et bêtise « humaines » à ... l'œuvre tjrs sur les plus vulnérables, donc les malades, par les [auto-proclamé(e)s] « soignant(e)s » en titres qui en profitent pour se croire en position dominante (comme toujours, comme partout dans cette société où il faut absolument fonctionner selon des modes [que] binaires supérieur(e)/inférieur(e), fort(e)/faible et ... homme/femme - avec si peu de place(s) pour l'infinie diversité des possibles ... comme d'ailleurs, si on les laissait parler pour les entendre, les malades pourraient le/en re-montrer à tou(te)s ceux et celles qui les réduisent à rien par leurs discours de « sachant(e)s ») - mais finalement j'ai dû faire une pause, vu que oui, la méchanceté bête, c'est toujours [partout] pareil ... et sans limite, elle

Illustration 1

ben oui, je colle la photo de la méchante petite fille, parce que pour que les [plus] lâches et les [plus] imbéciles puissent se croire « fort(e)s » et « dominer » tout le monde, il faut toujours qu'ils/elles inversent tout → c'est vrai que perso petite j'ai très vite été confrontée au problème, donc avec des parents qui avaient « faites » deux filles - en espérant au moins un garçon, donc cruellement déçus - qui pour eux ne comptaient pas, sauf qu'ils s'acharnaient quand même à vouloir prouver cette fameuse « supériorité » sur nous, on aurait dit le seul intérêt de la chose ... mais perso, le truc que je ne comprenais pas, que j'ai très vite pas compris, c'est qu'en tant que parents, la plupart du temps ils [nous] racontaient n'imp quoi (c'était plus que mentir, ostensiblement ils se moquaient [de nous] finalement donc aux deux sens du terme : on comptait pour du beurre, mais ils nous roulaient dans la farine - que des tartes plus ou moins à la crème, mais aigre) et/mais qu'on DEVAIT les trouver « supérieurs » : peut-être que c'était l'éducation de l'époque, peut-être aggravé(e) parce qu'on était des filles, je sais pas ... pour donner un exemple, toute petite j'avais demandé à mon père ce que signifiait le F noir dans l'ovale blanc à l'arrière des bagnoles, il avait TB comprise la question et il m'a répondu en ricanant que « ça s'allumait quand les voitures freinaient » (j'avais bien vu que c'était un autocollant et je ne confondais pas avec les feux stop ...) → il suffisait que je pose une question intelligente à l'une ou l'autre, j'obtenais ce genre de réponse plus qu'à côté de la plaque, perverse, pour m'enduire, comme on dit ... en fait me traiter de c.nne - et avec tout ça, je suppose qu'eux se sentaient intelligents en face (enfin, il y avait tjrs ces sourires ou rires moqueurs qui accompagnaient le genre de moment éducatif - déjà ils étaient visiblement ravi(e)s l'une et l'autre, au moins de me répondre une c.nnerie et de bien me faire sentir que c'était moi la c.nne, selon le mécanisme bien rodé de l'inversion qui rend intelligent(e)(s)) ...  en tous cas, moi avec mon statut d'enfant, je devais donc les trouver intelligents - et je vous rassure, le reste de la « famille » autour, le voisinage etc. ont moultes fois ... assisté au genre de scène, et le simple fait qu'en tant qu'enfant je ne trouve pas drôle qu'on se f.te de ma g.le, faisait que de l'avis général, c'était moi la méchante (je traumatisais donc mes parents : quand ils me torturaient je devais dire qu'ils m'aimaient, et que je les aimais ...)

