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Billet de blog 16 octobre 2016

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Quand la France aidait les dirigeants criminels israéliens à développer l’arme nucléa

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Quand la France aidait les dirigeants criminels israéliens à développer l’arme nucléaire

Dès 1947, David Ben Gourion (voir « Le père fondateur ») l’envoie aux Etats-Unis afin de compléter l’arsenal déjà fourni aux forces juives par l’Union soviétique. Devenu, en 1953, directeur général du ministère de la défense, il démarche des armes en Europe. A Sèvres, en octobre 1956, le flirt va plus loin : Guy Mollet et Maurice Bourgès-Maunoury y donnent le feu vert de la France à l’opération tripartite contre Gamal Abdel Nasser, et surtout au transfert de la technologie nucléaire à Israël. Vice-ministre de la défense en 1959, M. Pérès va superviser la mise au point au centre de Dimona, aux portes du Néguev, du secret qui bouleversera définitivement les rapports de forces au Proche-Orient : la force de frappe israélienne. La bombe A est au point en 1966, la bombe H dans les années 1970.

Source: Shimon Pérès, par Dominique Vidal (Le Monde diplomatique, avril 2008)

Ca mériterait presque un prix Nobel de la Paix

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