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Etant membre d’une association qui soutient l’action de l’institut Belrad
du Belarus, seul institut de radioprotection indépendant, qui intervient
auprès des populations vivant en territoires contaminés, je connais la somme de souffrances que représente une catastrophe nucléaire.
Ces souffrances concernent des générations successives, des décennies après l’accident, et frappent les enfants dès leur naissance.
Il me paraît inacceptable de poursuivre l’exploitation d’une énergie qui comporte tant de risques.
Catherine LIEBER, habitante de Seine-et-Marne