Illustration 2

finalement il se passe un peu la même chose avec les malades/blessé(e)s/traumatisé(e)s aux ... prises avec les fameux/euses « soignant(e)s » qui, du fait de leurs titres, sont persuadé(e)s de détenir un savoir donc « supérieur » (même, ou surtout ? quand c'est pas vrai ... sans compter qu'en général, ces braves gens qui se cachent donc derrière ces titres n'hésitent pas à outrepasser leurs fonctions - vous savez bien, les petit(e)s chef(fe)s qui veulent passer pour des « grand(e)s » alors même qu'ils et elles ne font que retourner - encore une fois - tous les protocoles, règlements etc. pour enduire toulemonde) : il suffit d'annuler toute parole autre pour [faire] croire tout savoir → c'est ce que j'ai décrit dans mon précédent billet avec ce pauvre accidenté tout à fait conscient évidemment de la paralysie de ses deux jambes, et du fait que ça provenait d'un [gros] dégât des vertèbres, alors que le fier sauveteur-pompier, surtout préoccupé de montrer sa « grandeur » à la caméra et d'aller saluer tou(te)s ses potes présent(e)s sur le terrain des opérations, et par ailleurs incapable de porter secours au(x) blessé(s) de ce(s) fait(s), fuyait la confrontation parce qu'elle aurait été à son désavantage (eh oui, ce sont donc les malades qui savent ... notamment qui re-connaissent TB les degrés d'urgences, contrairement à ces « professionnel(le)s » qui mettent tout sur le même plan, uniquement préoccupé(e)s par eux-elles-mêmes et leurs fameux statuts, et de noyer les poissons - leur priorité n'est pas de soigner, ou d'aider, encore moins de réfléchir, mais de montrer leur(s) importance(s) en se servant des malades ou des blessé(e)s comme de supports ... pour en arriver finalement à dire le plus souvent possible que c'est rien - quand ils/elles ne savent pas ce que c'est ni ne sont capables de hiérarchiser, justement, les urgences : de toutes façons, eux/elles sont en bonne(s) santé(s) en face, alors ils/elles ont le temps ...)

Illustration 3

et pour rester dans les schémas simplistes qui réduisent tout à néant (surtout le professionnalisme), il y a donc la binarité de genre avec les « grands » sauveteurs forcément des Hommes-des vrais (même si avec leur virilisme, ils ne font rien ...), donc par « essence » supérieurs aux femmes, même ou surtout médecins (dans cette situation ils redoublent d'efforts, càd de violences pour se montrer « supérieurs » ... et tant pis pour les malades et autres blessé(e)s) → le nombre incalculable de fois où de gardes d'urgences je me suis retrouvée sur les terrains d'accidents aussi, avec les pompiers ou autres dans les pattes, voulant eux donc avant tout être pris pour les Docteurs et en conséquence(s), doublement infoutus de faire leur(s) boulot(s) - à savoir, sortir les brancards et amener le plus rapidement possible les blessé(e)s à l'hôpital → après, la médecine est un métier, qui demande de l'expérience, de la concentration et un certain esprit de synthèse : évidemment c'est facile, quand on ne br.nle rien, anonymes et en troupeau(x) de ... bœufs, de reluquer/commenter (donc en disant que c'est rien pour faire savoir qu'on a un savoir supérieur) et d'emm. de toutes les manières possibles celle/la seule qui bosse, et qui par ailleurs prend toute(s) la/les responsabilité(s), quand on s'en fout complètement des malades et des blessé(e)s (on retrouve les mêmes jeux de c.n(e)s avec par exemples les infirmières qui viennent avec leurs sourires faux-c.ls harceler de questions intrusives tous azimuts les malades épuisé(e)s - parfois au bout de leurs forces, et qui viennent t'accuser ensuite de ne pas avoir d'empathie quand, souvent épuisée, tu fais le plus rapidement possible le(s) diagnostic(s) pour mettre en route un traitement, parce que tu ne discutes pas gentille-ment de leurs vies etc. confondant empathie et multi-ingérences abusives → à noter dans la droite ligne de la binarité la plus réductrice que le « Grand » Docteur mâle qui les brutalise de manières abjectes aura Lui de l'autorité, forcément : toujours la violence)

