30 mesures, plan santé mentale et psychiatrie 2022
1 à 9 = Ecouter,
10 à 17 = Prévenir,
18 à 26 = Développer,
27 à 30 = Prévoir
1,9 milliards € sur 5 ans soit 380 millions € entre 2022 et 2026
- Assurer une communication grand public régulière sur la santé mentale
- Mettre en place un numéro national gratuit de prévention du suicide (3114) (1/10/2021)
- Renforcer la prévention de la souffrance psychique dans le monde du travail
- Faire de la santé mentale une priorité permanente du Comité interministériel pour la santé
- Favoriser l’émergence d’intervenants-pairs professionnels (salariat ETS ou médico-social, social ou mise à disposition par des associations ou plateformes (= ESPAIRS, E-POP. AAP régionaux)
- Renforcer déploiement GEM et des 5 « clubs house » (cf. Zones blanches)
- Augmenter le nombre d’équipes mobiles psychiatriques intervenant auprès PA (EPAHD et Etablissements et Services Médico-Sociaux = SESSAD). Collaboration avec les équipes mobiles gériatriques. Création de 20 équipes mobiles territoriales
- SSIAD et SPASAD : financement pour temps psychologue : 100 ETP
- Faciliter la PEC psy des personnes en situation de précarité dans les CHRS et les lieux d’accueil
- Mettre en œuvre la stratégie psy des 1000 premiers jours (périnatalité) (équipes mobiles et unités de soins conjoints parents-bébés)
- Définir une stratégie inter sectorielle de compétences psycho-sociales (CPS) dont à l’école. Dispositifs pilotes. Evaluation scientifique des programmes. A déployer à grande échelle. Manière transverse et inclusive
- Amplifier le déploiement des Premiers Secours en Santé Mentale (PSSM) (notamment auprès des jeunes et des enfants) : 10 000 secouristes déjà formés. Objectifs : 60 000 en 2023 et 150 000 en 2025
- Faire émerger un acteur en charge de la coordination de la santé des 3-11 ans (Maison d’enfants) (PMI, médecine scolaire, ASE, MGL ; pédiatres ; pédopsy et CMP)
- Renforcer les MDA (au moins une par département) (118 à ce jour)
- Renforcer l’Accueil Familial Thérapeutique : 100 places supplémentaires sur 2 ans
- Renforcer les CMP-IJ (2500 CMP dont 1091 IJ, file active 2 millions 4). Plus 400 ETP sur 3 ans
- Renforcer les moyens dédiés à la PEC du psychotraumatisme (10 crées en 2018 et 5 en 2020) pour enfants et adolescents
- PEC par CPAM, 8 CS psychologue de ville/an. > 3 ans. Psychologue volontaire (A/D légers à moyens). Parcours de soins. 50 millions € en 2022. Forfait psy (3/17 ans) et chèque psy pour étudiants
- Améliorer le repérage et PEC précoce par renforcement CMP adultes. + 4 millions € en 2019, 7 en 2020 (ambulatoires) et 9,6 en 2021 (psychologues = Ségur. 400 ETP (psychologues, IDE) sur 3 ans
- Apporter une réponse plus adaptée aux besoins de soins urgents et non programmés (SAS = Services d’Accès aux Soins). Urgences. Régulation téléphonique 7j/7 et 24h/24. 5 départements pour l’instant
- Améliorer l’accès aux soins somatiques pour les patients psy. Equipe pluridisciplinaire de MG dans ESSM. MG et orientations vers spécialistes. 40 ESSM
- Adapter l’offre de soins pour mieux répondre aux besoins par un dispositif de « lits à la demande »
- Revaloriser les tarifs de la psychiatrie et de la pédopsy de ville (++TND) : psy + pédopsy + neurologue = 42,5 € (3 € en + si < 16 ans). Si PEC urgente demandée par MGL : 85 €
- Augmenter le nombre de postes de chef de clinique (CCA) et disposer poste PU/MCU en pédopsy par CHU/UFR (plus 12 entre 2022 et 2025)
- Améliorer la formation initiale : DES en 5 ans. Options précoces (novembre 2022)
- Promouvoir postes IPA en psy et santé mentale : plus 540
- Lancer un plan de recherche dans le domaine « Santé mentale et psychiatrie). Voir système unifié de santé publique = cohorte ++. Soutien pluriannuel (plan d’investissement d’avenir). 80 millions €. INSERM et CNRS = pilotage. Meilleurs standards internationaux
- Contribuer à a création de l’institut de stimulation cérébrale de Paris (Neurospin ?)
- Créer des centres E-care de PEC er recherche sur l’enfant. Création, Institut du cerveau de l’enfant. Ensemble des vulnérabilités de l’enfant
- Développer l’usage du numérique en santé mentale. Accompagnement de l’état