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80 000 personnes venues dire non à l’horreur, non à la guerre, non au silence complice. En solidarité avec le peuple palestinien, elles ont marché pour la vie, pour la paix, pour les enfants de Gaza dont les visages hantent désormais les consciences du monde entier.
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les pancartes portaient les noms des victimes, les photos d’écoles détruites, de familles endeuillées, d’hôpitaux bombardés. Chaque visage dans la foule semblait porter une part du deuil palestinien. Il ne s’agissait pas d’un simple défilé, mais d’un acte de résistance humaine face à l’indifférence.
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De toutes origines, de tous horizons, des femmes, des hommes, des personnes jeunes et âgées, des militant·e·s engagé·e·s ou des citoyen·ne·s révolté·e·s, se sont retrouvé·e·s uni·e·s par un même mot d’ordre : "Stop aux massacres, non à l’apartheid, non à la colonisation".
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Aux côtés d’organisations de la société civile, d’associations, d’ONG et de collectifs solidaires, les manifestant·e·s ont envoyé un message fort aux autorités belges et européennes : leur silence face à la tragédie palestinienne est une forme de complicité. « Cessez-le-feu maintenant ! », scandait la foule, réclamant des décisions politiques à la hauteur de l’urgence humanitaire et du droit international.
Cette manifestation est la neuvième d’une série de mobilisations organisées à Bruxelles depuis plusieurs mois. Elle s’inscrit dans un mouvement de solidarité qui ne faiblit pas et qui prend aujourd’hui une dimension encore plus symbolique : elle a eu lieu à la veille du 77e anniversaire de la Nakba, ce moment charnière de 1948 où des centaines de milliers de Palestinien·ne·s furent dépossédé·e·s de leurs terres et contraint·e·s à l’exil.
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À travers cette marche, c’est bien plus qu’un soutien politique qui s’est exprimé. C’est un attachement à des valeurs fondamentales : la justice, la dignité, l’égalité, la liberté. C’est un refus net de la normalisation de l’oppression et de la violence. Et c’est un engagement : celui de continuer à se mobiliser tant que la Palestine ne sera pas libre, tant que le droit ne sera pas respecté.
La rue a parlé. Elle continuera à le faire. Car tant que les bombes tombent, tant que l’apartheid se poursuit, tant que l’occupation écrase des vies, le silence est un choix. Et nous choisissons de résister.
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