Illustration 4

à propos d'infirmières et d'inversions de tout, vous vous rappelez « l'accueil » ébouriffant dont elles m'ont gratifiée quand, hypermotivée pour pas le poste (en l'absence de pistons et passe-droits, un scandale, et payé(e) des clopinettes à pratiquement faire tourner tout l'hosto) mais la fonction puisque je voulais moi soigner les personnes âgées, j'ai pris mes fonctions en gériatrie → les nanas avaient donc monté, pour ma gouverne, un topo sur les escarres - avec de magnifiques diapos d'escarres - pour dire que c'étaient pas des escarres, une gigantesque tarte à la crème - histoire(s) de dire que les malades ont rien/sont des riens, et qu'on est Docteur si on dit que c'est rien, que le titre [se] suffit à [lui-même] : comme ça, les nanas [se] moquaient à la fois de ma motivation, de mon expérience/expertise, se moquaient même aux passages de la médecine toute entière ... et elles avaient bétonné leur truc, prévoyant que si je protestais de la réalité des escarres devant encore une fois leur troupeau d'anonymes, je ne serai pas conssidérée comme UN vrai Docteur (inversions, et injonctions paradoxales, donc) → de ttes façons, pour ces nanas, un médecin est un Hhomme, elles avaient/ont tout conpris en nez fait (et d'ailleurs, la soumission aux mecs et aux titres était telle que par exemple, le chirurgien en titre, mutilator, qui œuvrait dans la maison, et dont on - les internes et assistant(e)s de gardes aux urgences - devait [essayer de] rattraper les catastrophes la nuit en montant dans son se(r)vice, passait pour un sauveur de vies, qui s'en foutait totalement des malades) ⇒ conclusion : paradoxalement, un Docteur est un vrai Docteur et même un vrai médecin s'il s'intéresse avant tout aux « soignant(e)s » qui n'ont fait ces boulots que pour les titres, tout en coupant donc à toute(s) responsabilité(s)) et pour jouer - aussi - aux Docteurs en disant toultemps que les malades - tout en bout de la chaîne de « dominances » - n'ont rien ; en gros, en communiant dans une indifférence partagée envers eux/elles vu(e)s comme des ignares qui n'ont pas voix aux chapitres (c'est ce qui se passe aussi en sorties accidents, où les - mâles - toubibs du SAMU friment avec les pompiers en [leur] montrant clairement qu'ils s'en foutent des blessé(e)s ... ce qui passe pour du courage)

Illustration 5

notez bien qu'est donné l'exemple du patient (au masculin ...), mais tout con-court pour que la femme médecin soit rabaissée au statut d'infirmière, ces dernières du reste profitant de toute et n'importe quelle occase pour la descendre ... alors que désolée, n'importe quel crétin sortant la dernière des c.ies sera porté aux nues par leur basse-cour → je termine ce billet avec cette conclusion en bon français, qui ravira les masculino-virilistes qui ne manqueront pas de cons-tater que bien sûr, c'est moi qui rabaisse les infirmières - à leurs justes places de nanas conspatissantes selon eux, en faits de vraies mégères tellement elles se ferment elles-mêmes [à] tous espoirs d'évolutions ... mais pour être juste perso, je dois dire que la majorité de mes conssœurs reste elle aussi soumise aux pires clichés misogynes et mecs - qui de ttes façons donc se cooptent en majorité et ne laissent que des sous-postes aux plus ... obéissantes : la consororité n'existe pas du tout, pas étonnant dans ces conditions - rajoutez la soumission aux gestionnaires et aux financiers (aux « sommets », pratiquement que des hommes aussi) qui est devenue de la corruption totalement institutionnalisée, c'est terminé, ce n'est donc plus de la médecine maintenant, c'est du grand n'importe quoi ... avec les mêmes schémas donc de domination(s)-soumission(s) que dans la « société » en général, les mêmes discours pervers et manipulateurs qui sont difficiles à reprendre - mais repris à la chaîne par 36 intermédiaires qui se dispensent d'eux-elles-mêmes de réfléchir, les mêmes tartes à la crème et post-vérités ⇒ on a vu avec le Covid™ qui a « permis » de [faire] tuer les personnes âgées et autres « facteurs de risques », de nous imposer la même dictature sanitaire que celle qui est prônée par n'imp quel(le) cadre « hospitalier(e) » par exemple ... jusqu'au bon Docteur Brun, encore un pour qui les malades sont des riens, tout justes bon(ne)s à consulter sur des plates-formes ou à se faire raccrocher au nez par le SAMU → on est dans l'inversion totale de sens : ce sont les malades qui sont aux se(r)vices de « médecins » qui n'ont plus effectivement, que leur(s) titre(s) pour ... frimer et raconter n'imp quoi ... et perso, j'ai encore du boulot, beaucoup même dans toutes les directions, mais il va falloir en choisir une ... je pense que je vais continuer sur les féminicides médicaux, partie importante du crime contre l'Humanité qui se perpétue à vitesse accélérée ...

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